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François Hollande : Sioniste avant-tout et depuis toujours

Publié par Diatala sur 27 Novembre 2013, 13:24pm

Catégories : #Actualités : Antisionisme - Sionisme- Israël-

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Thierry Meyssan
Réseau Voltaire 
François Hollande s'est fait élire président en cultivant les ambiguïtés. Il suffisait pourtant de relire ses déclarations antérieures pour constater son soutien sans faille à l'État d'Israël. Le changement qu'il avait annoncé à ses électeurs n'a pas eu lieu. Ce fut au contraire la continuité avec son prédécesseur. On ne peut que constater que la France a progressivement abandonné sa politique d'indépendance pour se tenir aux côtés des États-Unis et du dernier État colonial.

Certains commentateurs ont expliqué la position française lors des négociations 5+1 avec l'Iran comme dictée par l'Arabie saoudite, ou encore en faisant référence à la judéité de son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius. C'est ignorer que la politique française au Proche-Orient a profondément changé en neuf ans.


Tout a commencé, en 2004, avec la rupture entre Jacques Chirac et Bachar el-Assad. Le président syrien avait promis à son homologue français de favoriser Total lors d'un appel d'offres. Mais, lorsque la proposition française parvint au palais, elle était si désavantageuse pour le pays que le président se ravisa. Furieux, Jacques Chirac rompit avec la Syrie et présenta la résolution 1559 au Conseil de sécurité.

Puis, les Français élirent Nicolas Sarkozy sans savoir qu'il avait été partiellement élevé par un des principaux chefs de la CIA, Frank Wisner Jr. Non content d'avoir été fabriqué par les États-Unis, il s'était découvert des origines juives et avait cultivé ses relations israéliennes. Sa politique internationale était dictée par Washington, mais comme à l'époque il n'y avait pas de différence entre celle d'Israël et celle des États-Unis, il apparut seulement comme faisant bloc avec eux.

François Hollande avait été désigné durant 10 ans comme secrétaire général de son parti en raison de sa médiocrité : ne dirigeant aucun courant et n'étant vassal d'aucun leader, il pouvait tenir la maison en maintenant un équilibre entre les prétendants à l'Élysée. Il s'attacha à ne jamais avoir d'opinion personnelle, à rester le plus transparent possible. De sorte que durant sa campagne électorale présidentielle chacun crut avoir affaire à un homme modéré qui saurait s'entourer de personnalités éprouvées. Ses électeurs en sont les premiers meurtris.

La réalité de François Hollande ne se révéla qu'une fois parvenu à l'Élysée. Expert en politique intérieure, il ne connaît pas grand-chose aux relations internationales. Dans ce domaine, ses convictions lui viennent d'illustres personnalités socialistes.

Ainsi, a t-il placé son investiture sous les auspices de Jules Ferry, théoricien de la colonisation. Dans Le Figaro, son ami, le président israélien Shimon Pérès l'a comparé élogieusement à Léon Blum et à Guy Mollet, bien que celui-ci ne soit plus populaire en France. En 1936, le premier avait proposé de doubler le Royaume-Uni en créant l'État d'Israël au Liban, qui était alors sous mandat français. En 1956, le second tenta de s'emparer du Canal de Suez avec l'aide de l'armée israélienne.

Durant ses dix années à la tête du Parti socialiste, François Hollande a limité ses interventions sur le Proche-Orient, dont voici un bref florilège :
- En 2000, alors que le Sud du Liban est occupé, il prépare avec Bertrand Delanoe le voyage du Premier ministre Lionel Jospin en Palestine. Son discours comprend une condamnation du Hezbollah qu'il assimile à un groupe terroriste.
- En 2001, il exige la démission du géopoliticien Pascal Boniface, coupable d'avoir critiqué dans une note interne le soutien aveugle du Parti à Israël.
- En 2004, il écrit au Conseil supérieur de l'Audiovisuel pour remettre en cause l'autorisation d'émettre donnée à Al-Manar. Il ne cessera ses pressions qu'une fois la chaîne de la Résistance censurée.
- En 2005, il est reçu à huis clos par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). Selon le compte rendu de la réunion, il aurait apporté son soutien à Ariel Sharon et aurait vivement critiqué la politique arabe gaulliste. Il aurait déclaré : « Il y a une tendance qui remonte à loin, ce que l'on appelle la politique arabe de la France et il n'est pas admissible qu'une administration ait une idéologie. Il y a un problème de recrutement au Quai d'Orsay et à l'ENA et ce recrutement devrait être réorganisé ».
- En 2006, il prend position contre le président Ahmadinejad qui a invité à Téhéran des rabbins et des historiens, dont des négationnistes. Il feint d'ignorer le sens du congrès, qui visait à montrer que les Européens avaient substitué la religion de l'Holocauste à leur culture chrétienne. Et, à contre-sens, il explique que le président iranien entend nier le droit des Israéliens à exister et qu'il s'apprête à poursuivre l'Holocauste.
- Il se mobilise pour la libération du soldat israélien Gilad Shalit, au motif que celui-ci dispose de la double nationalité française. Peu importe que le jeune homme ait été fait prisonnier alors qu'il servait dans une armée d'occupation en guerre contre l'Autorité palestinienne, également alliée de la France.
- En 2010, il publie avec Bertrand Delanoe et Bernard-Henri Lévy, une tribune libre dans Le Monde pour s'opposer au boycott des produits israéliens. Selon lui, le boycott serait une punition collective, infligée aussi aux Israéliens qui œuvrent à la paix avec les Palestiniens. Un raisonnement qu'il n'avait pas tenu lors de la campagne similaire contre l'apartheid en Afrique du Sud.
En définitive, avant le rapprochement franco-saoudien, et même avant d'être président, François Hollande avait déjà exprimé son soutien à l'État colonial israélien. Et il avait déjà condamné l'Axe de la Résistance (Iran, Syrie, Hezbollah). La vérité est donc inverse : appliquant l'Accord du Quincy, l'Arabie saoudite s'est rapprochée de la France en raison de sa politique pro-israélienne.

La politique du Parti socialiste en général et de François Hollande en particulier trouve ses racines dans le colonialisme du XIXe siècle, dont Jules Ferry fut un héraut et Theodor Herzl un promoteur. Aujourd'hui, les sionistes du parti se sont regroupés à l'initiative de Dominique Strauss-Kahn au sein du discret et puissant Cercle Léon Blum... dont le président d'honneur, Jean-Marc Ayrault, est devenu Premier ministre de François Hollande.

Un richissime producteur d'Hollywood confesse avoir été un agent secret d'Israël
 
Quand la réalité dépasse la fiction. Arnon Milchan, acteur influent de la production cinématographique américaine depuis une trentaine d'années, reconnaît avoir été un marchand d'armes et un trafiquant de l'industrie nucléaire au service de l'Etat d'Israël.

Encore une théorie du complot qui s'avère finalement corroborée par les faits. Auparavant, il était de bon ton de brocarder quiconque émettait l'hypothèse d'une connexion secrète entre le monde de l'art et les services secrets. Alors que nous savons que la CIA a infiltré les milieux culturels européens pendant la guerre froide, il demeurait jusqu'alors plus délicat d'affirmer la même chose à propos de ses homologues israéliens sur le terrain artistique des deux côtés de l'Atlantique.

Ironie du sort, c'est la télévision israélienne qui confirme ce secret de polichinelle. Ce lundi soir, un programme d'investigation journalistique va diffuser l'enquête réalisée par la journaliste Ilana Dayan à propos du producteur Arnon Milchan. Cet Israélo-Monégasque a confessé, pour la première fois et face caméra, ce qui circulait à son sujet depuis des années : avoir militairement servi Israël à travers sa couverture professionnelle de producteur d'Hollywood.

En 2011, une biographie parue à New York avait déjà soutenu la thèse faisant de Milchan un agent secret déguisé en pygmalion du cinéma.

Un an auparavant, le magazine Forbes consacra un reportage vidéo à sa prestigieuse collection de tableaux valant des centaines de millions de dollars. Sans la moindre allusion à ses activités parallèles.

Peu connu du grand public mais familier des professionnels du cinéma américain et européen, on lui doit notamment les films suivants : Pretty Woman, Fight Club, Brazil, La valse des pantins de Martin Scorsese, Il était une fois en Amérique de Sergio Leone, Heat, L.A. Confidential, La Guerre des Rose, Mr & Mrs Smith et bien d'autres superproductions (sans oublier la série Sauvez Willy). C'est un site spécialisé, The Hollywood Reporter, qui révéla, vendredi dernier, la prochaine divulgation de cette information par la télévision israélienne. La journaliste de la chaîne Keshet expliqua au Hollywood Reporter avoir été "surprise" par l'acceptation de Milchan à témoigner sur un sujet qu'il a longtemps démenti : son implication dans le trafic d'armes et de secrets technologiques nucléaires au profit de Tel-Aviv.

L'homme âgé de 68 ans a été recruté, dès les années 60, par Shimon Peres (alors au ministère de la Défense, aujourd'hui président de l'Etat d'Israël) pour servir d'agent de liaison au sein du Lakam, le bureau de l'espionnage scientifique. En 1985, cette officine méconnue (en comparaison du Mossad) fut au coeur du scandale de l'affaire Jonathan Pollard, du nom de cet analyste américain du renseignement naval qui délivra des informations secret-défense aux espions israéliens.

En 1975, Milchan porta d'abord son intérêt sur la France en achetant, sur les conseils du publicitaire Jacques Séguela, 50% de Citeca Productions. Son premier film sera porté à l'écran par la présence de Lino Ventura. Les acteurs de l'industrie cinématographique hexagonale lui rendront hommage en 1996 à travers une soirée spéciale organisée par le Festival de Deauville. Une interview francophone de l'intéressé à cette occasion est visible sur le site de l'INA.

Trente ans auparavant, en 1967, Milchan se rendait au Salon de l'Air de Paris pour entamer une fructueuse relation d'affaires parallèle avec Raytheon, sous-traitant de l'armée américaine. Comme le développe l'historien Yvonnick Denoël dans son livre Les Guerres secrètes du Mossad, paru en 2012, "Milchan devenait le banquier occulte des grosses opérations secrètes du renseignement israélien à l'étranger : non seulement celles du Lakam mais aussi parfois celles du Mossad". En 1965, le jeune Arnon venait de reprendre la direction d'une entreprise de fertilisants à la suite de la mort de son père. C'est alors qu'il découvrit que la petite compagnie familiale servait de couverture à une filière d'import-export en armement. Moshe Dayan, alors ministre de la Défense, et son adjoint Shimon Peres devinrent rapidement ses parrains et tuteurs en la matière.

Dans le documentaire diffusé ce soir, Milchan raconte avoir été "fier"de servir son pays et regrette d'avoir eu à nier ses activités auprès de ses collègues d'Hollywood. Outre Ben Affleck (réalisateur du film anti-iranien Argo qui fut interrogé pour l'émission en raison de sa proximité avec Milchan), l'un d'entre eux est devenu son ami : Robert de Niro apparaît également dans l'enquête de Dayan et explique avoir été, quant à lui, informé de la double vie du producteur.

Comme l'avait récemment révélé Panamza, c'est également cet acteur, aujourd'hui à l'affiche du film Malavita de Luc Besson, qui affirma à Tel-Aviv "respecter l'agressivité nécessaire des Israéliens".

L'Administration Reagan connaissaît les activités illicites de Milchan, réalisées depuis le sol américain, mais avait choisi d'abandonner toute poursuite judiciaire à son encontre.

Un autre aspect de la double vie de Milchan ne sera probablement pas abordé par le documentaire prévu ce soir : son implication dans la propagande israélienne relative aux attentats du 11 septembre 2001 et effectuée en amont comme en aval.

Voici ce que rapportait, dès février 2013, l'auteur de ces lignes, dans son ouvrage Israël et le 11-Septembre: le grand tabou, à son propos.
En mars 2001, la chaîne Fox avait diffusé le premier épisode d'une série intitulée The Lone Gunmen. Une séquence de cet épisode, rédigé par le scénariste Frank Spotnitz et tourné au printemps 2000, illustre l'arrivée d'un avion commercial contre une tour du World Trade Center, piloté à distance par une faction désireuse de provoquer une guerre au Moyen-Orient.

Depuis 1998, la chaîne Fox avait conclu - pour renouveler ses fictions - un accord avec la compagnie New Regency Productions, dirigée par Arnon Milchan. Richissime producteur d'Hollywood (The Medusa Touch, Brazil, JFK, Fight Club), cet Israélo-Monégasque francophile et francophone, proche de Shimon Peres, est également un ancien trafiquant d'armes et un (ex ?) agent secret au service de la force nucléaire de l'État hébreu. De même que Rupert Murdoch, propriétaire ultra-sioniste du groupe Fox, et Ronald Lauder, responsable de la privatisation du World Trade Center, Arnon Milchan figure parmi les donateurs des campagnes électorales de Benyamin Netanyahu.
Pour l'anecdote : Milchan collabore également avec Lauder (par ailleurs mécène -décoré par François Hollande- des services secrets israéliens) en tant que co-actionnaire d'une chaîne de télévision basée à Tel-Aviv. L'autre homme présent dans le capital du média se nomme Yossi Meiman, un ancien du Mossad devenu président du groupe Merhav (spécialisé dans les pipelines et grand bénéficiaire de la guerre d'Afghanistan).

Enfin, le documentaire (qui révèle, par ailleurs, que le célèbre réalisateur Sydney Pollack a facilité l'armement souterrain d'Israël) ne devrait pas s'intéresser à la participation de Milchan dans la production d'un film hautement politisé dénommé JFK. Réalisé en 1992 par Oliver Stone, cette oeuvre cinématographique appuie la thèse d'une conspiration impliquant la CIA, le vice-président Lyndon Johnson, la mafia et les anticastristes dans l'assassinat de Kennedy. Chose amusante : le film, d'une durée de 3 heures, passe en revue tous les pays/groupes/individus ayant nourri de l'hostilité envers le président américain. Tous sauf un: l'ex-Premier ministre d'Israël, David Ben Gourion, qui s'opposa violemment au refus de Kennedy de consolider l'armement nucléaire du jeune Etat hébreu. Trente ans après son assassinat, un film coproduit par un agent secret israélien a donc fait en sorte de détourner l'attention du grand public sur l'animosité viscérale et méconnue des faucons d'Israël à l'encontre de JFK. Une simple coïncidence, probablement
 

Une ex-soldate israélienne admet avoir tué beaucoup d'enfants palestiniens
CAPJPO-EuroPalestine
C'est apparemment sans remord qu'Elena Zakusilo a expliqué à la télévision ukrainienne avoir tué des Palestiniens, dont de nombreux enfants et avoir entraîné des chiens à attaquer des Palestiniens dans leurs villages.

Interviewée par la télévision ukrainienne, le 4 novembre dernier, à l'occasion de l'émission « Détecteur de mensonges », cette femme a admis avoir tiré sur un nombre incalculable de Palestiniens, dont des enfants lors de son service au sein de l'armée israélienne, et notamment lors des manifestations qui ont suivi la mort de Yasser Arafat en 2004.

Elle s'est justifiée en disant que tout cela était « la faute des mères palestiniennes qui envoient leurs enfants âgés de 3 ou 4 ans jeter des coktails molotov et ne se soucient pas de la vie de leurs enfants » (sic !)

Elle a aussi expliqué qu'elle entraînait des chiens de l'armée à mener des « raids sur des villages palestiniens et à attaquer les Palestiniens qu'ils croisaient, avant l'arrivée des soldats »

« Nous avons les moyens de télécommander ces chiens à une distance allant jusqu'à 10 kms », a-t-elle précisé, en ajoutant qu'elle avait « formé à cela 150 chiens. »

Cette charmante personne s'est dite prête à retourner en Israël « pour continuer à tuer des ennemis », notamment « si elle rencontrait des difficultés financières en Ukraine » !!

Source et vidéo : http://www.maannews.net/eng/ViewDet...
 
     
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