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Stérilité : L 'amour du bon docteur Wiesner pour sa partenaire, une éprouvette (600 enfants dans la nature),

Publié par Diatala sur 11 Avril 2012, 09:35am

Catégories : #Alerte : Eugénisme- GPA-PMA-Mutilation- Euthanasie

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Image: AFP

 

Le docteur Bertold Wiesner un étalon reproducteur(600 enfants), sa partenaire une éprouvette

 

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

  

Décidemment on ne peut que constater que les Frankenstein, Friedmann, Israël Nisand & Co, et maintenant feu le bon docteur Bertold Wiesner ont tous des points communs autres que leur culture religieuse. Ces apprentis sorciers veulent laisser leur empreinte en manipulant à leur guise le vivant et en créant une nouvelle race artificielle. Pour d’autres, ils veulent se perpétuer discrètement et surtout sans contraintes au travers de dons réguliers de sperme au risque de mariages consanguins et incestueux. C’est dingue ! Et c’est même très grave pour de dits médecins !

4928554971_24a18f4966.jpgMais pour ce type d’individu, à l’ego disproportionné, leur lignée patrilinéaire doit se propager le plus possible puisqu‘ils se considèrent comme étant supérieurs. La jouissance éprouvée par ce médecin est même palpable, celle de se dire : Je me suis répandu et reproduit partout et ma lignée perdurera car je le veau bien ! Les enfants de demain franchiront-ils alors le mont Vénus avec un Talmud à la main et vont-ils nous sortir un nouveau-né mâle déjà circoncis ?

 

Des questions se posent face à ces dons : Comment une femme peut-elle accepter de recevoir une semence inconnue en ignorant totalement sa provenance, donc, les antécédents familiaux et héréditaires ? Ensuite comment peut-elle être certaine qu'aucune transgénèse n'a été effectuée au départ pour retirer où ajouter des gènes à son futur enfant, voire un gène animal puisque cela se fait déjà  ?

 

Les femmes violées, qui sont tombées enceintes, ont pourtant toutes ce dégoût commun d’avoir en elles une semence inconnue. Pour celles, qui gardent l’enfant, le traumatisme de ne pas avoir sélectionné le père sur des critères conscients et inconscients est pourtant toujours présent. Souvent un rejet de l’enfant se développe à partir de ce manque de sélection naturel. C‘est l‘enfant de la honte car le père est un inconnu. Ou, quand la mère connaît le violeur, elle a été violée une seconde fois en ne choisissant pas elle-même le géniteur et le moment où elle souhaitait avoir un enfant.

3300995485_dae7e84893.jpgCes femmes qui choisissent un donneur  inconnu, ou une donneuse(ovocytes), et les violées, ont des points communs. Alors que leur corps et que leur esprit ne sont pas prêts à recevoir le moindre embryon de vie (stérilité et viol) elles se retrouvent avec celle d’un inconnu ou d'une inconnue.

Pour les premières sont-elles conscientes de ce qu‘elles font, et des risques qu‘elles font encourir génétiquement à notre espèce ?

Mais comme dorénavant l’impossible est réalisable on viole la nature et à l‘aide de moyens artificiels, qui n’ont aucun recul, on lui impose de force une autre direction.

La vraie question bioéthique devrait rester celle-ci : Si une femme ( ou un homme) est stérile, doit-elle continuer de considérer que cette différence est une tare pour en arriver à contraindre sa nature innée et acquise plutôt que de l’accepter, non pas comme une terrible fatalité, mais comme étant le signe d’une introspection profonde qu’elle (qu'il) doit effectuer ?

 

12105525_876229d52b.jpgAlors, objectivement, que savent-elles toutes ces femmes de ces donneurs ? Rien. Si ! Sur catalogue, dans certains pays, on leur montre des profils et on leur assure que ces spermatozoïdes ont été sélectionnés parmi les meilleurs et les plus vigoureux dans le bocal. Mouais ! Il faut avoir la foi du charbonnier pour faire confiance à ce point et, surtout, être des inconscientes.

Mais pensent-elles à l’enfant qui va naître et qui sera malgré tout orphelin de père et sans passé génétique identifiable puisque les dons sont anonymes ? Comment se situera-t-il dans l’espace et le temps sans marqueurs identitaires et en ayant été au départ un simple produit marchand conservé dans une centrifugeuse ? Quels repères auront ces enfants ?

Si certains enfants sont adoptés, en ignorant totalement qui sont leurs parents, au moins ils savent qu’ils sont nés par procréation naturelle. Ce qui sera de moins en moins le cas puisque, des enfants déjà nés, sont passés par la case congélation, vitrification et éprouvette avant d’être collés à plusieurs au fond d’une matrice pour découvrir le premier combat de leur vie : l’élimination des concurrents, ou du maximum puisque nous voyons des femmes avoir de véritables portées. Jusqu‘à 9 ou 11 petits quand les embryons sont cossards et surtout pacifistes.

404879754_92458477a7.jpgSi le désir d’enfanter peut tourner à l’obsession, et qu’il peut se comprendre pour diverses raisons quand il devient difficile ou impossible pour une femme ou un couple d’avoir un enfant, l’obsession elle-même n’est-elle pas le problème à soigner ? D’ailleurs de nombreux cas de fertilité ont été observés quand l’homme et la femme changeaient de partenaires. Et ils eurent beaucoup d’enfants…

 

La stérilité partielle ou totale est donc devenue un immense business et, en même temps, évidemment, un problème qui a ouvert la boîte de Pandore pour n’en sortir que des solutions aberrantes qui n’assurent aucune fiabilité quand aux mutations génétiques qu’elles engendreront à long terme.

 

Le désir de fonder une famille, la peur de perdre l’homme aimé en étant stérile ou en subissant celle de son conjoint, donc la terrible empreinte de la répudiation qui est encore gravée dans la conscience collective, et le besoin dit naturel de mettre au monde et de materner, sont les pulsions qui si elles ne sont pas assouvies font naître un sentiment d’isolement : celui d’être différent et différente des autres. Marqué par le sceau de la honte de ne pouvoir procréer.

Ah ! la différence. Sortir des normes et des statistiques est pour certains un cauchemar. C’est pourquoi ils veulent réintégrer au plus vite le troupeau et rentrer de nouveau dans les chiffres comme celui de la femme qui a en moyenne 2,3 enfants. Pour ce faire, ils sont ouverts à toutes les propositions qui les feront se noyer de nouveau dans la masse et, enfin, ressembler à tous les autres.

873042951_41a14195f6.jpgMais si ces mauvais démiurges se comportent comme si l’humain était du bétail, il ne faut pas oublier que certains se laissent guider comme des moutons, et être inséminés comme des animaux d’élevages industriels ou  comme des chevaux de course pour la sélection de la race.

 

Pour finir, certaines pourraient me rétorquer : C’est facile tu as mis au monde des enfants naturellement par procréation !. C’est vrai. Mais jamais je n’aurais été capable d’avoir en moi le sperme d’un étranger, d’un inconnu, et de donner la vie à un enfant GATTACA ou à une quelconque chimère peut-être rêvée par des apprentis sorciers cupides et à l‘ego malade. J’aurais adopté. Il y a tellement d’enfants orphelins sur cette planète, dite surpeuplée.

Je ne comprendrai jamais non plus comment on peut accepter qu’un étranger, même en blouse blanche et ayant Bac + 12, puisse s’ériger en créateur face à ce qu’il considère être ses créatures démunies et soumises, et qu’il présélectionne et sélectionne ensuite les cellules qui donneront la vie en elles…mais artificiellement et sans qu’elles ne puissent gérer l’essentiel.

D’accord me direz-vous, quand le père est le donneur il n’y a pas de problèmes. Quoique ! Une erreur de nom ou d’éprouvette et si vite arrivée que nulle ne peut être certifiée de l’origine du donneur ou de la donneuse. Et surtout personne ne sait quelles transgénèses ont été faites en amont.

 

Quand on pense que les principaux candidats veulent augmenter les budgets de la Recherche, ils feraient mieux de les geler ; surtout quand il faudrait encore emprunter pour enrichir les grands argentiers et les banquiers. 

 


Newsnet : http://paper.li/EnfantsDroits/1326482001

 

Un spécialiste de la fertilité serait le père de quelque 600 enfants

 

La presse britannique révèle que le médecin Bertold Wiesner, mort en 1972, aurait donné son sperme à des centaines de femmes dans sa clinique spécialisée.

 

En 20 ans, le docteur a pu engendrer entre 300 et 600 enfants, qui n'ont pour la plupart aucune idée de leur histoire familiale.

C'est le Daily Mail qui a révélé l'affaire en Angleterre. Un médecin britannique, Bertold Wiesner, décédé en 1972, serait le père biologique de centaines d'enfants conçus dans sa clinique spécialisée dans la lutte contre l'infertilité, une clinique qu'il avait créée à Londres avec son épouse dans les années 40.

Pendant plus de 20 ans, le couple a aidé des femmes à engendrer quelque 1500 bébés, note le quotidien anglais. Mais parmi tous ces enfants, beaucoup serait de Bertold Wiesner lui-même. En effet, si le couple faisait appel à des proches pour donner du sperme, le docteur aurait fourni une grande partie des échantillons.

Tests ADN

Si Mme Barton, décédée il y a 11 ans, a détruit tous les dossiers des naissances, la vérité a fini par éclater après des recherches effectuées dans le cadre d'un documentaire par le réalisateur Barry Stevens, lui-même un enfant de Wiesner. Des tests ont alors été menés sur 18 personnes conçues dans la clinique. Douze d'entre elles portaient les gènes du médecin.

Selon un autre descendant biologique du docteur, celui-ci faisait une vingtaine de dons de sperme par année. En 20 ans de pratique, il aurait ainsi pu engendrer entre 300 et 600 enfants, qui n'ont pour la plupart aucune idée des liens du sang qui existent entre eux. Avec le risque dramatique que certains puissent commettre sans le savoir un inceste...

 

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