Dés la sortie des premiers documents de Wikileaks j‘ai immédiatement pensé que ce Assange était un guignol employé par les services secrets pour manipuler l‘opinion publique et mon premier article sur ce sujet fut : « Un Poisson d’Avril Un Peu Précoce ». Le scénario était grossier et n’apprenait strictement rien qui ne soit déjà connu. Il était manifeste, aussi, que parmi de vrais câbles avaient été ajoutés des faux pour incriminer les pays dans l’œil de mire de l’Usaisraël. Depuis les preuves ne cessent de s’accumuler démontrant qu’Assange n’est qu’un instrument de propagande pour influencer les populations et orienter les révolutions, restreindre Internet et diaboliser les futurs cibles avant de les attaquer.
– Traduit par Résistance 71 –
Le directeur du département pour la Russie du NSC (NDT: Conseil de Sécurité National) pour la maison blanche d’Obama Michael McFaul déploie le thérapeute de choc pour le FMI Boris Nemtsov comme force de la tentative de campagne “Stop Poutine en 2012”.
La conscience monte a travers le monde que le théâtre de l’absurde Wikileaks-Julian Assange est radicalement une illusion, une opération psychologique. Wikileaks et son patron représentent une forme classique d’auto-incrimination, une sorte de spectacle obscene dans lequel l’organisation officielle fuite des documents pré-sélectionnés et édulcorés fournis par une agence d’intelligence avec l’intention de toucher non pas la CIA, le Royaume Uni, Israël, mais plutôt les ennemis classiques de la CIA telles des figures comme Poutine, Berlusconi, Karzai, Khadaffi, Rodriguez de Kirchner etc. En Tunisie, des matériaux incriminants a propos de l’ex-président Ben Ali, fuités par Wikileaks, ont déja amené le vent du changement venant de Langley sous la forme d’un rare coup de balais dans un gouvernement arabe retranché de longue date.
A Foggy Bottom et Langley, une fievre est montée depuis le départ de Ben Ali. Les planificateurs américains croient qu’ils peuvent relancer maintenant leur modele éculé de [...]