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Hybridation : à Grenoble la nanotechnologie implantée dans le cerveau
Depuis les castes antiques sacerdotales et patriarcales, jusqu’à Darwin, il est évident que tout a été fait pour que l’humain s’enfonce et s’égare dans le labyrinthe des croyances et que son animalisation se poursuive à grande échelle afin d’éviter qu’il ne redécouvre sa nature réelle, ses énormes potentiels de régénérescence et ses forces psychiques, d’autres parleront de sa divinité perdue. Mais comme les pouvoirs temporel et spirituel s’écroulent sous le poids de leurs énormes mensonges, délits et crimes, en parallèle d’autres programmes sont en cours pour continuer de domestiquer les masses. Si la foule venait à s'éveiller ou à se réveiller de ce long sommeil, leur règne, leur pouvoir et leur emprise disparaitraient.
Il fallait donc instaurer de nouvelles croyances et de nouveaux dieux. Des dieux que le commun des mortels suivrait une fois encore aveuglément pour conquérir l’immortalité ou pour avoir accès à la fontaine de jouvence ici-bas.
Si les dieux n’ont plus leur demeure dans l’empyrée, mais qu'ils possèdent des institutions supranationales, des coffres-forts et des usines multinationales, qu’ils se sont débarrassés de leurs attributs divins pour endosser un costume Prada et une montre Suisse, qu’ils se sont lassés de leur char céleste pour lui préférer un jet privé, que leurs hiérophantes psalmodient des paroles d’experts, nées de leur initiation maçonnique, que leurs prêtres officient comme des perroquets dans des salles hypostyles appelées maintenant studios télé et radio, et que leurs textes sacrés inondent les kiosques à journaux pour offrir aux lecteurs de nouveaux versets tout aussi mensongers et sophistes que les anciens, il n‘en reste pas moins vrai que ces faux dieux, aidés de ce nouveau clergé, ont réussi à édifier une nouvelle religion.
Ses croyants sacrifieront pourtant leur essence première, leur conscience et leur libre arbitre sur les autels de la désinformation et de la manipulation.
Implants de nanotechnologies dans le cerveau
Pour ce faire nous retrouvons toujours les mêmes Frankenstein sans conscience, irresponsables et mûs par une cupidité extrême et un hybris qui l‘est tout autant. Cependant les créatures qu’ils sont entrain de monter en kit vont être déshumanisées totalement en les faisant devenir des hybrides - humain/machine ou des humanoïdes - et qui seront à leur merci jusqu‘à la fin de leur vie puisque la créature est toujours liée à son créateur.
La machine va ainsi prendre possession du corps, les greffes d'organes artificiels (fabriqués in vitro) et les manipulations génétiques elles engloutiront l’âme. Pendant ce même temps d‘autres se lancent dans la sordide xénotransplantation (greffes d‘organes d‘animaux dans le corps humain). D’autres pratiquent de multiples mutagénèses artificielles pour aseptiser totalement l’humain en lui retirant ou en lui ajoutant des gènes, et de nouveaux banquiers font dorénavant leur beurre en conservant les dépôts de sperme et d’ovocytes tout en spéculant sur la nouvelle race. D’autres encore créent des hybrides homme/singe ici quand en Corée du sud le clonage a donné 11 lignées de cellules embryonnaires humaines viables, ici. Pour le profit et pour rire certains font naître des poules avec des dents, avec quatre cuisses, sans plumes, des chats, des chiens et des cochons fluorescents ici et du bétail 15 cm plus long, quand d'autres encore introduisent dans le corps ou dans des médicaments des puces. Et d'autres encore pendant ce temps font revivre le mammouth laineux et des dinosaures.
La liste est loin d'être exhaustive et nous n'avons connaissance que de ce qui est officiel et non secret ; c'est dire...
Wikimédia : "Prometheus Bound" by Christian Griepenkerl
Toujours sous couvert d’un programme vertueux et humaniste, destiné officiellement à améliorer la santé et la longévité, ceux qui se prennent malheureusement pour des dieux ou pour les Prométhée du XXIe siècle font prendre à l’humanité les plus grands risques.
Ainsi pour assurer la santé de leurs clients cobayes, qui souffrent de maladies dégénératives, ou des personnes qui potentiellement un jour pourraient en être atteintes, ou peut-être jamais, ils se font garagistes en manipulant comme des objets et sans aucun scrupule l'humain et le vivant. Or derrière ces intrusions corporelles et ces chirurgies invasives, souvent iatrogènes, de multiples autres applications peuvent en découler ; notamment militaires, de fichage, de manipulation et de contrôle du cerveau, même à distance. Pour ce dernier un des concepteurs, Alim-Louis Benabid, de la clinique expérimentale du cerveau à Grenoble, Clinatec, dit ceci :
« Avec les électrodes et les implants cérébraux, on peut changer la personnalité de quelqu’un qui était anormal, pour le remettre dans la normalité. On peut faire passer les gens d’un état suicidaire à un état jovial ». source Bastamag
C’est terrifiant puisque cela implique nécessairement que cela peut se faire en sens inverse. Quoi qu'il en soit c'est loin d'être anodin si nous prenons conscience des multiples détournements possibles.
Une autre question très grave se pose : Comment vont-ils définir la normalité de l’anormalité pour greffer un corps étranger dans le cerveau de quelqu‘un qui n‘a pas donné son consentement par exemple (car cela se produira obligatoirement) ? Quel sera aussi l'argument face aux patients et aux familles pour leur faire admettre qu'ils sont ou que leur enfant ont été jugés sans procès comme étant anormal ou suicidaire ? Mais surtout qui peut définir qui est normal de qui ne le serait pas ? Qui peut affirmer que l'envie de suicide restera dominante à vie quand on sait qu'elle est en très grande majorité passagère ? Cela n'est pas sans rappeler une certaine époque.
Vont-ils choisir leur sujet en partenariat avec l’État, la police, les prisons, les hôpitaux psychiatriques et les services sociaux et ceux de l'Enfance ?
Est-ce, comme cela se fait déjà avec les analyses médicales, qui produisent les normes et les statistiques, en mettant dans le même wagon tous leurs clients afin de leur dicter le même protocole de soins, alors que chacun d’eux est unique ?
Vont-ils accentuer cette gigantesque arnaque financière à la SS(Sécurité Sociale) du pré-dépistage avec un pré-pré-dépistage à vie dès la petite enfance ?
Feront-ils comme Freud l’a fait, avec son point de vue de grand pervers, en mettant ceux qu’ils considérait comme fous en hôpitaux psychiatriques et en laissant les vrais psychopathes dehors ?
Certains se demandent également si avant l’ouverture de cette clinique ultrasécurisée, non rattachée à l'hôpital, qui accueillera des cobayes volontaires en 2013, ces hybridations ont été préalablement expérimentées ? Car, grâce à de nombreux dossiers déclassés, et à des fuites, nous savons que ce fut le cas dans divers pays pour tester sur des marginalisés la pénicilline, des drogues et médicaments, des vaccins et les effets de la radioactivité comme ici et là ou là , ou encore avec l'expérience menée en France par la CIA dans le village de Pont ST- Esprit pour tester les effets du LSD.
L'histoire des rats et des animaux de laboratoire sert donc à montrer l'arbre pour cacher l'épaisse forêt. Surtout quand nous savons que des protocoles sont testés directement sur les malades et les cancéreux parfois sans reconduction de leur AMM ( autorisation de mise sur le marché).
Un autre praticien de Clinatec, François Berger dit aussi « Le clinicien que je suis ne peut cependant que lancer un cri d’alarme : attention au principe de précaution. Trop de régulation tue l’innovation thérapeutique ». Il déclarait aussi lors d’une audition par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques. « A l’évidence, les citoyens ont peur », il faut « la possibilité d’éduquer des citoyens » sur le sujet ».
STUPEFIANT !
Est-ce un avertissement lancé aux comités d’éthiques et aux pouvoirs publics ? Doit-on considérer que le principe de précaution, terriblement justifié ici, et que les études poussées ne seraient que du temps perdu ?
Il faut aussi savoir que si leurs techniques ont besoin d’un amen de circonstance pour tenter de convaincre le reste de l’opinion septique, et éviter ainsi le maximum de désapprobations publiques, n’oublions pas qu’ils peuvent s’en passer. Cependant il faut rappeler que ceux qui donnent ces certificats, qui autorisent ces ouvertures et qui délivrent les AMM, ignorent souvent totalement le fond des dossiers, qu’ils se basent uniquement sur les lobbyistes et des études privées le plus souvent tronquées, quand parfois, certains ont même une double casquette en travaillant également pour ces laboratoires et quand les derniers eux s‘en foutent ; l‘essentiel pour eux tous étant de conserver leurs places et leurs privilèges.
Une autre question se pose : Comment feront-ils pour avoir le maximum de profits financiers, donc d'hybrides ? Inventeront-ils encore de nouvelles maladies, les lois sécuritaires vont-elles s'amplifier encore, de nouvelles normes physiologiques et biologiques vont-elles anéantir les anciennes déjà subjectives et même mensongères, une énième pléthore de statistiques alarmantes et sans fondement va-t-elle faire le tour des médias, continueront-ils à émettre de études cliniques frauduleuses, continueront-ils d’inonder le marché de ces nombreuses molécules artificielles qui induisent maladies et dégénérescence, quand d’autres sont létales ?
Une chose est certaine, les naïfs verront dans ces progrès et cette chirurgie de neurostimulation un progrès fantastique alors qu’ils démontrent, une fois encore de manière ostentatoire, l’impuissance et la mauvaise foi de ceux qui les promeuvent. Pourquoi ? C’est simple, ces apprentis sorciers continuent de soigner les symptômes et non leur cause ; c‘est donc une nouvelle régression patente pour le malade et les médecins honnêtes.
C’est-ce qui s’appelle une imposture et un échec scientifiques quand ils sont nommés progrès scientifiques.
Or n’oublions pas qu’il est question ici de techniques d’hybridation et de transgénèse qui n’offrent aucun recul sur le long terme, et non pas d'un jeu. Qu'en est-il des risques de rejet, de malformation, de migration, de la dégénérescence de l’ADN ou de celui du génome humain ? Personne ne le sait. Ce qui n’empêche nullement les gouvernements et les abeilles ouvrières du Parlement et des Médias de vanter ces techniques.
Les sciences, la médecine et la chirurgie actuelles ne sont plus dirigées au sommet par des personnes qui veulent le bien-être et la guérison de tous ; soyez-en assurés. Mais par une caste qui veut générer le maximum de profits et qui veut dans le même temps parvenir à créer des humains OGM après l’avoir fait sur la faune et la flore.
Alors, pouvez-vous imaginer et acceptez-vous que vos enfants, petits-enfants et descendants soient des humanoïdes aseptisés et dépourvus d’âme (ou mêlée à celle d'un cochon ou d'un étranger) sans mémoire chromosomique, avec un code ADN artificiel et qui ne se reproduiront que par l’intermédiaire d’éprouvettes et de semence congelée grâce à des pratiques eugénistes dissimulées sous le sceau d’Hippocrate ? Est-ce cela que souhaitez ?
Un hacker aurait même trouvé le moyen de pirater à distance les pacemakers, et de provoquer des chocs électriques mortels en réécrivant le code informatique... Imaginez les conséquences sur le cerveau ! Medtronic, principal fabricant de stimulateurs neurologiques, conseille d’éviter les portiques de sécurité des aéroports, et prévient que le neurostimulateur peut s’allumer ou s’éteindre lorsqu’il se trouve à proximité de petits aimants permanents, comme ceux des haut-parleurs ou des portes de réfrigérateur.» source Bastamag