Le contrôle mental a toujours été un fantasme de chercheurs mentalement atteints au service des dominants, des services secrets et des armées. De nombreuses expériences illégales, qui ont été déclassées, font se dissiper les doutes qui persistaient chez certains quant à la réalité de cette manipulation de l'esprit ou anciennement dite de « lavage de cerveau »
Ces expériences ont été conduites par de nombreux pays, principalement par l'Angleterre (spécialiste de l'eugénisme), ensuite l’armée américaine et les médecins nazis dans les camps de concentration. Ces derniers ont été ensuite exfiltrés par la CIA et le Pentagone lors de l’opération « Paperclip Projet Trombone » pour poursuivre leurs travaux au pays yankee.
Mais quand des dossiers Top Secret sont déclassés, donc accessibles au public, cela signifie que leur portée est totalement dépassée et archaïque et que d’autres expériences occultes ont été conduites avec succès. Idem dans tous les domaines. Le public est ainsi toujours de plusieurs années ou décennies en retard sur les découvertes, les expériences ou les opérations en cours. Comme par exemple la maîtrise de certaines énergies, la construction de soucoupes volantes, d'armes laser ou la création de diverses chimères ici qui aujourd'hui existent certainement.
Les nouvelles avancées et les découvertes scientifiques et technologiques permettent sans conteste à ce jour de contrôler des individus avec d'autres techniques sans avoir recours dans leur totalité aux anciens procédés du type MKUltra ou Montauk.
Le principe consistait (et consiste) à déprogrammer et à reprogrammer des sujets réceptifs ou non par la force et à l’aide de chocs traumatiques importants qui brisent leur psyché aux moyens d’électrochocs, d’hypnose, d’électrocution, de micro-ondes, de drogues, de tortures, de viols, de privation et d’excès divers pour faire céder toutes leurs résistances, instinct de survie et de protection. Il faut atteindre leur point de rupture et imprimer par la souffrance et les traumatismes récurrents une autre psyché, voire de multiples psychés.
Le coma artificiel est aussi un des moyens de reconditionner ces victimes en leur administrant, lors de cet état végétatif, des programmes d’information que leur esprit enregistre malgré tout.
La pensée est de l’énergie pure. Une autre source d’énergie de formes-pensées peut ainsi être enregistrée par le cerveau. Si aucun filtre ne vient la stopper elle sera acquise. Tout comme un média-mensonge sera accepté par un esprit spongieux qui n'a pas de barrières et qui laisse ainsi entrer toutes les formes-pensées comme une réalité objective.
Aujourd’hui d’autres méthodes plus sophistiquées sont parvenues à être techniquement au point en utilisant différents types d’ondes qui perturbent, dévient et alimentent celles du cerveau. En envoyant des messages ou des ordres à distance, par le biais d‘un autre canal, d'une autre fréquence, le sujet les enregistre comme si elles venaient de lui.
Comme toute la gamme des émotions( fréquences vibratoires) des cobayes a été enregistrée, toutes peuvent être contrôlées, accentuées, ralenties, déviées et remplacées au moyen d’ondes de différentes fréquences et porteuses d'une information spécifique. La psychotronique est aussi à ce jour une arme militaire et antiémeute.
Pour se protéger l’esprit est capable naturellement de refouler des situations traumatiques en utilisant inconsciemment des moyens de défense pour provoquer une amnésie ou se dissocier. L’amnésie artificielle et l'hypnose ont donc été mises en place comme moyen de contrôle pour manipuler des humains ; Des agents secrets en mission, des tueurs programmés et les victimes de viols, d'inceste et de pédophilie perdent ainsi la mémoire.
Quand la psyché vole en éclat, sans que la personne n'ait été consentante, elle acceptera, face à ce chaos intérieur et ce séisme mental, une reprogrammation pour recouvrer une ou plusieurs autres identités qui viendront combler la perte de la sienne et faire cesser ses troubles et le vide laissé par son ancienne structure mentale acquise et innée. Celle qui était la base sur laquelle elle s'était construite et projeter dans l'avenir.
Elle devient également une victime et, comme toutes les victimes, elle sera prête à se soumettre à qui lui promet de lui venir en aide ; ici à ses propres bourreaux. D’autres le feront pour obtenir soit leur dose de drogue, soit des séances de maintien de leur nouvelle identité qui, si elles ne sont pas régulières, plongent la personne dans états de démence et de souffrance extrêmes.
Ceux qui mènent ces expériences sont donc de très dangereux individus au même titre que les gouvernements qui les utilisent. Mais la société les reconnaît pourtant comme étant une référence puisqu’ils sont de hauts fonctionnaires, des médecins, des scientifiques de toutes les disciplines, des psychiatres, des pédopsychiatres, des ingénieurs etc, quand ils sont connus.
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Il est clair que plus le sujet est jeune, plus sa programmation mentale sera simple.
Ces enfants viennent de tous les milieux, même de celui de leur propre bourreaux en blouse blanche. Mais le plus souvent ils sont issus de milieux défavorisés.
Sous un alibi qui se veut vertueux, ils sont pris dans les orphelinats et surtout dans toutes les dites associations et institutions d’aide et de protection à l’enfance.
Des instituts qui ne sont ni plus ni moins que des réserves pour pédophiles et pour docteurs Maboul du type nazi comme Schumann, Mengele et d‘autres comme Heinrich Himmler.
Josef Mengele vécut ensuite des jours heureux en Amérique latine protégé par ceux qui officiellement combattirent l‘Allemagne, soit les Etats-Unis via la CIA. Le traqueur de nazis, Serge Klarsfeld, n’aura pas le plaisir de le faire juger malgré le fait que les services secrets savaient exactement où il avait été exilé.
Wikipédia : Quatre sous-projets (102,103,112 et 117) étaient axés sur des enfants, notamment avec la complicité du Centre International de vacances d'été pour enfants (International Children Summer Camp). La CIA n'a jamais reconnu ces expériences, malgré le témoignage et les documents de certains psychiatres et psychothérapeutes déclarant avoir soigné des enfants victimes de ces expérimentations. Ces enfants étaient officiellement traités pour des troubles dissociatifs de l'identité et étaient en fait confrontés à des actes visant à les rendre encore plus dissociés, tels que l'abus sexuel de pédophile délibéré.
Alors quand nous observons le comportement de Breivik, une chose nous vient immédiatement à l’esprit : ce type a été programmé pour tuer. Et il ne peut avoir agi seul lors du massacre de l’île d'Utoeya où étaient présents, ne l’oublions pas, des jeunes travaillistes, dont des adolescents, qui étaient aussi pro-palestiniens et qui appelaient au boycott d‘Israël. En clair des antisionistes.
La veille de la tuerie la visite du ministre des Affaires étrangères, Jonas Gahr Store, sur l'île d'Otoeya avait été rapportée ici par un média norvégien. Le ministre plaidait la fin de l'occupation israélienne et la « reconnaissance de l’Etat palestinien ». Sa déclaration était attendue à l’occasion de la prochaine assemblée générale de l’ONU qui devait se tenir en septembre. La Norvège reste seul pays où les habitants ont exigé une grève générale lors du massacre de Gaza
Alors comment peut-on tuer seul 69 personnes qui ont la possibilité de courir, de fuir et de se cacher dès les premiers tirs alors qu’il a été dit qu’il les avait traqués les uns après les autres ?
Ce fut donc officiellement un safari humain qui dura plus d’une heure. Comment est-ce possible ? Les premiers témoignages, retransmis par la police elle-même, indiquait pourtant plusieurs tireurs. Comment expliquer également la lenteur d’intervention de la police et des forces spéciales pour venir au secours de ces jeunes ? Les communications ont-elles coupées un laps de temps pour éviter qu'ils ne puissent contacter immédiatement la police, et ce, dès les premiers tirs, ce qui aurait permis aux autres tireurs de fuir tranquillement ?
Lors du procès actuel, un témoignage d’expert vient démontrer que dès son enfance Breivik est passé par les services d’aide à l’enfance et dans les mains de psychiatres. Ce qui pourrait accréditer la thèse du contrôle mental. Pourtant, rapidement après la tuerie, les médias dominés nous présentaient une interview de ses parents (aisés) vivant dans une maison cossue dans le sud de la France, avec un père qui était un ancien diplomate. Maintenant une autre version est donc exposée à la Cour :
Alors qui est Breivik et à qui rapporte ces horribles crimes ? Il serait chrétien ou athée, franc-maçon, d’extrême droite, antimarxiste, un croisé menant une guerre sainte contre l’islam mais aussi, paradoxe, un admirateur de Ben Laden et d’Al Qaïda et un loup solitaire malgré sa propre déclaration : « Je suis chevalier templier en croisade ayant plusieurs cellules de mon organisation, en Norvège et à l'étranger.»
Qu’a-t-il à voir vraiment avec ces différents portraits hétéroclites que les médias nous ont servis sans citer son admiration pour Israël ? Rien, car il est avant tout dans le sillage des néoconservateurs comme Bush et surtout dans celui des sionistes, selon ses propres notes.
Bref, Breivik a lui aussi une personnalité multiple au gré de l‘évolution de l‘enquête et certainement en fonction des négociations secrètes menées entre le gouvernement et des tiers. Il semblerait pourtant que les autorités norvégiennes ne soient pas du genre à céder face à des moyens coercitifs pour se faire dicter leur conduite et se faire imposer leurs lois. D’où peut-être ces incohérences et ces petits cailloux semés par elles pour mener discrètement vers les vrais commanditaires.
Le point levé à droire un salur d'extrême gauche et les nationalistes israélites.
Le comportement de Breivik montre de manière ostensible un manque total d’affects, froid et sans remords, une attitude et des gestes robotiques, un discours du genre psittacé et une idéologie incohérente. Cela laisse donc suggérer qu’il aurait été programmé. Dans ce cas il ne serait qu'un tueur-victime. On peut même envisager qu'il serait persuadé d'être le tueur alors qu'il ne le serait pas. Peut-être a-t-il subi un programme de suggestion intensif avec, comme pour l'entrainement des soldats des répétitions virtuelles, non pas en visionnant des jeux vidéos comme eux, mais par impulsion et impression directes dans le cerveau.
Mais le plus inquiétant reste qu’aujourd’hui, avec les nombreuses manipulations et hybridations par transgénèse, il devient aisé de créer à partir de cellules embryonnaires, ou d’ADN même fossilisé, des créatures artificielles ayant les gènes pour les faire devenir des esclaves, des monstres, des bêtes humaines ou des machines tueuses.
Mais si une information est encodée dans un gène, cela veut dire qu'elle peut aussi être désactivée. Si la personne sait au moins un peu comment elle fonctionne, connaît sa biologie et qu'elle sait ce qu'est l'ADN, elle peut se protéger. Ne dit-on pas que la puissance de l'esprit n'a pas de limites ?.
Quant aux dizaines de milliers de personnes et d’enfants qui disparaissent chaque année dans le monde, sans jamais être retrouvés, si certains sont kidnappés pour alimenter les réseaux de prostitution, de pornographie et de pédophilie, une autre partie n’a certainement pas été enlevée par des extraterrestres, mais sert de cobaye dans des bases secrètes ou des hôpitaux ayant une activité occulte.
C’est vrai que la thèse extraterrestre permet à certains de croire à leur existence, ce qui sert les stratégies de l'Armée pour nous faire croire un jour à leur arrivée.
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