L'AFSSAPS ici ( l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) autorise le traitement sous Prozac pour les jeunes enfants qui seraient ''dépressifs''. Mais les risques restent importants quand l’enfant n’est pas encore pubère : « problèmes de croissance et de développement des organes sexuels, (en particulier des atteintes testiculaires irréversibles) et un comportement suicidaire ». Avec de tels risques, prendre le risque de le prescrire est criminel.
L'AFSSAPS est-elle à la solde des multinationales pharmaceutiques ou bien est-elle incompétente et stupide pour autoriser un traitement sous un psychotrope dangereux pour la croissance ?
Comment peut-on affirmer qu’un enfant en pleine croissance physique et psychique n’a pas les capacités nécessaires de se sortir d’un état inhabituel ? Mais où va-t-on !
Qui sont les vrais malades ? Certainement pas ces enfants !
Notre société sombre inéluctablement et sans répit dans les ténèbres de l’ignorance. Nos enfants, qui sont l’avenir, seront des drogués et des impuissants au sens propre comme au sens figuré au milieu d’adultes, eux-mêmes, atrophiés. Wouahhhh !
Ce n’est pas en empêchant un enfant de combattre, de se battre en faisant face aux réalités parfois douloureuses et traumatisantes de l’existence que nous l’aiderons et que nous préparerons une société forte.
La vie n’est pour certains qu’une épreuve qui commence très tôt ; empêcher un enfant de surmonter des obstacles dès le début, est, un crime. Sachant que ces drogues ne font que masquer, repousser voire, aggraver l’état psychique. Quelle honte ! La construction passe obligatoirement par la capacité à se réaliser et s’affranchir soi-même des contraintes, des astreintes mentales qui créent et entretiennent les peurs et les souffrances.
Je suis révoltée et catastrophée de voir que cette société annihile l’être humain, le broie, le manipule dans tous les domaines, l’essore, l’asservi, le ridiculise, l’abêti ; que l’essentiel des mesures est consacré à l’enfermement de l’esprit et à la destruction des capacités intellectuelles et des réactions naturelles de défense vitales.
Une armée de zombies dociles, de marionnettes vivantes, de clowns tristes, de dépressifs congénitaux, de pions sur un échiquier et, une société stigmatisée par la peur d’être elle-même : est en marche.
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