Il ne suffit pas de jouer au prolétaire pour faire croire que l’on agit pour le Peuple et en faveur des intérêts de la France ! La preuve, puisque Giscard a endossé ce rôle pour l’acte final du thriller qui avait été scénarisé et produit par ses amis de la Finance, principalement les Rothschild.
C’est vrai, nous pouvons dire que VGE a brillamment interprété Iago, et qu’il a été un bon accordéoniste qui a plié la France avec dextérité et comprimé son souffle vital pour sonner ensuite le glas qui annonçait mezza voce la mort de Sa souveraineté monétaire.
Depuis, Feue la France gît sous le poids de la dette et est enterrée dans la masse de ses intérêts, avec cette épitaphe : « Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu. » Rothschild.
VGE, qui est un invité récurrent de la chaîne de perroquets dominés, Canal +, était encore présent sur son plateau hier pour nous interpréter une énième fois son personnage favori.
N’est pas Iago qui veut, ni bon laquais ! C’est vrai. Mais le nôtre, même à son âge avancé, aime retrouver sa nature intrinsèque. Ainsi, dans une autre tirade au profond accent de trahison, il nous demande de rester bien gentiment sous l‘épée de Damoclès de ses amis en attendant que celle-ci vienne nous sectionner le peu de liberté qui nous reste.
Papy fait donc de la résistance contre son propre pays qu’il ne souhaite nullement souverain.
Et demain, s’il devait soutenir les réformes édictées par la Finance, à un gouvernement socialiste du genre hollandiste, il le ferait.
Nathan Rothschild : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait ses lois ».
Ainsi une dinde pourrait être élue présidente de la République puisque sa farce nous fera, comme auparavant, de toutes les façons marron.
Nul désespoir malgré tout à ressentir : une inscription s’efface et le phœnix renaît toujours de ses cendres. La France a été brûlée et consumée par la Finance à la chaleur sulfureuse du mondialisme, d’accord, mais son énergie la ressuscitera. La relève n’a pas dit son dernier mot, voyez avec cette lettre…
Chers anciens,
Moi qui n’ai que 22 ans, voilà plusieurs années que j’ai commencé à m’intéresser à ce qui se passe dans ce pays que j’aime. Je suis donc remonté dans le passé pour comprendre, et quelle ne fut pas mon horreur de découvrir que notre déchéance ne remonte pas à si loin.
Où étiez vous ce mercredi 3 janvier, quand les traîtres décidaient de notre sort ? Que faisiez vous en ce début d’année 1973 quand nos élites enterraient le droit régalien de notre État au profit des banques privées ? Que n’êtes vous pas descendus dans la rue quand VGE écrivait les premières lignes d’un roman catastrophe ?
Sûrement ne saviez-vous pas, chers anciens, que cette loi nous plongerait dans une telle situation. Sûrement ne compreniez-vous pas de quoi il s’agissait réellement, et dans cette euphorie post Saint Sylvestre, sans doute n’avez-vous même pas entendu parler de cette loi avant qu’il ne soit trop tard. Peut-être n’aviez-vous pas l’instruction pour comprendre.
Je ne commettrai pas la même erreur, chers anciens, de ne pas m’intéresser aux mécanismes de ce monde. Le savoir est la première des armes, et l’instruction la première des résistances. Je vous le dis, chers anciens, je combattrai l’ignorance, et j’essayerai de gagner à ma cause mes proches qui volontairement ou non restent dans cette ignorance.
Je ne vous en veux pas, chers anciens, de votre inaction. Vous aviez sans doute bien des raisons de ne pas agir. Ne culpabilisez pas, la nouvelle génération ne fera pas les mêmes erreurs, vous pouvez reposer en paix.
Avec tout mon amour,
source E&R