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Réseaux pédocriminels Illuminati. L’affaire Dutroux. Meutres et Chantage

marc-dutroux.jpg« Les réseaux d’abus sexuel sur mineur font partie du mode de vie des satanistes générationnels qui composent l’élite dirigeante belge. Ce problème ne se limite pas à la Belgique. »

Par David Richards
(Pour henrymakow.com)

L’ »affaire Dutroux » prouve définitivement l’existence de réseaux pédophiles Illuminati.

Le scandale a commencé avec l’arrestation en Belgique de Marc Dutroux en 1996 pour l’enlèvement et le meurtre de jeunes filles âgées de huit ans. Dutroux a emprisonné les filles dans son sous-sol, où il a abusé d’elles sexuellement et tourné des vidéos pornographiques. Il les a assassiné une fois qu’elles ont accompli leur tâche. Deux jeunes filles, An Marchal (17 ans) et Eefje Lambrecks (19 ans), ont été droguées et enterrées vivantes dans le jardin de Dutroux.

Cette affaire était explosive parce que Dutroux était un petit rouage dans un réseau d’esclaves sexuels impliquant des gens puissants. Son complice dans l’enlèvement, Michel Lelièvre, a déclaré, « Marc m’a toujours dit qu’il avait enlevé les filles pour le compte de gens qui avaient passé une commande auprès de lui. Il a tué An et Eefje parce que les gens ayant passé la commande « n’étaient pas intéressés pas à elles. »"

Les ordres sont venus d’un homme du nom de Michel Nihoul. Un criminel professionnel impliqué dans la fraude financière et le trafic de drogue, Nihoul avait des liens avec les plus hauts échelons de l’establishment belge.

 

Les survivants des réseaux d’abus sexuel ont été encouragés par l’arrestation de Nihoul et vinrent témoigner. La plupart des témoins ont été désignés par un « X » suivi d’un numéro par la police, et ainsi leurs témoignages ont été connus sous le nom de « dossiers-X ».

PARTICIPATION ILLUMINATI

Les « témoins-X » ont désigné les hommes les plus puissants de Belgique comme abuseurs.

Maurice_Lippens_ik_heb_ook_geleden_medium.jpgL’utilisation de réseaux d’abus est caractéristique des familles de l’élite. Par exemple, le comte Maurice Lippens a été un participant régulier du Bilderberger et a co-dirigé la Société Générale dans les années 1980.

Les témoins X1, X2, X4 et d’autres personnes ont cités Maurice Lippens (ci-dessus) et son frère Léopold, le maire de longue date de Knokke, comme de vicieux abuseurs d’enfants et des participants au réseau de « snuff movies« . Curieusement, Wikipédia omet de mentionner ce fait.

Les abuseurs sexuels de l’élite se marient avec d’autres abuseurs sexuels. X1 et X2 ont mentionné le baron Benoît de Bonvoisin, un aristocrate belge qui a été fortement impliqué dans des organisations fascistes, comme l’un des abuseurs les plus sadiques dans le réseau.

Une de ses sœurs épousa le comte Hervé d’Ursel, qui a été accusé par X1 d’implication dans le réseau de snuff movies et d’abus rituels. Son autre sœur est mariée à Bernard de Merode, une famille qui a des liens avec le monde du renseignement qui a été accusée d’abus sur des enfants par X4 et Nathalie W.

Même la famille royale belge a été mise en cause à plusieurs reprises. X3 (le seul témoin « X » a avoir subi des mauvais traitements dans les années 50 et 60) a impliqué le Prince Charles (1903-1983), le second fils du roi Albert Ier, le roi Baudouin (1930-1993), et le fils aîné du roi Léopold III.

Il est clair que les réseaux d’abus sexuel sur mineur font partie du mode de vie des satanistes générationnels qui composent l’élite dirigeante belge. Ce problème ne se limite pas à la Belgique.

PEDOPHILIE

Les enfants ont été envoyés à des soirées pour VIP dans des clubs et villas, où ils ont été soumis à la fellation et la pénétration sexuelle dégénérant en perversions d’une horreur inimaginable. Ceci incluant notamment le viol anal violent d’enfants aussi jeunes que trois ans, de longues séances de torture, et le sexe avec des animaux. Certaines descriptions sont horriblement fantastiques, tel le témoignage d’accouchement d’X1 (lire également ceci):

« Lorsque les contractions ont commencées sa [à X1] grand-mère a passé un appel téléphonique. Les frères Lippens, Vanden Boeynants, et le commissaire adjoint [de police] de Knokke sont arrivés. De Bonvoisin et Vander Elst sont arrivés par la suite… Vander Elst met un couteau sur sa gorge tandis que Bonvoisin la viole… Elle doit se masturber pendant que Vander Elst prend un certain nombre de photos. Lippens la viole avec une lame de rasoir. Lorsque l’enfant est sortie, de Bonvoisin l’a battue [plusieurs fois au visage]. Directement après que X1 a accouché, elle a été violée et sodomisée. Sa fille a disparu six semaines plus tard. »

En raison de la violence extrême qu’elles ont subi, les filles souffraient de trouble dissociatif de l’identité, où l’esprit se scinde en des dizaines, voire des centaines, de personnalités différentes. Ces personnalités sont réveillées par différents déclencheurs, par exemple un esclave sexuel soumis peut être amené à l’existence par l’utilisation d’un certain mot. Quand nous entendons le témoignage de X1 sur son contrôle mental, il est clair que Tony son « proxénète » a été formé à ces techniques:

« Il m’a donné différents noms : Pietemuis, Meisje, Hoer, Bo. Les noms ont lentement commencé à faire partie de moi. La chose étrange est que s’il mentionnait le nom, l’état d’esprit qui correspond à ce nom était immédiatement déclenché. »

Les différentes personnalités décrites par X1 ouvrent une fenêtre horrible dans la psyché d’un esclave sexuel, « Pietemuis [Petite Souris] est devenu le nom de la petite fille qu’il a été emportée à la maison après l’abus – une petite fille effrayée et nerveuse qu’il pouvait consoler en lui parlant de façon bienveillante et paternelle. Meisje [Fille] était le nom de cette partie de moi qui n’appartenait qu’à lui. S’il abusait de moi dans mon lit au petit matin, par exemple, ou s’il n’y avait personne autour de nous. Hoer [Pute], le nom de cette partie de moi qui travaillait pour lui. Bo, la jeune femme qui prenait soin de lui s’il était ivre et avait besoin d’être soigné. »

« Et bien ça ça m’appartient« , répondit-il quand je lui ai demandé pourquoi curieusement, il m’avait donné tant de noms, « papa Tony vous connaît mieux que vous vous connaissez. » Ce qui était vrai. »

Il s’agit bien-sûr du contrôle mental MK-Ultra, la preuve que les réseaux d’abus sont internationalement gérés par les services secrets et entités criminelles.

Les enfants étaient généralement assassinés dès qu’ils atteignaient leur 16e anniversaire. X1, X2, X3, X4 et d’autres ont tous parlé des enfants assassinés. Ces meurtres étaient souvent capturés sur vidéo, et montrés lors de soirées d’abus, puis transformés en snuff movies vendus sur le marché noir pour des dizaines de milliers de dollars.

CHANTAGE

Les réseaux d’abus fonctionnent comme un système de chantage pour s’assurer que tous les Illuminati et leurs organisations criminelles soient bien obéissants.

X1 décrit son rôle:

« À Bruxelles, il y avait une villa dans laquelle une pièce avait été préparée avec des appareils photos intégrés. Même dans les années 1970, ces appareils photos étaient si discrets que seuls les gens qui en assuraient la maintenance et les enfant prostitués savaient où ils se trouvaient… Pourquoi fallait-il que je fasse en sorte que ces gars-là soient clairement visible sur la photo, pourquoi devais-je les amener à me frapper brutalement et me violer?… Chantage, le mot qui n’a jamais été mentionné, je n’ai commencé à vraiment comprendre que quand j’avais treize, quatorze ans… »

Elle a appris que les rapports sexuels avec des enfants étaient un moyen de créer et de consolider les contrats commerciaux. C’est ainsi que ça fonctionnait (et sans doute fonctionne encore):

Les coaches d’X1 invitèrent à dîner quelqu’un qui pourrait leur être utile, et après qu’ils eurent suffisamment bu, à une partouze. La cocaïne était abondante et les hommes ont eu des idées après avoir visionné des films de pornographie juvénile projetés sur des écrans vidéo. Les « proies » ont ensuite été emmenées dans une pièce où un enfant couché attendait. Après le sexe, « Pas une seule de ces personnes n’était encore encline à signer des contrats avec des personnes en dehors du réseau. Si cela se produisait on pourrait leur faire payer cher cet écart. »

Même Michel Nihoul a admis que les réseaux d’abus sont utilisés comme moyen de chantage dans une interview avec le Der Spiegel en 2001:

« Je contrôle le gouvernement. …Tout le monde a des dossiers compromettant sur tout le monde, pouvant être utilisés comme levier quand la situation s’y prête. … C’est la maladie belge.

« [Enregistreur vocal désactivé. Pour une somme à 6 chiffres] Je vais vous donner une photo sur laquelle on voit le Prince Albert sauter une fille de 16 ans. Nu. Prise au deuxième étage du Mirano Club il y a 20 ans [où un réseau pédophile de chantage aurait été situé, selon d'autres témoins]. … Ensuite, je dois quitter la Belgique. »

Si un membre des Illuminati, ou un de leurs laquais, veut en sortir, changer ses habitudes et se repentir, le chantage les en dissuade. Si vous vendez votre âme au diable, vous ne pouvez la récupérer.

ENQUÊTE TENUE EN ECHEC

L’affaire Dutroux est une parfaite illustration de la façon dont le système judiciaire et les grands médias travaillent en tandem avec l’establishment pour cacher la vérité.

L’enquête a été entravée depuis le début. Le juge d’instruction Jean-Marc Connerotte a été chargé de l’affaire. Connerotte était un homme droit qui ne pouvait être acheté, et il fut donc dessaisi de l’affaire. Plus tard, il a dit devant la cour, « Il nous fut dit par la police que des contrats [d'assassinat] avaient été passés contre les magistrats, » et que « les méthodes du crime organisé ont été utilisées pour s’assurer que son enquête échoue« .

Son remplaçant était un homme nommé Jacques Langlois. Il a immédiatement décidé qu’il ne voulait pas entendre parler de réseaux d’abus sur mineur, et est devenu l’une des figures clés responsables du démantèlement de l’enquête Dutroux en ignorant d’innombrables pistes et envoyant ses enquêteurs dans toutes sortes de directions bidons.

Le commissaire de police Georges Marnette a joué un rôle central dans ces manoeuvres de désinformation. Tant X2 que Nathalie W. identifièrent Marnette comme un abuseur membre du réseau.

Très vite, les témoins et les parents d’enfants disparus ont perdu foi dans le système judiciaire. Tiny Mast, dont la fille Kim Heyrman a été portée disparue en 1994, est devenue une bonne amie de X1. Elle a déclaré:

« Je peux raconter des centaines d’histoires qui, si je les compare à ce que la commission Verwilghen a qualifié « d’erreurs », stimulent vraiment l’imagination. Ces gars-là sont si agressifs et si inhumains que j’ai parfois l’impression qu’ils font partie de la même clique que ceux qui ont enlevé mes enfants. »

COVER-UP

Pour vous donner une idée du niveau du cover-up, Langlios a rencontré les producteurs d’ »Au Nom de la Loi », un programme de télévision de langue française influent. Suite à ces rencontres, « Au Nom de la Loi » a diffusé quatre programmes TV en prime-time de 1997 à 2000, où ils ont essayé de convaincre le public que Nihoul était une victime innocente dans l’ensemble de l’affaire Dutroux.

Il y a eu au moins 25 morts suspectes liées à l’affaire Dutroux, avec encore plus de rapports d’intimidation. Les décès sont devenu tellement évidents que Jean-Denis Lejeune, le père de l’une des jeunes filles enlevées par Dutroux, a fait remarquer:

« Comme par hasard les gens meurent. Il n’y a aucune explication au sujet de leur mort. Par exemple, ils sont victimes d’un accident de la circulation mortel, au moment même où ils s’apprêtent à témoigner. Ou on retrouve leurs corps carbonisés. Notre système judiciaire ne semble pas passer de nuits blanches à ce sujet. »

Le public belge savait très bien qu’il s’agissait d’un cover-up. Leur colère a trouvé son expression dans la célèbre « Marche Blanche » où 300.000 personnes ont défilé dans les rues de Bruxelles pour protester contre le silence. Ce qui n’a rien changé.

Dutroux a finalement été emprisonné à vie, tandis que Nihoul a été déclaré non coupable de l’enlèvement et du meurtre des enfants. Les plus haut placés dans la chaîne alimentaire n’ont pas été inquiétés.

CONCLUSION

 

Les réseaux d’abus Illuminati fonctionnent comme un moyen pour exercer des pulsions sadomasochistes extrêmes, ainsi que comme système de chantage qui empêche les membres de rompre le pacte.

Des cas comme le « Franklin Cover-up » ont montré que ce système existe aux États-Unis. L’ »affaire Dutroux » révèle la Belgique comme un autre épicentre de ce type de comportement. Peut-être est-ce une des raisons pour lesquelles Bruxelles est la capitale de l’UE.

Les informations contenues dans de tels cas sont horribles, mais vitales, pour exposer le cœur sombre de ceux qui gouvernent le monde. Il est très difficile de comprendre leurs mauvaises actions, mais si ces gens sont capables d’orchestrer des guerres mondiales, tuant des millions de personnes, pourquoi abuser sexuellement et assassiner des enfants serait-il un tabou?

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Source: henrymakow

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