Pendant très longtemps il a pourtant été dit qu'Einstein avait un cerveau très volumineux, signe, disait-on, d'une supériorité intellectuelle. Mais aujourd'hui la science a inversé ce rapport. Celui du savant ne pèserait plus que 1,250 kg et serait inférieur à la moyenne d’environ 10% et avait, dit-on, une hypertrophie de l’hémisphère gauche. Comme quoi la science peut dire n'importe quoi.
C'est la façon dont on s'en sert qui compte et qui donnera de l'efficacité aux connexions synaptiques.
Lors de l'évolution la taille du cerveau de l'Humain a beaucoup augmenté en développant de nombreuses facultés intellectuelles et cognitives. Cependand cela a été au détriment de ses facultés psychiques, de son instinct et de son intuition, mais aussi de son acuité sensorielle qui est bien inférieure à celle de n'importe quel animal.
Cette dichotomie volontaire est toutefois très handicapante sachant qu’il n’y pas deux cerveaux mais trois avec l’Inné, soit le Reptilien ou le Triunique, et même quatre avec l’Entérique qui comporte aussi des milliards de neurones identiques à ceux du haut -ici.
Le Reptilien est évidemment contesté et même nié ou tout simplement rattaché à notre fausse origine animale ou simiesque. Mieux, une vilaine race reptilienne qui dominerait le monde, et qui aurait le pouvoir de changer d’apparence, a même été inventée pour le discréditer davantage. Cette farce est toutefois prise très au sérieux et le Charlatan ou l'Agent qui la véhicule, David Icke, fait de très nombreux adeptes, de nombreuses conférences mondiales et plateaux télé. Ce qui évite d'employer les vrais termes qui seraient appropriés pour désigner ces personnes, soit des criminels toujours impunis. De plus la Race reptilienne a toujours été associée à celle féminine. Déesse reptilienne annunaki sumérienne et son enfant, dite humanoïde géante, qui aurait été trouvée au milieu du XIXe siècle en Irak avec des centaines d'autres. Avant l'invasion otanesque elles auraient été exposées au musée de Bagdad qui a ensuite été saccagé et pillé.
Les marchands d'art se sont et se régalent toujours de voir toutes ces guerres dans des pays qui sont toujours et étrangement très très riches en sites archéologiques.
Cependant pourquoi seraient-elles d'origine extraterrestre, comme disent certains, et non terrestre, soit des Atlantes dolichocéphales ? Une forme de crâne que nous retrouvons sur des sites archéologiques sur tous les continents.
Pourtant en regardant le Bulbe rachidien, qui ne peut être que le cerveau triunique, et qui se développe avant les aires cérébrales, nous voyons qu’il se termine à la hauteur du troisième œil et qu’il comporte la glande pinéale et celle pituitaire qui lui sont associées.
La pinéale ou épyphise qui est plus haute est un corps qui est disctinct de la pituitiaire ou hypophise à deux lobes et qui cette dernière est nommée le troisème oeil. La première est donc plus importante en étant un oeil unique.
Lors des céphalisations successives rien n’empêche de penser que ce cerveau s’est considérablement atrophié pour que les deux lobes se développent et qu'ils se remplissent de liquide céphalo-rachidien ou d’eau. Ces Annunaki dolichocéphales montreraient ainsi le stade avant ces différentes céphalisations. Cela ferait aussi partie du déluge hydrique.
Pour activer le maximum de nos potentiels il est donc évident que ces cerveaux doivent nécessairement interagir en même temps. Pour cela, comme personne ne peut se scanner, la personne doit s’unir au lieu d’être divisée ou fragmentée. La division se traduit en général par des aptitudes excessives dans un domaine spécifique et très limitées ailleurs, ou inexistantes, comme Einstein, soit par une sociopathie ou une psychopathie comme beaucoup de dominateurs, soit par un mal-être quasiment permanent.
Mais comme les centaines de milliards de cellules qui nous constituent sont composées de la même mémoire chromosomique, du même ADN ou du même programme génétique, le tout doit vibrer en même temps. C'est l'énergie holistique. De même que le type de protéines ingéré et le fait d'activer ou de désactiver certains gènes, support de l'information, vont accroître à terme les performances ou les diminuer. Chose que nous faisons parfois ou souvent sans en connaître forcément le processus.