Nigel Farage un eurodéputé britannique fustige cet inconnu, Herman Van Rompuy, qui détruit petit à petit après les autres l'Europe. L'Europe est censée gouverner les pays nations démocratiques et pourtant aucun peuple n' a voté pour un seul de ces hauts dirigeants et aucun peuple ne s'est soulevé pour reconquérir ses droits, sa souveraineté et ses pouvoirs démocratiques.
Ci-dessous la Tour de Babel de Nemrod, un des rois de Babylone, construite pour défier le faux dieu cruel de l'Ancien Testament ; un récit plagié aux cultes païens suméro-égypto-babylonien. Babel n'a jamais été achevée, et le Parlement européen, avec sa tour « Louise Weiss » (écrivain, féministe militante juive par sa mère) est non achevée aussi volontairement.
27 nations ne parlant pas la même langue pour semer la confusion et diviser les peuples. Cela ne vous rappelle rien ? C'est l'histoire de la Tour de Babel.
Cette construction ne peut laisser indifférent et suggère une lourde charge symbolique. Il n'est pourtant pas difficile de constater que tout a été fait pour détruire l'Europe et non construire une grande puissance politique, économique et militaire. L'Europe est soumise et non souveraine. La symbolique cachée de la Déclaration des droits de l'Homme ici. En savoir plus sur le Parlement ici.
Et que fait Catherine Ashton à son poste de Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité de nos pays alors que personne ne la connaît ni d'Eve ni d'Adam ni de Nemrod ?
Les médias alignés et corrompus nous abreuvent d'imbécilités pendant qu'une élite malveillante détruit l'Europe, via ses sbires, en annihilant les droits des peuples.
Alors peut-on encore parler de démocraties sans être ridicules ? Cette prise de pouvoir illicite, illégitime, conduite par le Haute finance, destructrice des droits des Peuples, s'appelle le Totalitarisme pour la mise en place du NOM. Nous devrions tous descendre dans la rue et brandir les mêmes pancartes qu'au Maghreb : "Cassez vous .... ..."
Aurélien BERNIER Délocalisations, destruction méthodique des droits sociaux, incapacité à protéger l’environnement, refus de la démocratie...
Après l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, on pouvait croire que l’Union européenne avait atteint le fond du trou libéral. Erreur ! Depuis la crise financière, elle creuse ! Même l’idéal de solidarité entre États vole aujourd’hui en éclat. Une vague d’austérité sans précédent déferle sur l’Europe, qui place elle-même ses peuples sous la tutelle des marchés financiers.
Faut-il attendre que l’extrême droite tire les bénéfices de l’incompétence des « élites » européistes, converties à l’ultralibéralisme ? Certainement pas. La gauche doit assumer la désobéissance à l’ordre juridique instauré avec l’Union européenne : non pas seulement lorsqu’il s’agit de faucher des OGM ou d’accueillir des sans-papiers, mais aussi et d’abord lorsqu’il est question de sortir concrètement de l’ultralibéralisme à l’européenne.
La quasi-totalité des mesures proposées par la "vraie" gauche sont incompatibles avec le droit européen. Mais personne n’ose le dire ! Il ne sert à rien de s’indigner des menaces sur les services publics et le programme du Conseil national de la Résistance si nous ne brisons pas cette omertà et ne restaurons pas la primauté du droit national sur le droit communautaire. Sans désobéissance européenne, pas de politiques écologique et sociale. Le choix est donc simple : soit il faut dissoudre une fois pour toute la gauche dans l’Europe, soit il faut assumer la rupture. Cette rupture a un nom : la désobéissance européenne !
Le livre d’Aurélien Bernier pose le débat interdit, en montrant qu’il ne nous conduira pas à l’apocalypse, mais à une véritable révolution progressiste par les urnes.
Histoire du « Nouvel ordre mondial »
par Pierre Hillard
Pierre Hillard retrace l’histoire d’un courant idéologique qui imprime sa marque aux actuelles tentatives de regroupement d’Etats au sein de blocs régionaux et tente de les orienter vers une forme de gouvernance mondiale. Son objectif n’est pas de prévenir les conflits, mais d’étendre la puissance financière et commerciale du monde anglo-saxon. Il théorise et revendique le projet d’un « Nouvel ordre mondial » érigé sur les ruines des Etats-nations.
Bien sûr, il ne s’agit pas d’assimiler tous les efforts visant à mettre fin aux divisions nationales à une volonté de domination. Mais il est indispensable d’étudier ce projet de globalisation politique afin de ne pas le laisser transformer l’idéal de l’unité humaine en [...]
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