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HRW accusée d’être financée par les Saoudiens eux même accusés d’être derrière les émeutes sanglantes en Syrie

Publié par Diatala sur 10 Juin 2011, 10:03am

Catégories : #Assad - Syrie- Médiamensonges

3027919-4313473.jpgS . L Whitson de HRW déclare de Beyrouth la guerre au gouvernement syrien en publiant un rapport accusateur intitulé :«Nous N’avons Jamais Vu Une Telle Horreur : Crimes Contre L’Humanité A Deraa». HRW Se targue d’avoir « VU » sauf qu’elle avoue ne pas être présente sur place. HRW outre le fait d’être financée par le « Parrain » des révolutions colorées, Georges Soros , a été accusée en 2009 d’être allée collecter des fonds en Arabie Saoudite que le régime de Damas dénonce comme étant derrière les sanglantes tentatives de déstabilisation de la Syrie. Le scénario ONG/Médias à la lybienne se répète cette fois contre la Syrie

D’abord de violentes émeutes déclenchées par des groupuscules armés - en fait des mercenaires - s’auto proclamant être l’opposition au régime en place mais qui s’avèrent constituer une 5éme colonne armée soutenue et financée de l’étranger principalement les Saoudiens agissant pour le compte des US Israël.

Des tueries dont le gouvernement en place est systématiquement accusé alors même que ces groupuscules armés sont systématiquement blanchis qualifiés de « victimes » de « résistants » de «démocrates » car tout ceci se passe dans le cadre du « Printemps Arabe » qu’on sait avoir été récupéré par Washington et Tel Aviv et leurs supplétifs.

Les médias occidentaux mais aussi arabes - Al Jazeera- entrent alors en scène ainsi que des ONG qui « accompagnent » ces pseudos mouvements démocratiques d’opposants. Les uns fournissent des « témoignages » de «militants des droits de l’homme » des « comptes rendus » des « vidéos » publiées sur YouTube/Google les autres les publient et les programment en UNE.

Ensuite le pays ciblé pour un « changement de régime » - qui au mieux par la suite s’accompagne d’un exil pour le dirigeant ou d’un emprisonnement comme c’est le cas de Ben Ali et Moubarak et au pire d’un assassinat comme celui déjà tenté contre Kadhafi - est accusé de crimes contre l’humanité et ces ONG, comme HRW, « preuves à l’appui » disent -elles font pression sur les politiques pour que le CSONU soit saisi et qu’il envoie l’affaire devant la CPI qu’on sait manipulée par les grandes puissances.

Puis c’est l’intervention militaire au nom de la R2P pour la Libye avec le feu vert du CSONU. Dans le cas de la Syrie cela pourrait se faire sans comme pour l’Irak, la Chine et la Russie pouvant opposer leur veto… pour le moment. Guerre régionale assurée voire plus la Syrie ayant des accords de coopération militaire avec l’Iran qui est visé.

HRW déclare la guerre au gouvernement syrien de…… Beyrouth

HRW accuse le gouvernement syrien de Bashar Al Assad de « crimes contre l’humanité à Deraa », mais HRW n’était et n’est pas présente à Deraa sa directrice de la division Moyen Orient et Afrique du Nord, Sarah Leah Whitson, juive américaine, est en poste à Beyrouth c’est donc de Beyrouth qu’elle lance ses accusations et sa guerre contre le régime syrien actuel.

En effet dans son communiqué et son rapport HRW reconnaît explicitement ne pas être présente sur place.

Selon le communiqué de HRW disponible sur leur site en Français HRW affirme baser son rapport intitulé « Nous n’avons jamais vu une telle horreur : crimes contre l’humanité à Deraa » sur des entretiens et témoignages mais à aucun moment elle ne précise comment et où exactement ils ont été recueillis. Elle avance des chiffres de victimes pour Deraa qu’elle avoue elle -même être impossible à vérifier se réfugiant derrière l’accusation que le régime syrien a imposé un blocus sur les informations réclamant de ce dernier qu’il laisse entrer des observateurs indépendants à Deraa et ailleurs en Syrie.

« …Les autorités syriennes ont aussi imposé un blocus sur l'information à Deraa. Elles ont empêché tous les observateurs indépendants d'entrer dans la ville et ont interrompu tous les moyens de communication. Les forces de sécurité ont recherché et confisqué les téléphones portables contenant des enregistrements des événements de Deraa, et elles ont arrêté et torturé les personnes qu'elles soupçonnaient de tenter de faire sortir des images ou autres informations, y compris des ressortissants étrangers. Dans certaines zones, l'électricité et les communications restent coupées. ..» Extrait du communiqué sur le site français de HRW.

Donc comment peut-on titrer un rapport ?????????

« Nous N’avons Jamais Vu Une Telle Horreur : Crimes Contre L’Humanité A Deraa » si HRW avoue dans un communiqué présentant ce rapport qu’elle n’était pas et n’a pas pu ensuite être présente à Deraa et si de plus les communications « restent coupées » selon elle.

On ne peut se permettre d’établir un tel acte d’accusation d’une extrême gravité que si on a ou on a eu un accès direct sur le terrain sur les lieux des «crimes » perpétrés d'où on a pu collecter des preuves matérielles si on a eu accès directement aux familles des victimes et des témoins impliqués afin d’apporter professionnellement des preuves irréfutables de ces crimes


Et Sarah Leah Whitson en plus de conclure :

« Les autorités syriennes ont fait tout ce qu'elles ont pu pour dissimuler leur répression sanglante à Deraa », a conclu Sarah Leah Whitson. « Mais des crimes aussi horribles sont impossibles à cacher, et tôt ou tard les responsables devront répondre de leurs actes. »

HRW n’était et n’est pas présent sur le terrain en Syrie la directrice de la division Moyen Orient et Afrique du Nord de HRW, Sarah Leah Whitson, est basée à Beyrouth.

On sait que le Mouvement du Futur du 14 Mars de Saad Hariri sous tutelle saoudienne et américano sioniste a été accusé au début des violents incidents en Syrie de fournir des armes et de l’argent à des groupuscules de mercenaires notamment des extrémistes religieux Salafistes.

Tout récemment un énorme scandale a éclaté à Beyrouth. Les Forces de Sécurité intérieures libanaises dirigée par le Gl Ashraf Rifi un proche de Saad Hariri se sont emparées du ministère des communications en y interdisant l’accés au ministre des communications Cherbel Nahhas défiant également leur ministre de tutelle le ministre de l’intérieur Ziad Baroud.

Bref un coup d’état dans l’état pour protéger au deuxième étage du ministère un système international de téléphonie mobile géré par la société OGERO une branche de la société de télécommunication saoudienne appartenant à Saad Hariri et dirigée par Abdel Menhem Youssef. Youssef est actuellement en France où, coïncidence, Sarkozy manœuvre avec force pour faire tomber le régime de Bashar al Assad. Youssef affirme ne pas y avoir cherché refuge pourtant la France est réputée pour servir d’asile aux malfrats utilisés par les politiciens libanais du Mouvement de Saad Hariri qui fait lui-même de longs séjours à l’étranger. Youssef se serait enfui avec les clés magnétiques donnant accès aux locaux où se trouvent les équipements de ce réseau.

Donc on peut s’interroger sur cette intervention musclée des forces de sécurité intérieures libanaises sous contrôle de Saad Hariri pour semble-t-il protéger ce système de télécommunications lui appartenant logé au sein même du ministère de l’intérieur dans des locaux soit disant loués à l’amiable par une employée du ministère ?!

Qu’est ce qui se cache derrière ce système, à quoi servait -il ? On parle de 50 000 lignes de téléphonie pour qui pour quoi ? Les deux autres systèmes de téléphonie mobile libanais avaient déjà été infiltrés par des agents du Mossad ces réseaux d’agents du Mossad ayant été démantelés ces derniers mois par l’armée libanaise avec l’aide de la Résistance libanaise.

On sait d’autre part que certains « manifestants » du « Printemps Arabe » ont bénéficié de téléphonie mobile high tech pour communiquer avec l’étranger les informations étant ensuite répercutées vers les médias qui ont inauguré la nouvelle aire de « l’information brute » fournie par des « manifestants », des «militants des droits de l’homme » et non pas par des journalistes professionnels accrédités travaillant sur place.

Et si ce réseau de téléphonie libano saoudien de Saad Hariri situé au deuxième étage du ministère de l’intérieur libanais était tout simplement un nœud central de téléphonie pour ces « manifestants » ces «militants des droits de l’homme » en Syrie ?

Comment HRW une fois replacée localement dans son contexte de travail au Moyen Orient - non pas en Syrie puisqu’elle avoue elle -même ne pas y avoir accès mais à Beyrouth - a-t-elle fait pour obtenir ces «entretiens et témoignages» ?

Une chose est sûre HRW diffuse des informations non vérifiées sur place sans dire précisément d’où et comment elle les a obtenues et ce n’est pas la première fois qu’elle procède ainsi.

Son rapport s’apparente plus à une véritable campagne de propagande violemment diffamatoire savamment orchestrée pour faire pression pour que soit lancée une de ces guerres « humanitaires « contre la Syrie.


Mais peut -on s’attendre à autre chose de la part d’une ONG dont les financements proviennent à 70% des USA dont l’un des généreux donateurs n’est autre que Georges Soros le « Parrain » des révolutions colorées qui ont secoué l’Europe de l’Est ces dernières années avec un succès mitigé et qui a été accusée en 2009 d’aller collecter des fonds chez les Saoudiens eux-mêmes accusés d’être derrière la violente campagne de déstabilisation de la Syrie.

Human Rights Watch financée par Georges Soros

Cette information est connue de beaucoup mais il est important de la resituer dans le contexte géopolitique du “Printemps Arabe” et de la contre- insurrection menée par les US Israël l’Arabie Saoudite et autres Monarchies totalitaires du Golfe dont le Qatar à qui appartient Al Jazeera ainsi que leurs supplétifs européens.

En Septembre 2010 -donc en fin d’année dernière juste avant le début de ce fameux « Printemps Arabe » - l’AP annonçait dans une dépêche que le milliardaire et philanthrope Georges Soros offrait par le biais de ses Open Societies Fondations l’une des plus importantes donations de ce genre pour une organisation de défense des droits de l’homme soit 100 millions de dollars pour permettre à HRW d’étendre ses activités et l’aider à obtenir plus de soutien financier international.

Sur ce dernier point, G.Soros invoquait habilement le fait que l’ONG soit principalement financée par des Américains et que cela mettait en danger sa crédibilité car selon lui les US ont perdu de leur « hauteur morale » dans le combat contre les abus.

Cette donation de 100 millions attribuée sur 10 ans est un coup de pouce financier énorme pour HRW dont le budget annuel est de 48 millions de dollars. Soros espère ainsi faire des émules à l’internationale de sorte que le budget annuel de HRW passe en 5 ans à 80 millions de dollars.

On comprend dés lors le zèle de HRW à dénoncer ce qui se passe en Syrie même si l’ONG n’y est pas présente. HRW doit faire ses preuves. HRW envisage de recruter 120 employés de plus principalement des chercheurs et des agents et d’ouvrir de nouveaux bureaux - actuellement HRW est présente dans 90 pays - notamment en Inde au Brésil afin selon ses prétentions d’encourager ces pays émergents à faire de la défense des droits de l’homme un élément primordial de leur politique étrangère une ingérence flagrante visant à forcer ces pays à ne plus collaborer avec les pays listés par les US comme ne respectant pas les droits de l’homme.(EX : le Brésil ne devrait plus collaborer avec l’Iran accusé par Washington de violation des droits de l’homme).

Cette donation vise à faire en sorte que le financement de HRW soit assuré au moins à 50% à l’internationale et que la plupart des membres de son conseil d’administration ne soient pas Américains ce d’ici 5 ans. Actuellement 70% des financements de HRW provient des US et 80% des membres de son conseil d’administration sont des Américains.

En fait le plan de Soros en internationalisant le financement de HRW c’est de rendre cette ONG plus crédible internationalement car elle est souvent accusée à juste titre de servir la politique américaine de par le monde. Il vise à faire oublier les ingérences américaines dans un grand nombre de pays ou tout du moins contrecarrer cet argumentaire. HRW n’est pas toujours bien accueillie dans certains pays notamment arabes et musulmans les populations se montrant à son égard bien souvent plus que méfiantes voire carrément hostiles et ses agents doivent souvent opérer clandestinement comme le font les agents des services de renseignements étrangers avec lesquels ils peuvent être confondus.

Soros un milliardaire juif américain qui a fait fortune dans les transactions et spéculations monétaires internationales a été accusé d’être le financeur des révolutions dites colorées en Europe de l’Est. Ses préoccupations concernant les droits de l’homme sont en fait une feuille de vigne pour préparer le terrain dans certains pays à la mondialisation ultra libérale et son cortège de misères amenées dans ses bagages. HRW participe également de ce plan en manipulant la défense des droits de l’homme et en poussant à la guerre contre les pays récalcitrants qui essaient de préserver une politique étrangère indépendante et privilégie l’intérêt général de leurs pays et citoyens.

HRW n’a pas attendu Soros et ses 100 millions de dollars pour se faire financer en dehors des US.

HRW accusée d’être financée par les Saoudiens eux même accusés d’être derrière les émeutes sanglantes en Syrie

En juillet 2009, un article d’opinion de David Bernstein publié dans le Wall Street Journal a accusé HRW d’avoir envoyé une délégation en Arabie Saoudite pour collecter des fonds et non pas pour y dénoncer les violations quotidiennes des droits de l’homme -contre les femmes les homosexuels les travailleurs étrangers les shi’ites saoudiens…. dans cette monarchie dictatoriale qui sème la zizanie à coups de millions de pétro dollars dans le Grand Moyen Orient.

C’est Sarah Leah Whitson en personne dirigeant cette délégation qui a présenté les activités de HRW aux riches Saoudiens sollicités pour des aides financières. La délégation a été reçue en grande pompe à Ryad par un important homme d’affaires saoudien, Emad bin Jameel Al - Hejailan, lors d’un dîner auquel ont également participé de richissimes membres de la société saoudienne des militants des droits de l’homme et des dignitaires saoudiens. Hassan Elmasry membre du conseil international des directeurs et du comité de conseil de la division Moyen Orient de HRW qui faisait partie de la délégation a sollicité l’aide des Saoudiens. Elmasry est également directeur à la Morgan Stanley de Londres. Whitson a reconnu qu’il s’agissait bien lors de cette visite en Arabie Saoudite d’obtenir des financements saoudiens et a dit que c’était quelque chose qu’il fallait « applaudir ».

Ces accusations portées dans le Wall Street Journal par ce pro sioniste pur et dur , David Bernstein, accusait surtout HRW de mener une campagne contre Israël et de s’en être vantée auprès des Saoudiens espérant ainsi leur soutirer de l’argent.

Cette information reprise par un autre journaliste dans The Atlantic par un autre juif sioniste américain, Jeffrey Goldberg, le 15 Juillet 2009 intitulé «Fund Rising Corruption at Human Rights Watch » portait là aussi plus sur le fait que HRW par la bouche de Sarah Leah Whitson avait soit disant dénigré Israël pour séduire les riches Saoudiens. Mais dans cet article ou figure des réponses du directeur général de HRW, Ken Roth, on y trouve des informations précises sur HRW.

Ainsi cet article révèle donc que la délégation avec à sa tête Sarah Léah Whitson de HRW a sollicité de riches Saoudiens pour financer ses activités dans la région en leur exposant en détails ce qu’elle y faisait et en avançant également comme arguments de collecte qu’elle souhaitait développer lesdites activités régionales , mais aussi qu’elle voulait crédibiliser le travail de HRW sur l’Arabie Saoudite auprès des Saoudiens.

Roth dit :

« En Arabie Saoudite nous mettions principalement l’accent sur le besoin de soutien pour ajouter de la crédibilité à notre travail sur l’AS (de même que leurs contacts avec le gouvernement, etc…)… Nous n’obtenons pas de financements des Saoudiens pour notre travail sur Israël si c’est ce que vous insinuez. Nous avons effectivement des financements de Juifs pour notre travail sur d’autres pays du Moyen Orient (et certains pour notre travail sur Israël)… »

Il précise également que la démarche de collecte de fonds saoudiens s’adressait également à un membre du Conseil de la Shura parmi les dignitaires présents lors de la rencontre avec la délégation de Sarah Leah Whitson. Ce Conseil supervise pour la monarchie saoudienne l’application stricte de l’interprétation wahhabite de la loi islamique. Autrement dit c’est une organisation satellite de la monarchie saoudienne.

Aller collecter des fonds en Arabie Saoudite en vantant en détails ses rapports sur les soit disant violations des droits de l’homme dans d’autres pays arabes de la région est un procédé quelque peu étrange sachant que l’Arabie Saoudite dispense généreusement ses pétrodollars pour fomenter des émeutes dans des pays arabes voisins à des groupuscules islamistes fanatiques et autres mercenaires ce que HRW ne peut absolument pas ignorer.

HRW ne peut pas ignorer non plus que l’Arabie Saoudite a mené une répression des plus sanglantes au Bahreïn. Mais sur ces violences extrêmes HRW est restée plutôt discrète se contentant de quelques réprimandes et surtout pas de rapport au titre volontairement tapageur.

Alors pourquoi la Syrie plutôt que le Bahreïn* ?

HRW préfère pour développer ses activités au Grand Moyen Orient les pétrodollars saoudiens puisque selon Whitson c’est une collecte qu’il faut « applaudir ».

A LIRE

La guerre secrète de l’alliance israélo-saoudienne par Mahdi Darius Nazemroaya


AGIR*

La Fédération Internationale de l'automobile a donné son feu vert pour que la Formule I 2011 ait lieu en Octobre au Barheïn justifiant cette décision comme résultant d'une missions d'enquête qui

"reflète l'esprit de réconciliation qui prévaut dans la monarchie de Barheïn."

Apparemment pour la FIA :

l'arrestation en masse des opposants qui ont manifesté pacifiquement inclus des médecins et du personnel soignants, le fait qu'ils aient été torturés, certains jugés par un tribunal d'exception militaire et condamnées à mort,

le fait que des raids aient été menés par les forces de sécurité du Barheïn appuyées par la Garde Nationale Saoudienne dans des écoles,

le fait que plusieurs dizaines de mosquées shi'ites aient été détruites,

le fait qu'un grand nombre de Shi'ites barheinis - il s'agit d'un véritable nettoyage ethnique contre cette communauté qui constitue la majorité de la population autochtone ( 70%) - aient perdu leurs emplois dont certains liés à l'organisation de cette Formule I

tout ceci donc

"reflète l'esprit de réconciliation qui prévaut dans la monarchie du Barheïn" pour la FIA selon le NYT.

Contacter la Fédération Internationale de l'Automobile pour protester contre cette décision et demandez que la FormuleI 2011 ait lieu ailleurs qu'au Barheïn:

FEDERATION INTERNATIONALE DE L'AUTOMOBILE

8, Place de la Concorde
75008 Paris
France

Telephone:               +33 1 43 12 44 55         +33 1 43 12 44 55
Facsimile: +33 1 43 12 44 66

Source : http://www.planetenonviolence.org/Human-Rights-Watch-Financee-Par-Les-Saoudiens-Accuses-Par-Les-Syriens-De-Destabiliser-Leur-Pays_a2438.html?print=1

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