Mail reçu : Un beau lâcher de poulets à Paris pour honorer la première poule de France, Valérie T.
Il a été lâché une basse-cour au pied de son immeuble parisien, gardé par deux poulets. courant derrière nos coqs, les poulets de Manuel Valls tentaient de protéger la première poule de la République et les plumes volaient. Ça nous a bien fait rire et c’est tout ce que ça nous rapportera. Car sinon, la dame à François, elle nous coûte de l’argent : soit c’est sa maitresse, et pourquoi l’entretenir sur un pied officiel, soit c’est sa concubine et François a menti sur son patrimoine et ses revenus.
Ce n’est qu’un mensonge de plus de la part d’Hollandouille qui veut bien du mariage pour tous mais n’en veut pas pour lui, qui veut bien changer la vie des Français mais refuse de toucher à son confort de célibataire de bonne fortune.
Pourtant le temps des comptes est venu, ceux que la Cour lui jette dessus chaque matin et le décompte de ses soutiens dans les sondages : la France n’a plus d’argent, François est à sec.
Pas de petites économies, Valérie n’a rien à faire parmi les officiels du 14 juillet et encore moins à l’Elysée !
Résumé de Médiapart :
> > > > > > > - soit on considère que Mme Trierweiler n'est ni pacsée ni mariée, et à ce moment-là il y a détournement de fonds publics pour son usage personnel (logement, nourriture, entretien, déplacements, six experts à l'Elysée chargés de sa communication...) ;
> > > > > > > - soit on considère qu'il y a concubinage notoire et à ce moment-là il y a fausse déclaration de patrimoine (largement au-dessus des sommes déclarées et assujetti à l'ISF), ce qui annule l'élection et rend M. Hollande inéligible.
> > > > > > > Plainte a été déposée, elle suit son cours.
> > > > > > > Et Médiapart conclut: "On peut compter sur la presse et, plus largement, sur l’establishment pour étouffer tout ceci et n’en faire qu’un petit vaudeville. C’est pourquoi relayer cette information et ses implications est indispensable : après tout, c’est notre président lui-même qui réclame avec son petit air embêté et sa vue basse, des mesures fortes pour moraliser la vie politique, que diable !"