Mohamed Merah : Concocter à un mort LE profil de l'idéal terroriste avec des mots fourre-tout
Quoi de plus facile que de faire parler un mort et une famille que personne n‘a jamais vu ? Ni corps, ni visage des témoins ou de la famille, rien.
Maintenant il aurait avoué lors de sa confession intime au RAID : « Je regrette d'avoir manqué de quelques minutes la rentrée des classes dans l'école juive, ce qui m'aurait permis de faire plus de victimes. J'ai eu un « plaisir infini» à tuer »Mais a-t-il avoué sa responsabilité dans l'Holocauste ?
Si l'opinion et surtout les familles de victimes sont frustrés que Merah ait été tué, évitant de ce fait un procès, pour les contenter un petit peu, une part de responsabilité dans ces exécutions sera mise sur le dos son frère qui, espérons, n'ira pas se défénestrer poussé par...le désespoir.
Voici les nouvelles versions officielles
Plus le temps passe et plus la version officielle s’écroule sur elle-même par les milliers de témoignages totalement contradictoires venant de témoins anonymes et d’experts plus que douteux qui veulent la certifier coûte que coûte. Des aberrations qui ne font que faire couler encore plus profondément dans l’invraisemblable la version officielle.
À en faire de trop, et à trop insister sur le dit parcours de Mohamed Merah, la crédibilité de celui-ci devient non pas suspecte, mais invraisemblable. Et la récurrence des mots chocs et nébuleux tente surtout de semer la confusion et la peur dans les esprits qui ignorent le dessous des cartes.
Maintenant que le profil terroriste du tueur est dressé avec des mots fourre-tout, et qu’il est d’appartenance al qaïdo-salafo-djiado-islamo-schizophrèno-doucerette et serviable, il est chargé comme une mule prête à avoir la colonne vertébrale brisée par le poids du bat. Ce gamin de 23 ans a nargué pendant 32h les forces d'élite les plus brillantes de d'Europe comme si il avait été à lui tout seul un commando terroriste surarmé pour finir tiré de dos, comme un lapin en fuite, avec plus de 300 balles tirées (Le Salafisme n'a rien de criminel, c'est un Islam réformiste qui veut le retour aux fodamentaux et pour une unité ou oumma ).
Mais une question me taraude l’esprit : Était-il aussi ami avec BHL qui a soutenu et encouragé Al Qaïda en Libye et favorisé ainsi la mise en place au pouvoir d’intégristes musulmans, dans un pays Libre et laïque sous Kadhafi ? Et ce afin de libérer le Peuple de sa liberté pour lui offrir en échange la douloureuse et brutale oppression qui sera décrite comme émancipatrice et démocratique ?
Tiens ! D’ailleurs personne ne viendra remettre en cause la validité des élections au Maghreb, et en particulier en Lybie. La crédulité et la bêtise sont tellement prégnantes que les gens et les journaleux pensent que naturellement les libyens ont préféré choisir de vivre malheureux, sans liberté et avec la charia, que leurs richesses soient pillées car, précédemment, leur belle qualité de vie et leur très haut niveau de revenus étaient injustes, donc, ils ont décidé d'en chier à présent.
L’histoire se répète et nous voilà aujourd’hui avec un gamin de 23 ans qui a un CV long comme la distance de Paris à Tel Aviv et qui ne commet pas des crimes barbares sanglants, mais qui exécute de sang-froid des jeunes gens et des enfants/ Les corps d'ailleurs ne seront pas autopsiés par les autorités françaises. Ce qui est sidérant .
En décodé, qui finit par péter les plombs en faisant exactement le jeu des sionistes et d’Israël, surtout en ciblant des enfants israéliens. Pire ! Il assène un coup violent à ses propres frères musulmans français qui sont encore davantage montrés du doigt et ostracisés. De même pour ceux de l‘étranger qui devraient recevoir bientôt des bombes humanitaires qui les déchiquetteront pour les sauver de leur horrible vie paisible, si personne n‘arrête ce processus diabolique.
On peut même se demander s’il n’y a pas eu un bug, et qu’il a été urgent de trouver rapidement un coupable et d‘y adapter dans l‘urgence un profil ou celui d’un terroriste déjà répertorié. Face à ce cafouillis, et face à ces nombreuses contradictions, cela ne semble pas invraisemblable.
Chacun se souviendra pourtant que rien n’était venu troubler notre belle République laïque avant la tuerie de l’école juive, puisque celle de nos soldats étaient passée à la rubrique des chiens écrasés, et que personne ne recherchait vraiment le coupable, sauf là où il n’y avait aucune chance de le trouver. Il faudra attendre cette abominable exécution de Toulouse pour chercher activement le tueur et découvrir une avalanche de faits qui auraient été connus depuis longtemps des autres services, mais pas de ceux de la France. Pourquoi ? Effet de surprise ?
Maintenant il aurait été retrouvé ici un arsenal d’une valeur de 20 000€ chez lui et dans une de ses voitures. Au départ il n'y avait que deux voitures, et une avec les armes à l'intérieur avait été détruite aux explosifs au premier instant de l'intervention. Ce qui me faisait dire dans mon article ici : Pourquoi l'avoir fait exploser alors que des empreintes et éventuellement une piste auraient été facilement relevables alors que là des preuves avaient été détruites délibéremment.
Une réponse a été apportée depuis : une troisième voiture fait son entrée dans le scénario et ? Et ? ??? Elle est bourrée d'armes évidemment.
Si c’est vrai ! C’est même Mohamed qui l’a dit dans ses confessions intimes et même qu'il a dit où elle était cachée et comment il avait trouvé l’argent pour acheter le matos. Na !
- Mais a-t-il aussi donné le ticket de caisse de l’artilleur ou son adresse ?
- Ben ! Suite au prochain épisode. Sans doute les étiquettes indiqueront-elles qu'elles ont fait un passage en Syrie, voire, si elles sont de grandes voyageuses en Iran après être revenues à pied par la Chine en faisant une escale à Moscou. Quand aux empreintes soyons assurées qu'elles nous conduiront là où il faut.
Un parcours qui passe aujourd’hui comme étant celui d’un vrai voyou organisé ayant des réseaux alors qu’il a été dit, par ces mêmes experts, qu’il était quelqu’un d’inorganisé et de solitaire. Tout ce qui peut être dit pour confirmer qu’il est bien l’auteur sera dit et, encore dit, comme si les énormes failles devaient être bouchées rapidement et à tout prix.
Problème, elles le sont n’importe comment et tous les agents sionistes présents dans les médias, ou les dits experts et spécialistes, dans la précipitation se prennent les uns après les autres les pieds dans le même tapis avec la kippa qui leur tombe sur les yeux ne pouvant plus voir ce qui se passe.
Il a été dit au départ ici par l’avocat de Merah que son père assistait toujours aux audiences, avant que celui ne meurt. Maintenant ses parents seraient divorcés et son père serait retourné en Algérie et y serait mort. Mais dans la version officielle il est dit depuis que Merah ne voyait plus son père, car il lui en voulait du divorce, et que ce manque de présence du père l’avait mené à la délinquance.
Alors comment un père sans le sou, et fâché avec son fils, peut-il venir à chaque fois d‘Algérie, et apparemment souvent, pour assister son fils en correctionnel, lui qui avait délaissé sa famille en France ? C'est à en perdre son yiddish !
Depuis il est dit aussi que sa mère ne porte pas le même nom de famille que lui, s’appelant Mme Aziri. Fait nouveau ici : il y a maintenant un beau-père qui vient de sortir du chapeau et qui était inconnu au bataillon. Pourtant ce nouveau protagoniste n’a pas été interpellé ni interrogé avec sa femme, la maman de Mohamed, le jour J. Pourquoi ?.
Bien évidemment ce beau-papa est un radical extrémiste connu en plus des services et ayant des connections avec...avec ? Et oui ! La Syrie, comme maintenant le frère de Mohamed. « L'Expression - il y a 23 heures M. Penin avait relevé que le beau-père de Merah, un islamiste radical, avait pu avoir de l'influence sur lui ». « un des deux hommes arrêtés en Syrie, condamné à cinq ans de prison, s'est retrouvé apparenté à la famille Merah, son père partageant la vie de la mère d'Abdelkader et Mohamed.» Donc le fameux beau-papa.
Alors que le procureur affirmait que Mohamed Merah avait été tué de deux balles, une dans la tête et une dans le bassin par un sniper, pendant qu‘il sautait par la fenêtre en balançant d'une main une décharge de kalachnikov sur les forces présentes, tel Rambo, et de l'autre en disant bonjour à la caméra avant de s'écrouler à l'extérieur, devant chez lui, voici maintenant qu’il a été tiré de dos et qu'il aurait été criblé de 300 balles à l’intérieur de chez lui par le RAID.
Les versions se succèdent et ne se ressemblent pas. Elles ne font que s’adapter au fil du temps pour répondre aux très nombreuses interrogations posées, ce qui enfonce encore davantage leur crédibilité. Il faut savoir que contre terrorisme français a toujours été connu pour son utilisation de gaz incapacitants, principalement à l'étranger, et ce, depuis au moins 40 ans. Pourquoi alors avoir tué Merah ? La réponse est simple.
La Nouvelle République : Héros de la prise d’otages de l’Airbus de Marignane en 1994, Thierry Prungnaud, ancien sous-officier du GIGN et tireur d'élite, fustige l’intervention du Raid à Toulouse qui a mené au décès de Mohamed Merah.
"32 heures et 50 policiers pour un mec tout seul dans un appartement de banlieue de 40 m2, même s’il est lourdement armé, faut pas me la faire. J’ai fait les comptes. Merah avait avec lui un fusil à pompe, un Uzi, une Kalachnikov et un pistolet 9 mm. En supposant qu’il a utilisé toutes ses armes en même temps, ce qui est fort improbable, et que les chargeurs étaient pleins, il a tiré 70 cartouches maximum. Maintenant, il faut m’expliquer comment le Raid a pu en tirer 300 !"
D’ailleurs toutes les questions que je soulève ici ont maintenant des réponses.
« L'autopsie de Merah en cours depuis jeudi après-midi à Bordeaux indique qu'il aurait reçu une vingtaine de projectiles, principalement dans les jambes et les bras, alors qu'il tournait le dos aux hommes du Raid. Il est cependant parvenu jusqu'au balcon. Les deux tirs mortels, selon une source judiciaire citée par le quotidien, l'auraient alors atteint à l'abdomen et sur le côté gauche du front affirme » "Le Parisien"
C’est donc une toute autre version qui est maintenant donnée face à l’incohérence de la première pour expliquer ces longues minutes de fusillade inexplicables et qui restent encore trop longues.
Ici : « D'anciens responsables militaires et de sécurité israéliens ont critiqué vertement la gestion de l'assaut de Toulouse par la police française, qui a échoué à capturer le suspect vivant, malgré le temps et la latitude considérables dont elle a disposé.
Qui attend 30 heures quand il n'y a pas d'otages ? Toute l'opération ressemble à une démonstration de stupidité", assène Alik Ron, ancien chef de l'unité d'intervention de la police israélienne et des forces spéciales des parachutistes, cité par le quotidien "Maariv. »
C’est bien ce que je disais, le fait que les victimes de l’école soient israéliennes, et non françaises, Israël est en mesure d’intervenir directement dans les affaires françaises.
Voici maintenant un récit ici invraisemblable alors que nous savons tous que le quartier et l‘immeuble de Merah ont été évacué : « J'ai entendu les premiers coups de feu. Paniquée, je me suis cachée et j'ai appelé la police. Plus tard j'ai entendu à la télé que c'était le tueur de Toulouse qui était là. On a entendu les mots 'Al Qaïda', 'explosifs', on a voulu sortir", raconte Coumba Ba, 26 ans, qui habite deux étages au-dessus du tueur. "C'était comme à la guerre. Il fallait y être... C'est là qu'on a compris que c'était l'assaut", décrit une autre habitante de l'immeuble de Mohamed Merah, qui préfère rester anonyme.» Wouaaaah ! L’assaut a maintenant été donné sans évacuer le propre immeuble où se trouvait le tueur ! ? Nous allons de surprise en Sylla.
Alors comment la France pouvait-elle l’ignorer, ou s’être abstenue de chercher une concordance de profil auprès des bureaux de la CIA à Paris dès la tuerie des paras, mais surtout après celle des enfants isréliens ? Crime ultime, le seul qui mobilisera toutes les forces du territoire, sans succès immédiat, malgré ce dossier qui trainait partout. Mais avec un suivi des opérations par les journalistes qui, lui, sera retransmis en direct et dans le monde entier pour ne rien voir ni savoir.
Tout semble indiquer que la variabilité du scénario incriminant fortement l’État, puis en le dédouanant parfois, est encore modulable en fonction de ses décisions. Mais lesquelles ?
Alors que la DCRI et les autres services secrets français et étrangers ne s’inquiétaient absolument pas de Merah, depuis la tuerie des paras, malgré la somme considérable d‘informations inquiétante qui émane maintenant de chez eux, que le profil du tueur était très vague au départ mais qu'il se dessine au fur et à mesure chaque jour un peu plus comme étant celui du bon seul coupable terroriste idéal, cet empressement à boucher les trous et cet amas de détails contradictoires ne soulèvent-ils pas d’autres et encore plus d'interrogations ?
Voici maintenant le nouveau et dernier parcours de Merah, mais ne permettra-t-il pas aussi de trouver des liaisons indispensables à l'empire qui doivent mener à de dites cellules terroristes, dites dormantes en Syrie, en Jordanie et avec le Hamas puisque maintenant il serait allé en Israël ?
Quand nous connaissons la difficulté d’entrer dans ce pays, ou l'impossibilité pour des black listés comme de Mohamed de s'y rendre, s’est-il alors caché dans le train d’atterrissage d’un avion ou dans le sac à main d’un rabbin, en se planquant ensuite derrière des crottes de chien pour avancer en toute discrétion ? Tout est possible avec, non pas la SNCF, mais avec les compagnies aériennes qui laissent embarquer des types avec des explosifs dans le slip. L'endroit sacré où même le pire des terroristes ou des psychopathes n'irait jamais mettre des explosifs pour voir ses bijoux de famille terminer en tartare. Aie aie aie !!!!!.
Extrait du Monde /http://www.lemonde.fr/
« En revanche, un officier supérieur américain, en poste à Kandahar, a assuré au Monde, mercredi, que sur le passeport de l'intéressé figurait un certain nombre de tampons révélant ses derniers déplacements. Le plus ancien mentionnait sa présence en Israël, puis en Syrie, en Irak et en Jordanie. Avant d'être arrêté, il se serait rendu au consulat d'Inde à Kandahar en vue d'obtenir un visa pour se rendredans ce pays.
Aucune précision n'a pu être obtenue sur l'objet de son voyage en Israël mais la même source évoque, au regard des réponses fournies lors de son audition à Kandahar, que Mohamed Merah "aurait pu ou tenté" de se rendre dans les territoires palestiniens. Des repérages pour commettre d'éventuelles attaques n'ont pas été non plus exclus. »
C’est vrai que ces dires mettent les services de l’État, et l’État lui-même en position de totale incurie.
Voici maintenant le témoignage d’un psychologue qui met l'État encore plus dans la difficulté malgré que l'avocat de Merah ait dit le contraire au tout début ….. : « Le psychologue, Alain Penin, avait expertisé Mohamed Merah en 2009 et constaté qu'il avait un goût pour la solitude et un intérêt pour la religion, a-t-il expliqué à l'AFP. Il avait préconisé une (...) prise en charge psychothérapique et des mesures d'encadrement, et de suivi au plan éducatif. A l'époque, Alain Penin avait dressé le portrait psychologique du garçon en le décrivant comme fragile, influençable, fasciné par la violence et souffrant d'une "faille identitaire" ayant favorisé l'émergence d'un "processus monstrueux". Au moment de l'expertise, Alain Penin avait décrit une forme de dangerosité : "on le décrit comme un monstre, il en est un mais il a une histoire complexe»
« Pour François Heisbourg, de la Fondation pour la recherche, s’étonne qu'il n'ait pas été davantage surveillé : "Un profil qui présente un tel niveau de dangerosité est normalement placé de façon récurrente sur écoute, suivi physiquement, on s'assure d'où il habite, où il travaille..." , précise le chercheur. En effet, les islamistes radicaux qui présentent un danger manifeste pour la sécurité du pays font habituellement l'objet d'une surveillance constante, explique Eric Decéné, directeur du CF2R. Mais "ce n'était pas le cas de Mohamed Merah, indique le spécialiste. Il faisait l'objet d'un 'intérêt' de la part des services, mais il se tenait calme, il n'y avait aucune raison de le placer sous ce type de surveillance.» Une surveillance rapprochée n'est d'ailleurs pas tellement du ressort de la DCRI, mais de la police judiciaire, explique André Tarrat. Du coup, elle ne peut être mise en place qu'avec l'autorisation du juge des libertés. Elle nécessite aussi un suivi "très intense et compliqué", selon le chercheur, impossible à maintenir dans la durée. Dans l'affaire Merah, cette surveillance n'interviendra finalement qu'après la troisième tuerie, avec des écoutes téléphoniques qui n'ont d'ailleurs "pas donné grand chose", selon le procureur Moulins.
A 0,34 secondes nous apercevons un mur à gauche criblé de lourds impacts venant de la pièce de derrière d‘après l‘éclatement, Comment est-ce possible selon la première version et même selon la seconde qui est encore différente ?