Théorie du genre : Mgr Anatrella accuse ONG, l'OMS et les institutions onusiennes
De quoi en vérité ont-ils peur tous ces oligarques qui se cachent derrière cet acharnement à vouloir modifier et contrarier la Nature mais aussi derrière cette volonté à vouloir conserver en état ce qui existe ? N'ont-ils pas en fin de compte exactement le même dessin et une stratégie commune puisque - Pouvoir spirituel et temporel - ne sont séparés que sur le papier ? Ne serait-il pas question d'empêcher l'humain de s'émanciper ou de se réveiller ?
Il est évident que beaucoup de ceux qui se battent pour défendre la famille sont honnêtes, sans doute ou peut-être comme le fait Mgr Anatrella. Mais à bien y réfléchir ces bouleversements sociétaux et biologiques leur permettent aussi de conserver le vieux monde en l'état, de le maintenir dans les croyances, de renforcer les religions toutes patriarcales et misogynes, d'empêcher une ère nouvelle spirituelle et libératrice de naître et de stopper le développement psychique de l'humanité. La peur étant le meilleur moyen de contracter l'ADN.
Nous constatons que les religions s'effondrent, principalement les trois monothéismes qui, en réalité, comme la trinité n'en font qu'un, et que seules des guerres intestines de pouvoir les séparent quand elles ne sont pas totalement complices.
Les 14/25 ne sont plus croyants et encore moins pratiquants. Cette génération veut être libre de penser et de construire seule sa foi comme des êtres affranchis des servitudes et des dogmes le feraient.
Alors quand on nous parle de la montée de l'Islam dans les pays musulmans, c'est se foutre du monde. Quant aux plus âgés, ils sont de plus en plus nombreux à ne plus croire du tout en ce dieu quand ils sont confrontés sans relâche aux incessantes injustices, aux multiples souffrances, aux nombreux conflits et bombardements, à la terreur constante et aux millions de victimes innocentes qui sont tuées au nom de la démocratie et en Occident pour sauver des voyous, des financiers et des banques.
Leur problème majeur et fondamental est donc le fait que les peuples s'émancipent pour créer leur propre réalité. Et cette libération doit être stoppée.
L'élargissement de la Conscience de l'humanité, ou l'Apocalypse, est, il faut le savoir, la pire des choses pour les régnants non-élus qui perdraient du coup leurs pouvoirs de domination et de mise en esclavage. Cependant cet élargissement a commencé, et s'il est quelque peu retardé il se fera tout de même ; c'est la loi de la Nature et je dis, rien n'y personne ne pourra s'y opposer, selon la formule de Nicolas Sarkozy employée pour la mise en place du N.O.M.

Si des mutations génétiques naturelles venaient à faire s'écrouler l'ordre établi, et surtout le pouvoir en place, le monde ne serait plus du tout le même. Pourtant c'est ce qui a déjà commencé comme nous le voyons partout depuis très peu de temps avec de vraies émeutes et de véritables manifestations spontanées mondiales et non plus organisées par des servives secrets. L'humanité s'est réveillée, elle est en marche et ne veut plus porter ses fers. Et pour emprunter une métaphore au Tanakh nous pouvons décrire cette étape comme étant - S
a sortie d'Egypte.
Mais si des mutagenèses naturelles doivent continuer à s'opérer, elles se feront malgré le fait que certains feront tout pour les empêcher afin que les humains ne recouvrent jamais leurs énormes potentiels et n'apprennent jamais la Vérité sur leurs origines.
Si chacun prêche pour sa paroisse afin de conserver pouvoir de domination, richesses et privilèges, et pour maintenir l'Illusion dans laquelle nous avons été plongés, nous devons refuser que des diktats anthropologiques, biologiques et que des mutations totalement artificielles ne viennent détruire ce qui pourrait changer le monde de manière bénéfique pour tous les peuples.
Mais derrière tout cela se cache l'anéantissement de la femme, ce que Mgr Anatrella se garde bien de dire. A la question : " quels sont les risques concrets en matière de santé publique ? Il répond : "Le risque concerne principalement à isoler la femme de la relation à l'homme, en laissant entendre que c'est la femme qui doit tout supporter et décider en matière de procréation".
Mgr Anatrella sait pourtant que la création d'utérus artificiels et la GPA, qui seront mises en place pour satisfaire les désirs ou les fantasmes déviants de seulement quelques hommes, et la commande d'enfants par des milliers de couples homosexuels, tuent la femme en tant que mère mais surtout et principalement en tant que génitrice. De même que ces pratiques suppriment la filiation matrilinéaire ou mitochondrial qui les dérangent tellement puisque cette dernière contredit totalement leur dogme de la Création et qu'elle renvoie Adam (Mutation d'Eve (Race) engendrant son principe masculin) à une postérité bien tardive. Sans oublier que toutes les plus grandes religions sont complices pour continuer à cacher à l'humanité ses véritables origines.
Il est donc évident que la femme est exclue de ces procédés de procréation qui voudraient prouver que l'on peut se passer définitivement d'elle comme génitrice. La Femme a toujours été le plus grand danger pour les religions, il suffit de lire leurs textes, et même pour le pouvoir politique.
L'article papier sur l'interview de Mgr Anatrella, qui se trouve en fin de page, est cependant très intéressant à lire et rejoint sur bien des points mes articles. De plus c'est aussi la première fois que je trouve quelqu'un qui remet en cause le nombre de 7 milliards d'humains sur terre comme je l'avais dit dans cet article en 2011 - ici .
L'ambiguïté de l'Église a toujours été présente et dérangeante sur bien des points comme je le signalais dans d'autres articles, mais cela ne peut être autrement. Notamment sur la culture des cellules souches puique celle-ci l'autorise au nom de la recherche si elles sont prélevées sur des cordons ombilicaux de nouveaux-nés ou de foetus mort-nés. Une hérésie quand nous savons que ces prélèvements sont à l'origine d'un vaste trafic mafieux qui se fournit en mettant de pauvres filles enceintes pour ensuite les faire avorter. Sans oublier que depuis Vatican II - Christianisme et Judaïsme - sont de nouveau redevenus une seule et unique religion. Voici quelques passages des discours de Benoît XVI qui sont adressés aux représentants de divers synagogues :
- "Qui rencontre Jésus Christ rencontre le judaïsme"
- L'Église ne peut jamais oublier le peuple élu avec lequel Dieu a établi une sainte alliance (cf. Nostra aetate, n. 4).
- Dans le Christ, nous participons de votre propre héritage des Pères, pour servir le Tout-Puissant "sous un même joug" (So 3, 9), greffés sur l'unique tronc saint (cf. Is 6, 13; Rm 11, 16) du Peuple de Dieu. Cela fait de nous des chrétiens conscients qu'avec vous, nous avons la responsabilité de coopérer au bien de tous les peuples, dans la justice et dans la paix, dans la vérité et dans la liberté, dans la sainteté et dans l'amour.
- Avec la destruction d'Israël, avec la Shoah, ils voulaient, en fin de compte, extirper également la racine sur laquelle se fonde la foi chrétienne, en la remplaçant définitivement par la foi fabriquée par soi-même, la foi dans le pouvoir de l'homme, du plus fort.
Akhenaton Musée du Caire
Cette phrase, qui est tirée de l'interview papier de Mgr Anatrella, est aussi à méditer : "C’est seulement grâce à la dualité du « masculin » et du « féminin » que « l’homme » se réalise pleinement. Le féminin réalise « l’humain » tout autant que le masculin, mais selon une harmonique différente et complémentaire". Mgr Anatrella n'emploiera pas le mot femme, mais féminin. C'est exact. Si une chose est certaine c'est que c'est la femme qui est à l'origine de la création de l'humanité et de celle de l'homme après la Race maudite hermaphrodite et que la vraie Trinité est en réalité - l'Androgyne (neutre), la Mère, la Fille, l'hermaphrodite, la femme et l'homme qui deviendront procréateurs.
Et contrairement à sa définition, c'est la dualité qui est à la source de tous les maux du monde (anagramme de demon). De même que le Bien n'existerait pas sans le mal etc. Et bien si, le Bien n'a pas besoin du mal pour s'accomplir sinon l'humanité se serait éteinte si elle n'avait été que barbarie, souffrance et océan de sang et d'injustices depuis son origine. Cette dualité entretenue ne sert simplement qu'à légitimer l'existence du mal et à le protéger.
Sans le mal la domination, l'asservissement, le vol des richesses, la destruction, la terreur et les nombreuses guerres n'existeraient pas.
Source des extraits cités sur le christiano-judaïsme de Benoît XVI
ici Interniew papier de Mgr Anatrella ici Mgr Tony Anatrella face à la "théorie du genre"