« Par ce que nous (juifs) portons en nous un héritage fabuleux qui est le berceau de l’humanité ».
Enrico devrait se cultivationner avant de répondre n'importe quoi !!!! Lui l’homme qui dit aimer soi-disant les enfants de tous les pays, sauf les petits palestiniens, pourquoi est-il aussi autiste et pourquoi ce déni du passé non-juif plusieurs fois millénaire et même antédiluvien ? N'est-ce pas mépriser le reste de l’humanité et cracher sur la véritable origine de celle-ci ? Car, lui préférer un conte merveilleux où le croyant n’a besoin de ne faire aucun effort pour se sublimer, et dans lequel il sera absout de tout, puisqu’il naît déjà élu ou préféré de Dieu, n’est-ce pas le moyen de tout se permettre ? Mais surtout n’est-ce pas le refus de s’élever spirituellement pour rester au stade de mammifère évolué portant en lui la connaissance du bien et du mal ? De ce fait, quand il s’adonne à ce dernier, il peut se le justifier comme étant un acte normal qui lui sera pardonné par Dieu ou lors du Kol Nidre ( annulation de vœux) ?
À l’instar du judaïsme nous retrouvons dans le christianisme le même genre de pardon avec la confession des péchés ; cet acte sera dans le temps substitué par des confessions auriculaires(privées) à l’oreille des prêtres, vers le VIe siècle. le Pape Léon Ier aurait imposé la confession privée à celle publique. Un pardon qui n’a plus rien à voir avec celui que Jésus était venu offrir à tous.
La confession à un prêtre, acte inouï, existait cependant depuis la nuit des temps sans pour autant être partout auriculaire. Mais déjà bien av-JC à Athènes, en Perse et au Tibet des prêtres, des mages et des guides spirituels entendaient la confession. Le péché devient ainsi le moyen de donner le POUVOIR de pardonner à d’autres humains qui se prennent pour Dieu.
L’Église, puis plus tard son bras armée l’Inquisition, démontreront elles aussi que ce genre de dogme, ou de sophisme, établissant indûment la supériorité d‘un groupe, permet d‘actionner des moyens de domination et de répression extrêmes.
Cependant Enrico devrait chercher à connaître la vérité en étudiant l’Histoire (non pas celle académique, car elle est totalement négationniste), mais celle des religions, de l’archéologie, de l'origine des civilisations et celle mythique de son peuple. Il devrait s'interroger au lieu de répéter des phrases en désordre et dénuées de sens comme : « Par ce que nous (juifs) portons en nous un héritage fabuleux qui est le berceau de l’humanité ».
Non Enrico cette religion n'est pas le berceau de l'humanité. Le judaïsme ce n'est pas un pays ou une région, mais une religion, et un héritage culturel n‘est pas une preuve de la Vérité, au même titre une croyance n‘est pas vérité. Une telle confusion est stupéfiante. Mais c'est vrai que c'est plus drôle comme ça. Tout comme il l’est d’entendre dire que le berceau de l'humanité est devenu juif.
Enrico serait donc scié en apprenant que des éons, des millénaires avant l'apparition des juifs la Terre tournait déjà. Même que des centaines de millions de personnes vécurent avant eux, qu'elles vénéraient des Déesses avant les Dieux, que Dieue était une femme, et même sur tous les continents. Et ne serait-il pas syncopé s'il apprenait que des millénaires avant l'apparition des légendaires Noé, Abraham et Moïse d'autres religions les évoquaient déjà sous des appellations différentes ; principalement en Inde et à Sumer ?
Refuser à ce point de s'instruire et, de voir, ne permet pas pour autant de dire publiquement n'importe quoi ou de pareilles conneries. Pourtant les incultes comme lui envahissent les bibliothèques et les médias pour venir donner des leçons quand ils ne sont pas de véritables imposteurs. Et si le judaïsme n'a rien inventé du tout, et que ces concepteurs ont simplement falsifiés des textes empruntés aux religions antérieures, pour les compiler ensuite en livres saints, créant ainsi de toutes pièces une histoire et un peuple élu, chacun a la capacité - et même le devoir - de s’interroger et de chercher où se trouve être l'origine de sa propre religion, mais surtout LA vérité ; et par voie de conséquence les deux autres monothéismes eux aussi. Toutefois, il est évident qu’il est plus plaisant pour certains, plus rassurant, et surtout plus facile de se considérer gratuitement comme étant déjà saint, comme faisant partie d’un peuple élu préféré de Dieu, et de se sentir dès la naissance, et sans efforts, comme étant supérieur au reste de l’humanité.
Cet énorme complexe de supériorité permet tout simplement de clore tous débats, de taire son origine, sa réalité et de masquer ses propres complexes et vices en évitant de se faire face et de faire face aux autres. Sans parler de l'état victimaire redondant qui lui sert à culpabiliser et à diaboliser les autres pour cacher la réalité des faits récents ou passés. Le transfert de culpabilité est un vieux censeur et le moyen d'éviter de se faire face.
Cependant ce sentiment de supériorité totalement acquis, sans fournir aucun efforts, n’est pas le dogme dominant du judaïsme et peut être contraire aux devoirs que les juifs doivent avoir envers leur dieu, qui est aussi celui des chrétiens et des musulmans. C’est dire que peu de croyants connait les Écritures. C’est oublier également que ce dieu voulait qu’ils soient «Sa nation modèle ( c'est raté) en leur promettant un jour, qui n’est pas arrivé, la terre d’Is-ra-ël quand leur messie serait venu » Is = Isis, Râ = Soleil, El = Dieu, soit les deux Principes divins ( féminin, masculin) qui donneront ensuite naissance à l'Enfant, et qui n'ont strictement rien à voir avec les juifs ; c'est la Trinité. C’est oublier aussi que de nombreuses fois la colère de l'Éternel s'enflamma contre Israël (Juges) et sur Sodome et Gomorrhe(Genèse 18:20-21).
Ce - nous, Peuple élu - est sans doute le premier grand racisme. Mais il est principalement le rejet de soi-même en se cachant dans un petit nous pluriel totalement ethnocentrique et ethnocratique, et non universel ou divin, afin de se sentir plus important et éviter d’avoir ainsi à se sublimer pour se diviniser. Un petit nous qui est le contraire du - Nous - qui représente la totalité de la création comme l’incarnait la grande Déesse Serpent Noûs ou Neith, l’Intelligence Divine, Créatrice des mondes( démons) ou de la matière.
Nous pouvons donc dire au sujet des religions, dans leur ensemble, et particulièrement aujourd’hui à propos de celle des juifs, qu’elles imposent depuis toujours un colonialisme religieux, ou une suprématie spirituelle qui se voudrait être de nature divine alors qu‘elle n‘est que bassement humaine ou cléricale.
Il en est de même pour le bouddhisme qui a été une religion excessivement répressive et meurtrière envers les siens ; et qui n’est en rien une philosophie comme certains aiment à le répéter sans en connaître ni sa nature ni son passé. C’est le Dharma, la Parole de Bouddha, qui est une philosophie et qui sera imposée au Tibet par le lamaïsme pour circonscrire la religion primitive Bön. Le chef spirituel des bouddhistes n’a jamais été non plus le Dalaï-lama ( aujourd’hui marionnette dans les mains de la CIA) mais le Panchen-lama, chef spirituel et temporel du Tibet, issu de la lignée Karmapa entre le VIII et le XIIe siécle et qui sera le fondateur de l’ordre des Nyingma, de l’école des bonnets rouges basée sur les anciennes traditions et textes du Bouddhisme trantrique et ésotérique ; ses successeurs reprendront le titre. Le troisième chef spirituel sera désigné lui par un roi mongol, Altan Khan, comme Dalaï-lama seulement au 17e siècle d'après mes sources tibétaines. Wikipédia est un ramassis de mensonges.
L’actuel dalaï-lama, que les Etats-Unis ont poussé à l‘exil en 1959, pour servir leurs intérêts, deviendra le symbole de la résistance Tibétaine face à la Chine Communiste, et ce, après avoir accepté officiellement en 1951 « le Plan en 17 Points » du traité de paix unifiant le Tibet à la République Populaire de Chine ; Trois ans plus tard, le Dalaï-lama sera élu vice-président de l'Assemblée Nationale Populaire de Chine.
Aujourd’hui il n’est que le chef des Tibétains en exil et non celui des bouddhistes du monde entier. La CIA officiellement lui verse 180.000 dollars par an à titre personnel, et 1,7 million de dollars par an pour la mise en place de son réseau international de propagande antichinoise. Sans compter tous les autres aides et dons.
Tout comme nous savons maintenant que les soi-disant preuves de la destruction de milliers de temples, et de celles du génocide tibétain, ont été falsifiées, et que malgré cela le faux chiffre de 1,2 millions de morts fera et fait toujours le tour du monde.
Hathor Wikipédia
Il sera ainsi difficile, voire impossible à des croyants d’admettre qu’ils ont été dupés, comme pour Enrico d’admettre que le judaïsme primitif n’était qu’une micro-religion loco-locale, et ce, même bien après les premiers vrais Hébreux égyptiens, qui d’ailleurs n‘ont jamais été mis en esclavage, pas plus qu’ils ne le furent à Babylone - que David et Salomon n’étaient que des roitelets ou de petits chefs de tribu, si toutefois ils avaient été réels - que l’étoile de David, qui n’est le symbole officiel juif que depuis le Congrès de Bâle, en 1897, est à l’origine un symbole utilisé dans le sous-continent indien dès le début de l'âge du bronze et sur de nombreux continents ; c’est à l’origine l’Étoile de Brahma ( Brahma qui donnera Abraham et Thora est l‘anagramme d’Hathor la déesse vache égyptienne ) - que la diaspora n’est autre que le fait de multiples conversions suite à un prosélytisme ardent, et que c’est le christianisme qui lui donnera la possibilité d'exister vraiment, et non l'inverse.
La filiation royale davidique, d’où doit naître leur messie, grâce à la néo-archéologie, s’écroule elle aussi.
Ce récit mythique, prendra réellement vie à grande échelle, à la naissance du sionisme à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle pour asseoir ses desseins.
Sans l’ampleur mondiale du christianisme le judaïsme serait sans doute mort-né, inconnu ou peu connu. D’ailleurs les dates de la compilation de ses livres font encore débat. Mais si la Kabbale et le Talmud ( non hébreux) sont reconnus comme datant du 8 siècle et 9 siècle, donc bien après la naissance du christianisme, et le Sefer entre 1176-1238, la chronologie exacte du judaïsme reste toujours floue et très incertaine. On peut de ce fait se demander naturellement qui a inventé « QUI » le premier, ou si l’un et l’autre ne sont pas la création d’un même clergé ou d’une même conspiration à partir de Paul (13 apôtre) ou plus tardivement par Constantin.
Puisque l’Histoire, la Science et les Religions ne sont que les Maçons de l’obscurantisme, des messagers méphitiques colportant les mensonges les plus éhontés, et d‘abominables sophismes, qui peut dire qu’elles furent avant JC les premières communautés existantes entre les proto-hébreux ou les proto-chrétiens dans un monde encore totalement païen et mystique ?
Si à ce jour, sans en être certain, le judaïsme ne compte que quelques millions de croyants dans le monde, 13,5 millions, sans compter les crypto-juifs, il est facile d’imaginer qu’il y a plus de deux millénaires il n’était qu’une petite secte et que sans l’arrivée du christianisme, et des milliards de chrétiens qui suivirent, jusqu’à nos jours, sans compter les musulmans, il en serait resté à ce stade.
Il n’y a donc qu’une religion, la judéo-chrétienne ou christo-judaïque qui engendrera l‘Islam. Les trois ne faisant réellement qu‘une, celle du Livre.
Le vrai dindon de la farce est sans conteste le croyant qui ne sait que croire sans jamais chercher à Savoir. - Je crois que le meurtrier est Tartempion ? - Ou - Je sais que le meurtrier est Tartempion ! L’énorme différence entre - Croire - et - Savoir - explique comment l’illusion a pris possession de la Connaissance pour la détruire. « Je crois en Dieu » ne signifie pas « J’ai démontré son existence réelle ». Ce qui est impossible puisque Dieu est un concept qui sert justement à expliquer l’inexplicable dans la spiritualité religieuse et l‘inavouable ; c’est à dire ce qui doit être caché soigneusement aux peuples, soit qu’ils sont eux-mêmes divins et créateurs. Et si ce dieu biblique existait vraiment, en étant le Dieu Unique et Tout-Puissant, Créateur universel, pourquoi tant de religions antiques et récentes ne le reconnaissent-elles pas ?
Or, chacun sait que, contrairement au syncrétisme, la division permet de justifier et de mettre en place guerres et conflits et de créer casus belli sur casus belli tout en opprimant les peuples.
Publiée le 9 sept. 2012 par bobgratton777