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Le soutien Financier du « Cartel des Banques » à Adolf Hitler

Publié par Diatala sur 18 Mai 2011, 17:21pm

Catégories : #Dossier Hitler- Vril - Thulé

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source : http://blog.benperi.eu/

Suite des dépositions au " Grand Procès des Banques "(livre de Ben Peri)

 

Le greffier se lève :
- J’appelle à la barre monsieur Louis Kilzer

- Monsieur Kilzer, Vous êtes un journaliste d’investigation, vainqueur de deux Prix Pulitzer, spécialiste de la vie D’Adolf Hitler du cercle d’intimes qui l’entouraient, mais aussi de ceux qui l’espionnaient. Pouvez-vous nous décrire les relations qui prévalaient entre les Illuminati et le Chancelier Hitler ?

- Je vais commencer par vous citer des extraits d’un livre écrit par l’un des membres d’une des familles assises dans le box des accusés ; monsieur Sydney Warburg. C’est un livret de 70 pages écrit en 1933 : « Les origines du National Socialisme », qui fut censuré pendant de longues années. Il fût finalement édité en 1933 sous le titre « Les soutiens financiers d’Hitler ».
- Objection votre honneur, Sydney Warburg n’a jamais existé !
- Monsieur Kilzer, qu’avez-vous à répliquer ?
- On ne connaît effectivement aucun Sydney Warburg, mais l’évidence suggère que l’auteur presque certainement James P. Warburg, le fils de l’un des fondateurs et piliers de la FED, Paul Warburg. Le général Ludendorff attesta au procès de Nuremberg que James P Warburg était le canal à travers lequel 34 millions de dollars furent finalement transférés de Wall Street aux nazis, pour financer leur prise de pouvoir. On se demande pourquoi quelqu’un se compromettrait autant pour s’aliéner les gens les plus puissants du monde s’il n’était pas sincère.
- Objection rejetée ! dit le juge.

Louis Kilzer prend une pause, avale un verre d’eau, puis commence sa narration :
- Sydney Warburg décrit une réunion secrète tenue en juillet 1929 avec « Carter », le président du « Guarantee Trust » de J.P. Morgan, les présidents des différentes « Federal Reserve Banks », le jeune « Rockefeller » et Glean de la « Royal Dutch Shell », tous sous tutelle des Rothschild.
Il fut décidé ce jour là que Warburg, qui parlait allemand, irait en Allemagne et demanderait à Hitler de combien d’argent il avait besoin pour renverser l’état. La seule stipulation était que Hitler adopte : « une politique étrangère agressive. »

« Warburg » détaille cinq rencontres avec Hitler entre 1929 et 1933. La première eut lieu dans une cave à bière ; Hitler y calcula ses besoins sur le dos d’une assiette en carton. Environ 25 millions de dollars furent transférés. C’était extrêmement important dans le contexte de la grande dépression parce que les nazis nourrissaient et abritaient beaucoup de leurs partisans.

On ne donna pas la raison de ce soutien à Hitler et il ne la demanda pas. En deux occasions, il se demanda tout fort si Warburg était lui-même juif, mais il en rejeta l’idée, avant même de la lui poser.

- En fait, il ressort de mes recherches, que le Chancelier Hitler ne voulait pas la seconde guerre mondiale, il n’avait pas l’audace de combattre l’Angleterre. Hitler croyait que le futur de la civilisation occidentale dépendait de la coopération de l’Allemagne avec ses cousins aryens, d’Angleterre et des Etats-Unis. Ses cibles territoriales étaient limitées à la Russie communiste. Il était déterminé à éviter de faire la guerre sur deux fronts.

Le « miracle de Dunkerque » fut en fait une extraordinaire ouverture pacifique pour l’Angleterre. En mai 1940, les britanniques étaient au bord de la défaite. L’armée anglaise était encerclée à Dunkerque. Plutôt que de les faire prisonniers, Hitler stoppa ses généraux pendant trois jours, permettant à 330.000 hommes de s’échapper. « Le sang de chaque anglais a trop de valeur pour couler » avait dit Hitler. « Nos deux peuples s’apparentent racialement et traditionnellement. C’est et cela a toujours été mon but, même si nos généraux ne peuvent pas le comprendre. »
Hitler essayait de convaincre les anglais de faire la paix. En échange, il était prêt à se retirer de l’Europe de l’Ouest et d’une bonne partie de la Pologne.

L’affaire était tellement avancée, que le 10 mai 1941, Rudolph Hess, le leader en second de l’Allemagne nazie, s’envola vers l’Angleterre, pour négocier la paix. Hess avait la bénédiction d’Hitler. Coïncidence, ce fut la pire nuit de la Blitzkrieg. Ensuite, il y eut une longue accalmie dans les raids aériens nazis et britanniques. Il apparaît que les nazis pensaient avoir un accord avec les britanniques et portèrent leur attention sur l’invasion de la Russie le mois suivant.
Hitler ne comprit pas que les élites anglo-américaines étaient (et sont encore) intimement liées avec la finance internationale (c’est-à-dire avec les Rothschild). L’impérialisme anglo-américain est en fait un front pour les familles qui possèdent la banque d’Angleterre et la FED. Ces familles sont connectées par l’argent, les mariages et le culte de Lucifer. Roosevelt et Churchill étaient tous deux leurs laquais, tout comme le sont la majorité de nos hommes politiques.
(voir le livre de Louis Kilzer « Churchill’s Deception”, La mystification de Churchill »)

- Je vous Remercie monsieur Kilzer, vous avez la permission de vous retirer.
(Extrait du livre La Grand Procès des Banques, disponible sur benperi.eu)

Demain, nous verrons la déposition de monsieur le Rabbin Moshe Shonfeld.

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