
« Je suis gay et je m’oppose au ‘mariage’ homosexuel et à l'adoption »

« Je suis gay et je m’oppose au ‘mariage’ homosexuel et à l'adoption »
Je supprime le maximum de mots surlignés dans les articles qui ne sont pas les miens puisque je refuse de faire le jeu de ceux que l'on dénonce.
Désormais des robots ont envahi tout le Net, les boîtes mails, les blogs et insèrent systématiquement des liens publicitaires partout quand d'autres plus vicieux plantent carrèment votre ordi. Yahoo, Google et tous les autres, tous complices.
Même dans ma gestion interne le mot d'une de mes catégories qui comporte - ban-que - renvoyait vers des placements financiers. Pour l'éviter si vous n'avez donné aucun accord pour mettre toutes ces pubs chiantes, vérfiez toujours vos textes, répérez les mots sélectionnés et mettez un tiret dans ceux-ci ou écrivez ges-tion avec une lettre en moins ou voy-age etc. Il faut donc repérer en naviguant quels sont les vrais liens.
À première vue, Doug Mainwaring semble un défenseur du mariage naturel très improbable : il est ouvertement homosexuel et a adopté. Mais « la raison et l’expérience » le conduisent aujourd’hui à penser que les enfants ont besoin d’une maman et d’un papa et que le mariage doit privilégier les besoins des enfants sur les désirs des adultes.
C’est ce qu’il explique dans une tribune intitulée « Je suis gay et je m’oppose au ‘mariage’ homosexuel » parue récemment dans The Public Discourse. « Il y a peut-être une centaine de choses différentes, petites et grandes, qui sont négociées entre les parents et les enfants chaque semaine. Les mamans et les papas interagissent différemment avec leurs enfants. Donner aux enfants deux mamans ou deux papas, c’est les priver de quelqu’un dont ils ont désespérément besoin et qu’ils méritent pour être heureux », explique Doug Mainwaring.
En bon Américain attaché à ses libertés, il pointe également le danger représenté par le « mariage » homosexuel du point de vue de la lutte contre l’étatisme et pour les libertés individuelles : « le potentiel de la participation du gouvernement dans les ménages de mariage de même sexe est stupéfiant. » On pourrait ajouter qu’il en est de même avec les familles monoparentales, du pain béni pour l’État nounou et autoritaire…
« Salomon n’avait qu’à diviser le bébé en deux. À l’avenir, les juges pourront décider de répartir les enfants en trois, quatre ou cinq morceaux égaux. Par exemple, en Floride, un juge a ordonné récemment que le certificat de naissance d’un enfant présente un total de trois parents : un couple de lesbiennes et un homosexuel (le donneur de sperme, par ailleurs coiffeur de l’une des lesbiennes) », continue Doug Mainwaring. Et ce n’est qu’un début, prévient-il. Ce qui le fait conclure en ces termes : « Le mariage n’est pas une notion élastique. Il est immuable. Il offre le meilleur pour les enfants et la société. Nous ne devons ni altérer ni mutiler sa définition, privant ainsi de ses richesses les générations actuelles et futures. » Nous n’aurions pas dit mieux !
Photo : Doug Mainwaring à la March for Marriage du 26 mars 2013.
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