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Ataraxie suite.....

Publié par Diatala sur 16 Mars 2006, 00:00am

Catégories : #Philosophie

ATARAXIE SUITE….

Comment arrivez à transfigurer cet état de douleur, de souffrance, de mal être. Il faut avoir en premier, envie que les choses changent. Si vous n’acceptez pas une situation, si vous vivez mal un état et que vous ne faites rien pour en changer, alors vous accepter votre souffrance comme une fatalité, et vous vous plaisez, dans, et avec votre souffrance.

On ne peut pas être mal, se plaindre aux autres ou à soi même, et ne rien faire pour éradiquer cette situation. Il faut trouver le remède, surtout pas médicamenteux, il ne fait que masquer les problèmes, dans un pseudo confort qui établit une dépendance dangereuse, c'est une forme d'esclavagisme des sociétés dites modernes .

 

L’essentiel, le fondamental, c’est que quoi qu’il arrive, cessez de penser à la personne, ou aux personnes qui vous ont fait souffrir, car ils ne souffrent pas de ce qu’ils vont on fait : eux, ou différemment, mais c’est leur problème. C’est quand même singulier d’inverser les rôles. L’esprit vindicatif est peut être la pire des choses, il ronge de l’intérieur celui qui le possède. Le temps que vous passez à ressasser, à chercher un moyen de vengeance, à détester, à haïr c’est de l’énergie qui meure, non pas, de l’énergie qui est perdue, mais bel et bien qui meure. Des heures, des mois, des années, qui font vieillir deux fois plus vite les victimes, et non pas , les auteurs. Si vous n’êtes pas comme cela, c’est le contraire, vous amasser une nouvelle énergie, votre organisme se régénère. Votre esprit est apte à raisonner clairement, à se concentrer sur des solutions, pour voir devant et non derrière.

Dans certaines situations, la plupart (pas pour celles qui sont indépendantes de la volonté, ou le hasard croise, le pire, viole, tue, handicape,mais la libération passe quasiment par le même chemin), il faut toujours être conscient et assumer sa part de responsabilité, même minime. Si vous rejetez la faute uniquement sur l’autre, les autres, la société, etc… vous ne pouvez pas vous en sortir. La clé résidant en cette prise en charge de sa propre culpabilité, de ses erreurs, car il y en a toujours, si elles ne le sont pas au moment précis, elles le deviennent par voie de conséquences. Notre propre culpabilité est la source du mal qui persiste. Admettre cela, c’est comprendre que l’autre, les autres, ne changeront pas et que le travail est à faire seul (e) avec nous même. Toute minute passée, à en vouloir à autrui est de trop, car elle emprisonne le devenir.

La remise en question : être en permanence face à soi même, ne pas craindre de se juger, apprendre à se connaître, nous sommes les mieux placés pour le faire : quand même ! Alors pourquoi laisser les autres le faire pour vous ; par facilité, renoncement, perte de sa psyché, conduit à s’ignorer.

L’auto psychanalyse est la meilleure alliée : chercher, trouver en soi, premièrement : les bonnes questions, les bonnes réponses se feront naturellement. Deuxièmement allez très loin dans l’introspection, c’est le seul moyen d’ouvrir l’inconscient, de faire remonter ce qui a été refoulé, donc ignoré, par peur, dégoût, confort. Le traumatisme étant souvent inacceptable. Il devient alors notre pire ennemi, sournois, car on ne le voit plus, on ignore même sa présence. Le travail d’autodestruction commence ainsi à des niveaux différents. Il est plus confortable d’ignorer, que de traiter un problème qui semble insurmontable. Insurmontable, mais rien n’est insurmontable. C’est l’idée que l’on se fait des choses qui nous bloquent souvent, mais cela n’est pas la réalité. Ex : il faut que vous sautiez une haie, vous ne l’avez jamais fait : la crainte, la peur de mal retomber, de ne pas réussir vont vous bloquer ; cela est la représentation de l’idée circulaire, mais si vous pensez différemment, je vais sauter la haie, car c’est le seul moyen d’arriver, la représentation de l’idée est ouverte, la peur, la crainte, n’existent plus. C’est pareil pour les choix quotidiens ou à long terme. L’existence n’est faite que de choix. Ne pas en faire est une action régressive, ou laisser les autres choisir pour nous également. On ne peut se construire ou se reconstruire ainsi. Nous devons être maître de nous même, de notre vie, de notre destin et surtout de notre passé.

Le pardon, ce qui est et reste inenvisageable pour la plupart, reste l’acte le plus libérateur. Ce qui est fait, est fait, rien ne peut modifier ou changer le passé. C’est à nous qu’il revient de transcender, les maux, les douleurs. Ne pas pardonner, c’est refuser de guérir, et surtout montrer à l’autre, aux autres qu’ils ont atteint leur but. Le pardon fait rayonner, puisqu’il vous libère. C’est la seule façon indirectement, de faire comprendre aux auteurs que c’est eux qui ont un problème. Leur satisfaction se transforme alors, en peur d’eux-mêmes.

La foi : la foi religieuse, spirituelle, la foi en soi et dans les autres. Pour les deux derniers, rien ne peut justifier les amalgames. C’est s’auto priver, se censurer. Pour les deux premières, elles restent la porte du salut. Si vous ne l’avez pas, chercher la en vous, elle est l’étape finale de la libération, de la renaissance.

Et puis, ne jamais cesser de penser que le pire est toujours ailleurs, par rapport à son propre  vécu. Le monde est fait des pires atrocités, il y a toujours quelqu’un qui aura souffert plus que vous, différemment, et qui aura trouvé la paix. Alors pourquoi pas vous !

 

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