En synthèse : Frédéric Mitterrand combat le tourisme sexuel tout en étant un client assidu.
Frédéric Mitterrand, au JT de 20h, a tenté de convaincre le public que son tourisme sexuel ne concernait en rien les jeunes garçons mais uniquement des types quadragénaires aux allures de boxeur. « Un boxeur de 40 ans ne ressemble pas à un mineur, dit-il » De qui se moque-t-on ?
Un mensonge éhonté qui justifie sa démission puisque son livre regorge de passages dans ce chapitre concernant la jeunesse de ses victimes et son goût pour la chaire fraîche.
D’ailleurs chacun sait pourquoi ces touristes voyagent dans ces pays. Les parlementaires et les hommes politiques savent également que le tourisme sexuel qu’ils combattent, "officiellement" ne concerne que la prostitution de jeunes gens et de très très jeunes enfants. Sinon pourquoi lutterions-nous pour éradiquer ce trafic, ce type de prostitution ?
Il est plus simple de comprendre, qu’un type comme Cohn-Bendit, narrant dans un livre ses penchants et ses attouchements sur les enfants d’une crèche prenne la défense de Mitterrand, que d’entendre nos responsables politiques le soutenir publiquement.
Ce constat éclaire d’un spot gigantesque la bassesse de certains intérêts politiques. Ailleurs, dans d'autres démocraties, sa démission serait déjà parvenue sur le bureau du chef du Gouvernement.
Cette affaire montre le manquement aggravé de logique politique, de l'étendard affiché de la morale, avec ostentation, mais qui ne concerne que le peuple, pas ses responsables. En défendant, en justifiant et en applaudissant l’indéfendable, l'opprobre s'abat sur la démocratie. La France qui se targue d’être le parangon de la morale montre son vrai visage - l’Hypocrisie - et sa Justice à deux vitesses.
Voici ici le chapitre concernant le scandale et ci-dessous quelques phrases tirées de son livre qui démontrent son penchant pour les jeunes garçons.
Extraits de son livre « La mauvaise vie » les parenthèses sont de moi : :
Je pose sur ses habits quelques billets défroissés, nettement plus que la juste somme indiquée par le manager du club, ( il pense par refus de penser que l’argent devient le moyen d’expiation de ses péchés, qu’il lave le crime et les souillures indélébiles que ces pauvres jeunes subissent)
Je peux évaluer, imaginer, me raconter des histoires en fonction de chaque garçon ; ils sont là pour ça et moi aussi. ( le respect de l’autre, l’aide fraternelle et désintéressée aux plus démunis a laissé place aux fantasmes débridés ou paraphéliques)
Leur présence fait ressortir la séduction juvénile de tous les autres.
La plupart d'entre eux sont jeunes , beaux, apparemment épargnés par la dévastation qu'on pourrait attendre de leur activité ( il contribuera pourtant à ce qu’elle arrive)
On peut prendre (comme un vulgaire objet) deux garçons, ou même plusieurs, aucune objection puisque la réponse est toujours : I want you happy
La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas. ( stupre et argent régissent sa vie pour faire de la prostitution d‘enfants démunis, un art de vie)
Je n'arrête pas d'y penser mais cela ne m'empêche pas d'y retourner( la volonté de cesser n’existe jamais chez les psychopathes)
Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m'excitent énormément ( les jeunes humains ont été transformés en bestiaux de foire et le colon se montre enfin)