« […] Charb, je peux l’avouer enfin, et je sais que tu ne m’en voudras pas de le révéler à ta famille, tes amis, tes camarades, à tes lecteurs et à tes lectrices. Charb Mon amant ! Ah qu’est-ce qu’on s’est enculés toutes ces années. Depuis que tu m’as fait découvrir les Dead Kennedys en 1991[…] Mon vieux pote, on ne va plus trop s’enculer tous les deux mais l’humour bande encore ! ».
C'est ça l'esprit Charlie. De la "poésie" autour de la cavité anale puisque celle-ci était aussi omniprésente dans les caricatures du journal et qu'elle le sera également lors de ce singulier hommage de Luz qui en gigotant nerveusement fera en même temps une révélation qui n'avait aucune raison d'être évoquée ici.
Toutefois en entendant Luz, Charb, de là où il est, peut se dire : Quel en.... ce Luz.
Certaines personnes quitteront d’ailleurs la salle après cette phrase obscène et peu de monde se trouvait à l’extérieur du bâtiment alors que nous pouvions nous attendre à voir des milliers de personnes rassemblées pour rendre un dernier hommage au dessinateur irresponsable.
Aucune chaîne ne passera l’extrait en entier.
Luz profitera donc de cette cérémonie laïque pour se soulager de manière triviale et avouer sans considération, ni égard aucun envers la famille de Charb sa relation sexuelle cachée.
Cet aveu, dans pareille circonstance, est des plus surprenant et sonne plus comme une vengeance de quelqu’un de frustré, de trompé qui en voulait à son amant d’avoir été obligé de se taire.
Mais, peut-être aussi, de quelqu'un de jaloux qui en profitait pour dire à Jeannette Bougrab que sa relation avec Charb (si celle-ci était réelle ?) n’était qu‘une pantalonnade de la part de son amant qui continuait à baisser son pantalon avec lui.
PANANZA sur Jeannette Bougrab / dans un premier temps, elle a affirmé à Paris-Match avoir été "trois ans" avec Charb avant de se corriger et d'indiquer désormais qu'ils étaient ensemble depuis "un an". Bougrab prétend que sa fille appelait Charb "papa". Voici pourtant ce qu'elle déclarait, le 15 décembre dernier, au site du magazine Gala :.
L’absence de père est aussi un sujet délicat.
« May m’a déjà demandé pourquoi elle n’avait pas de papa. Je lui ai répondu que nous en choisirions un ensemble et que ce serait encore mieux ».
La jeune femme rêve de se marier un jour et elle sait gré à ses parents de ne pas lui reprocher sa vie de célibataire.
« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » Jean de La Fontaine Article du 9/1 remonté au 15 Refuser de dire « Je suis Charlie » Pourquoi ? Etre contre cette mascarade pourquoi ? Le but n'est pas de dire : "Je ne suis pas Charlie" mais de […]