Voilà le genre de personnage qui rend son avis d’expert judiciaire auprès de la Cour en matière de viol, de meurtre et de pédophilie et que les médias sollicitent dans chaque affaire. Il est également nommé régulièrement dans de nombreuses commissions portant sur de nouvelles mesures judiciaires.
Michel Dubec est un expert psychiatre, au niveau national, mais pour beaucoup il semble faire partie de cette engeance de spécialistes qui envahissent les médias et qui sont payés pour rabaisser la conscience de l’humain en dessous de celle d’un animal pour conduire la Société à sa perte.
Un type qui parle...non, qui célèbre le viol et l’agression en les considérant comme un aboutissement normal du désir du mâle, montre à quel point les plus pourris sont mis en avant. Au même titre que cet avocat, Thierry Levy, invité sur tous les plateaux médias qui défend la pédophilie ici.
Même si il arrive à ce médecin Dubec de faire des analyses sans ambigüité, dans son livre intitulé Le Plaisir de tuer (Co-écrit avec Chantal de Rudder), Dubec se lâche et exprime sans aucune entrave ses perversions les plus sordides en sublimant le viol ; extraits : « Sans que je lui en parle, le tueur de l’Est parisien a peut-être deviné le trouble que j’ai ressenti en regardant les photos de ses victimes. Je les trouvais très attirantes. Ces belles filles qu’il avait tuées (...) j’aurais pu avoir envie de les draguer... Une communauté de désir nous rapprochait, Guy Georges et moi parce qu’il existait entre nous un partage des mêmes "objets érotiques", j’ai pu faire un bout de chemin avec le tueur en série le plus célèbre de l’Hexagone (...) » (p. 211-212)
(...)« Guy Georges, c’est différent. On peut être aller avec lui, jusqu’au viol compris. […]Pour parler sans détour, dans la sexualité masculine, il existe un intérêt à obtenir la défaveur de sa partenaire, pas seulement ses faveurs ; à faire crier la femme, peu importe la nature de ses cris. L’acte de pénétrer est en lui-même agressif. (...) Si un homme est trop respectueux d’une femme, il ne bande pas. (...) « Oui, c’était possible de s’identifier à ce violeur qui baise des filles superbes contre leur gré, mais évite de les soumettre à des conditions trop crapuleuses ou de les terrifier, au point qu’elles ne devinent pas qu’elles vont mourir. Deux d’entre elles ont demandé à Guy Georges d’enfiler un préservatif et il a accédé à leur requête, comme si de rien n’était ! » (page 213). (...) Il ne s’inhibait pas au dernier moment, il était capable de leur faire l’amour quasi normalement. Il y avait éjaculation à l’intérieur du vagin. Guy Georges donne le sentiment que l’acte sexuel était consommé avec complétude. Jusque-là, on peut le comprendre et, même, il nous fait presque rêver. » (p. 213). « Sa vie sexuelle est trépidante, son tempérament étonnant, il est capable de baiser cinq fois par jour ! » (page 218).
Pauvre type !!!! Mais virez-nous ces ordures !
Mais le pire pour moi est sans doute l’effroi qui a été ressenti par les parents et la famille des victimes à la lecture de ce truc immonde, de cette régurgitation de fantasmes paraphéliques. Ces pages sont vomitives et le manque d‘empathie est total envers les sacrifiées et leurs parents. Mettre en exergue ce type, qui est considéré comme une sommité" de la médecine psychiatrique" alors qu'il se révèle n’être qu’un complice de l‘assassin, par visualisation érotique de ses crimes, est abject.
Mais qui est-il si nous le relisons ? Ce type qui emploie des mots si crus, si violents et si vulgaires ? Est-il un impuissant, un éjaculateur précoce, un vrai pervers, un sadique, un homo refoulé ou un assassin et un violeur en sommeil ? Dubec parle aussi dans son éjaculation scripturale de la musculature du sérial-killer Guy Georges…avec envie et désir. Nous constatons également avec évidence, à la lecture de ces lignes, que l’auteur éprouve de la jouissance. Nous constatons à quel point ces scènes de viol l’excitent au point d‘en perdre tout sens déontologique, éthique, rationnel et surtout de distanciation obligatoire et nécessaire qu’il doit entretenir avec ses patients et principalement avec les grands criminels. D'ailleurs Dubec aimera tellement ses rencontres en prison avec Guy Georges qu’il n’arrivera pas à y mettre fin, contrairement aux deux autres experts nommés.
Pour ce pauvre psy-expert, si on peut l'appeler un psy ou un expert, car un nombre important de ses pairs le considère comme, pathologiquement gravement dérangé, pervers et dangereux, l’essentiel reste donc que les relations de Guy Georges aient été satisfaisantes. Les victimes il s’en fout. Au travers des narrations de G.Georges Dubec ne semble pas sublimer le viol, il le sublime dans une écriture extatique et éjaculatoire en considérant que la femme est un objet servant à assouvir les pires actes démoniaques de ces grands singes au langage articulé, une sous-espèce incapable de se contrôler et sans aucune conscience.
Tout est dit dans ces passages même si certains beuglent en prétendant que ces phrases sont sorties de leur contexte et qu‘il faut lire le livre en entier pour avoir une opinion objective. Et bien NON ! Ces paragraphes qui sont vomis dans un langage grossier, violent et profondément misogynes et phallocrates sont suffisamment explicites et criants pour comprendre que cet homme ne mérite pas sa place d’expert auprès des tribunaux et que ces aveux, à peine voilés, le discréditent à jamais. Il ne peut être ni objectif ni impartial ni crédible. Mais il nécessiterait de toutes évidences un suivi psychiatrique prolongé. Car il légitime ici avec délectation et enthousiasme un crime, il en fait l’apologie pour lui-même avant de la faire pour ses lecteurs. Le viol est pourtant qualifié de Crime par le Code pénal.
La position que tient le Docteur Dubec dans ce livre est d’autant plus inadmissible déontologiquement qu’il siège très souvent comme expert dans de nombreuses commissions portant sur de nouvelles mesures judiciaires et qu‘il est consulté régulièrement au niveau gouvernemental Comment est-ce possible ? Si le Dr Dubec s’identifie d’une manière totalement obscène et malsaine au criminel, pour justifier le viol, comment continuer à lui faire confiance ? Et si ce livre était un moyen de vider sa conscience, dans une auto-analyse, rien ne justifiait qu’un éditeur l’accepte et que cet homme continue à être célébré par les médias idiots et écouté par les politiques serviles.
La question pertinente et évidente que chacun peut se poser ou qu'il doit se poser est : quel est alors le comportement de cet analyste avec ses patients(es), voire avec les enfants qu‘il suit dans son cabinet ? Y songer devient effrayant. Etrangement aussi, il sera toujours présent dans les grands procès où la question de la démence ou de l'irresponsabilité au moment des faits est posée.
Les plaintes déposées à son encontre, plus de 121 paraît-il, et par le Conseil départemental parisien de l’Ordre des médecins pour «manquement à la dignité et à l'obligation de réserve, violation du secret professionnel », suite à la parution de ce torchon, aboutiront à une très brève interdiction d’exercice et sans sursis de trois mois. Mais ! Pas pour condamner la puanteur des propos, mais pour « injures à caractère racial ». Et oui. Maurice Joffo, expertisé par ce psychiatre a été condamné à de la prison ferme pour recel. Et suite à la parution de ce livre Joffo s’était senti mis en cause en raison de sa judéité. Nous y voilà. Dubec étant lui-même juif, comme sa co-auteur, l’antisémitisme envers un autre juif est particulièrement risible ! Ce livre devient donc en premier un acte antisémite de plus injustifié, ensuite la célébration du viol en crachant son mépris envers les victimes et leur famille.
Malgré cela, cette meute de journaleux stupides continuera d’inviter ce malade sur les plateaux télé, de lui faire faire la Une de leurs quotidiens et de leurs hebdomadaires en qualité d’expert médiatique.
Michel Dubec sera cité également comme témoin dans le procès aux assisses de Véronique Courjault, pour infanticides, alors qu'il n'a jamais rencontrée de sa vie ni expertisée une seule fois l‘accusée ; idem pour le Pr Israël Nisand. N’est-ce pas singulier ? Et pourquoi faire témoigner des experts qui ne sont pas saisis du dossier ? Tout simplement pour influencer le jury et mettre en doute l’analyse des experts officiels.
Leur but au procès était de démontrer que, comme il y avait déni, il n’y avait pas crime. Israël Nisand ira même dire que les bébés étaient sans doute morts à la naissance. Un mensonge éhonté puisque l’accusée elle-même avait déjà avoué depuis longtemps les actes d’homicides volontaires sur ses trois nouveaux-nés. De plus, le fait de cacher soigneusement les cadavres démontre que V.C était totalement consciente de ses actes et de leur gravité.
Il devient évident que d'accepter des experts totalement étrangers au dossier est fait pour à terme dépénaliser l'infanticide. Et sachant que, dés la moitié du XX siècle, de nombreux moyens contraceptifs existaient déjà, le déni fait figure de mauvais alibi. Et comment nier la responsabilité de ces mères en prônant l’irresponsabilité ?
Je suis contre l’avortement qui est devenu depuis longtemps un moyen de contraception payé de surcroit par nos impôts, mais j'y suis favorable pour une interruption thérapeutique ou après un viol. Mais puisqu’il est légal, Véronique Courjault pouvait aisément faire cesser facilement ses grossesses au lieu d’assassiner ses enfants à la naissance. Certains crétins diront : Oui mais ! un avortement est un traumatisme. Certes. Mais un triple crime serait-il alors une partie de plaisir ?
Il est évident que l’eugénisme revêt plusieurs formes. Si ces décideurs souhaitent activement faire voter la loi sur l'euthanasie, pour supprimer le maximum de personnes improductives, ils veulent faire admettre également à l’opinion, plus particulièrement aux parents, que d’assassiner à la naissance ses propres enfants n’est pas un acte criminel mais un péché véniel. C'est un des pans de ce programme du crime organisé et du crime par procuration en rendant légal et compréhensible le meurtre délibéré envers ses propres enfants.
Malgré tout cela, dernièrement, il sera demandé à Michel Dubec de dresser le portrait de Xavier de Ligonnès. Nous sommes en plein délire.
Comme je le disais plus haut, étrangement, Dubec sera toujours présent dans les grands procès où la question de la démence ou de l'irresponsabilité au moment des faits est posée. Il est aisé maintenant de comprendre pourquoi certains coupables seront considérés comme responsables, et que d'autres seront souvent jugés comme étant des actes de personnes irresponsables. Des avis qui seront rendus en fonction des intérêts de cette tribu archontique, du nom des coupables et de leur rang dans la société.
Nous avons donc à faire, et chacun le sait en son for intérieur, à une Justice pourrie, corrompue et parodique qui sert les plans d’une tribu perverse. Ce qui explique également qu’aucun réseau de pédocrimels ne soient jamais démantelés.