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Le petit homme en rut âgé de plus de 10 000 n'est-il pas une femme ?

Publié par Diatala sur 29 Février 2012, 16:32pm

Catégories : #Aube de l'Humanité - Mystères

 

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais sur ce dessin que l’on dit nous être, la représentation d’un homme en rut, il est facile d’y apercevoir des seins qui, étrangement, ne sont plus présents dans la reproduction.

Pour moi, si je regarde bien, et que je ne me trompe pas, ce dessin pariétal montre une femme et son ombre projetée au sol qui semble tenir dans sa main gauche un enfant et dans sa main droite une tête d’animal ou de dinosaure Sa tête semble aussi ophidienne ( serpent ou reptile) et j’ai beau chercher sur l’original je ne vois pas son énorme sexe, sauf sur la reproduction où il est plus visible.

Mais il n’y aurait rien d’étonnant que cette gravure lithique soit passée au travers des mailles du filet de la censure et que l’on tente du coup, et une fois encore, de nous cacher que les premières divinités et Dieu étaient des femmes. Que l’on tente aussi de continuer de nous faire croire que la chronologie académique est exacte et que les dinosaures n'ont pas été des contemporains des humains. C'est la même chose avec les pyramides qui auraient été soi-disant construites voilà quelque 4500 ans avec des outils très rudimentaires et des ouvriers aux forces plus impressionnantes que celles utilisées par nos technologies les plus avancées  ; alors que certains spécialistes en archéologie affirment qu‘elles sont antédiluviennes et qu‘à cette époque des sociétés hautement évoluées, plus que nous, existaient.

Une découverte, si elle était honnêtement décrite, qui mettrait à mal et qui anéantirait tout ce qui nous a été enseigné jusqu’ici et qui, de ce fait, doit être détournée en symbole de virilité mâle. Ce qui sera le sujet d’un de mes prochains articles où vous verrez que tous les textes, les artéfacts et les preuves de cette origine féminine ont été savamment occultés, falsifiés, détruits ou entreposés et volontairement oubliés dans les sous-sols des musées.

La sérendipité, mot savant et compliqué, exprime qu’au gré de vos recherches une découverte inattendue, liée au hasard, vient d’un seul coup étayer votre intuition en démontrant de manière factuelle ce que vous aviez du mal à asseoir. C’est-ce qui m’est arrivé dernièrement avec la découverte des travaux d’une professeure-chercheuse ayant une maîtrise d’Histoire de l’art.

Après que cette chercheuse ait été plusieurs années à la recherche de cette Déesse Originelle, Reine des Cieux, Terre-Mère et Créatrice de Tout, et après avoir effectué son travail en collaboration avec différents experts pour étudier de très nombreux documents et textes sacrés anciens,  après qu'elle se soit rendue sur des sites archéologiques en Occident, au Proche et au Moyen-Orient et qu'elle se soit tapée la visite ardue de nombreuses caves de musées, elle nous démontre preuves à l’appui que Dieu était une femme à l’Origine. Mais que des tribus de conquérants et des clergés successifs ont fait disparaître petit à petit toutes traces de Son existence ; comme ils le feront pour les grandes prêtresses qui officiaient initialement dans les temples.

Vous verrez aussi que l’on nous a caché la vérité concernant les découvertes qui ont été faites à Sumer dans la traduction des tablettes d‘argile et celles de l’Épopée de Gilgamesh, comme en Anatolie à Çatal Huyuk, au Liban à Byblos, en Crête, en Grèce, en Palestine historique, et même en Egypte avec Nag Hammadi et avec le premier Culte d‘Isis, Reine des Cieux et Créatrice de Tout, nommée en égyptien Au Set  et qui finira par devenir le vilain dieu mâle Seth.

Tout ce qui symbolisait la Puissance féminine a été détruit, inversé et avili.Principalement pour nous, cela se fera avec la rdaction de l'Ancien Testament qui aurait été rédigé par des prêtres Lévites puissamment misogynes qui feront passer les femmes pour des êtres inférieurs qui doivent obéissance et respect aux mâles, pour des prostituées et des démons.  

 À lire :


source : http://www.hominides.com/

Une gravure de plus de - 10 000 ans dans une grotte du Brésil

Publiée en ligne le 22 février dans la revue PLoS ONE, l’étude détaillée, par des chercheurs brésiliens, d’une gravure rupestre ornant une grotte du centre du Brésil, datant  de 9 à 12 000 ans et baptisée ‘le petit Homme en rut’, témoigne de l’ancienneté de l’occupation de l’Amérique du Sud.

La découverte
C’est à la fin d’une fouille menée jusqu’à 4 m de profondeur, sur les parois de la grotte de Lapa do Santo, au centre-est du Brésil, qu’une équipe d’archéologues de l’Université de São Paulo a découvert, en 2009, cette gravure représentant un homme filiforme, doté d’un phallus surdimensionné. Les sédiments recouvrant ce pétroglyphe, analysés et datés au radiocarbone, font remonter cette œuvre pariétale à une époque située entre -9 000 et -12 000 ans, en faisant la plus ancienne d’Amérique du sud datée de manière fiable.

Relevé de la gravure de la grotte de Lapa do SantoLa gravure
Visiblement accroupi, avec les bras tendus, le petit personnage stylisé mesure environ 30 cm de la tête aux pieds (sur une largeur de 20 cm), exhibant un sexe en érection  de 5 cm, soit à peu près aussi long que son bras gauche. « Nous avons surnommé cette effigie : ‘le petit Homme en rut’. Cette représentation est probablement liée à une sorte de rituel de fertilité. Il y a un autre site, dans la même région, où l’on trouve des peintures avec des hommes aux phallus géants, des femmes enceintes, et même une scène d’accouchement », explique Walter Alves Neves, l’un des archéologues de l’équipe, également spécialiste en anthropologie biologique.

Le contexte
Lapa do Santo, grotte calcaire d'environ 1 300 m2 de superficie, fait partie d’une série de cavernes qui ont également livré des restes humains enterrés, des outils en pierre et en os, des cendres de foyers et des restes de repas (fruits et petit gibier). C’est le plus grand abri rocheux occupé de cette région, où fut découvert le plus ancien squelette humain trouvé à ce jour en Amérique du Sud, une femme d’une vingtaine d’années baptisée Luzia.

Une occupation ancienne des Amériques
Toujours débattue, la date d’arrivée de l’Homme sur le Nouveau Monde est encore incertaine. Si de récents travaux attestent d’une chasse au mastodonte dès -13 800 ans ou de la capture d’animaux marins dès -12 000 ans dans l’ouest des États-Unis, ce pétroglyphe, selon ses découvreurs, comparé aux mains représentées dans la Cueva de las Manos ou aux figures géométriques de la Cueva Epullan Grande, en Argentine, suggère qu’en Amérique du Sud, très tôt, les émanations abstraites de la pensée avaient déjà eu le temps de s’épanouir en diverses formes.

« Cela montre qu’il y a près de 11 000 ans, il y avait déjà une manifestation très diversifiée de l'art rupestre en Amérique du Sud, et qu’ainsi, l'Homme est probablement arrivé dans les Amériques beaucoup plus tôt que ce qui est normalement accepté », conclut Walter Alves Neves.

F. Belnet

Sources :
Telegraph,
HuffingtonPost,
LiveScience

Photos : collection of Laboratory for Human Evolutionary Studies - University of São Paulo

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