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La Folie cupide des pétroliers

Publié par Diatala sur 26 Juin 2012, 14:47pm

Catégories : #Energie - OVNI - Terre- Physique - Séisme- Spacial

  La Folie cupide des pétroliers

Les satellites permettent de détecter aussi bien des énergies fossiles sous la banquise, que des sites archéologiques ensevelis sous de très anciennes strates géologiques, et de voir encore bien d’autres choses comme l'heure sur votre montre. Ce qui veut dire que les pétroliers ne creusent pas au hasard comme le faisaient leurs prédécesseurs.

 

Une question fondamentale se pose : Comment font-ils s’ils découvrent de gigantesques gisements dans l’Antarctique à des endroits inaccessibles même en été ? Le pétrole ne se trouve pas toujours là où ils le souhaiteraient, c’est-à-dire sur des sites accessibles. La banquise est trop épaisse par endroits et empêche forcément la circulation maritime et donc le forage.

Ainsi des tonnes d'or noir et des tonnes d'autres richesses comme le gaz, l'or et d'autres minerais seraient laissées sans pouvoir parvenir à générer de faramineux profits ? Non bien évidemment. Le vice du profit et celui de la domination ont œuvré de concert pour trouver des solutions. Or, même un enfant parviendrait à la trouver puisqu’il suffit de faire fondre la banquise pour y accéder.

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HAARP serait-elle alors l’arme fatale permettant de faire fondre la banquise et le pseudo réchauffement climatique anthropique servirait-il de coupable et d'alibi pour piller cette région polaire ? Nous savons que l'appât du gain peut conduire à des comportements extrêmes et criminels ; alors tout est possible. 

 

Depuis que le rapport B4-0551/95 ici a été remis au Parlement Européen, le 14 janvier 1999, sur la dangerosité de ce système dirigé par l'armée de l'air, la marine des États-Unis et par l'Institut de géophysique de l'université d'Alaska, sa technologie s'est obligatoirement améliorée et personne ne sait à ce jour qu'elles sont ses véritables fonctions militaires et si son utilisation peut modifier dangereusement et sur le long terme la ionosphère.

Mais dans le débile, il ne faut pas oublier de parler non plus de la profondeur des forages qui atteignent désormais plusieurs kilomètres.

Des extractions à ces profondeurs, principalement faites maintenant en offshore, sont tout simplement de la pure folie car personne ne sait quelles seront les conséquences en cas d'une énième marée noire et quels seront les effets secondaires provoqués par de telles vibrations et de telles opérations humaines sur le moyen terme.

   

clic image pour lire des articles de scientifiques sur HAARP

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Des affiches détournées de la campagne Let’s Go ! Arctic :

Le pôle Nord en 2030 - grâce à Shell » (Alex/Campagne Let’s Go ! Arctic)

 

Source : Bastamag

  

Ne vous inquiétez pas pour lui. Il s’en sortira. Promis » (Lisa/Campagne Let’s Go ! Arctic)

La conférence de Rio+20 sur le développement durable à peine terminée, les géants du pétrole sont partis à l’assaut de la banquise. L’Arctique fond à une vitesse inquiétante : la banquise a perdu un tiers de sa surface en trente ans, et pourrait disparaître complètement en été d’ici 2030. Une aubaine pour les industriels du pétrole qui veulent exploiter des ressources jusque-là inaccessibles. 90 milliards de barils pourraient être extraits de cette zone. L’équivalent de 3 ans de consommation mondiale d’or noir.

 

Shell va commencer prochainement des forages exploratoires offshore en Arctique. Les États-Unis ont donné en décembre leur aval à ces projets d’exploration, estimant que l’impact sur l’environnement et les populations locales ne sera pas significatif... Des bateaux brise-glace et navires de forage sont en route ou déjà sur place.

Pour extraire les dernières gouttes de pétrole, les industriels veulent se lancer dans une extraction très onéreuse, dans des conditions extrêmes. En cas d’accident ou de fuite – comme dans le Golfe du Mexique (l’incendie de la plateforme BP) ou en Mer du Nord (avec Total) –, toute intervention pour contenir les dégâts et éviter ou nettoyer une marée noire sera extrêmement compliquée. « Pour empêcher les icebergs d’entrer en collision avec leurs plateformes, les compagnies pétrolières utilisent des canons à eau géants pour faire fondre les blocs de glace. Si nous les laissons faire, une marée noire ne serait qu’une question de temps », estime Greenpeace.

Au lendemain de l’échec de la conférence de Rio+20, l’ONG lance une campagne pour « sauver l’Arctique ». Elle demande l’interdiction des forages dans la région. Une fausse campagne de publicité a été lancée avec les Yes Men, pour mettre en évidence l’aberration des projets de Shell [1]. Dans cette zone de biodiversité unique, essentielle à notre équilibre climatique, l’augmentation des températures est aujourd’hui deux fois plus rapide qu’ailleurs. De bien faibles arguments visiblement, face à l’avidité des géants du pétrole.

Le site de la campagne Save the Arctic

En photos : Des affiches détournées de la campagne Let’s Go ! Arctic :

 

Notes

Shell a finalement obtenu l’autorisation des autorités françaises pour mener des forages d’exploration au large de la Guyane.

 

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