Je dois avouer que j’ai été stupéfaite ce matin de constater, à la lecture de cet article, ici, que le mien, celui du 16 juin comportant un passage sur la schizophrénie des dirigeants israéliens, avait une réalité concrète. En lisant l’article vous constaterez que les similitudes sont très étonnantes mais j'étais bien loin de penser qu'une actualité identique existait.
Si mes propos étaient effectivement basés sur le comportement et les actes que je trouve psychotiques chez leaders israéliens, ils étaient à prendre malgré tout pour certains au second degré.
Alors pourquoi les responsables israéliens ont-ils leur propre psychiatre, pourquoi ceux-ci se suicident-ils, pourquoi les ministres sont-ils des habitués du divan et, pourquoi, surtout, sommes-nous amenés à le savoir ? Peut-être que, suite aux nombreuses plaintes déposées contre Israël un procès pourrait s’ouvrir pour crimes de guerre devant la CPI, et les avocats des accusés baseraient leur défense et invoqueraient la non-responsabilité de leurs clients, leur incapacité et leur inaptitude à subir un tel procès. La psychose schizophrénique paranoïde deviendrait l’arme de défense absolue pour éviter un procès et une incarcération. Une mission divine, le syndrome de persécution et le traumatisme atavique de la Shoah deviendraient des boucliers protégeant les criminels.
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