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Euthanasie : Connaissez-vous les risques et dérives derrière une telle loi ?

Publié par Diatala sur 18 Décembre 2013, 11:27am

Catégories : #Alerte : Eugénisme- GPA-PMA-Mutilation- Euthanasie

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Euthanasie : Connaissez-vous les risques et dérives derrière une telle loi ?
 
Depuis toujours la race humaine s’est battue pour vivre et pour survivre mais jamais pour mourir. Cette demande de loi est donc suspecte. Car, bien au contraire, tout est fait pour que l'éternité soit accessible ici-bas ou pour recouvrer une longévité contrôlée par régénérescence spontanée. 
Chacun remarquera aussi que le terme « suicide-assisté » est le plus souvent possible employé puisque le mot euthanasie évoque l’eugénisme, soit la sélection de la race et l'élimination des plus faibles. Or, dans les plus forts, il existe encore les plus faibles des plus forts, et ainsi de suite.    
 
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En premier relatons l’histoire de ce couple d’octogénaires [1] qui s’est suicidé dans un palace parisien, le Lutetia, qui appartient au groupe ALROV (groupe israélien) depuis juin 2010 [2], et qui reste étrange. Ce fait arrive bizarrement juste avant le grand débat éthique sur ce sujet délicat et brûlant puisqu'il touche au pouvoir de vie et de mort sur ses propres congénères. Ce qui est similaire à la sentence de la peine de mort.
Il est encore plus étrange que ce couple ait fait le choix de la longue asphyxie barbare en se mettant un sac plastic sur la tête plutôt que de s’endormir sereinement avec des somnifères. Pourquoi cette horrible et consciente souffrance alors qu'ils voulaient soi-disant absolument l'éviter ? C'est d'un non-sens absolu.
 
Bien évidemment leur but, hormis d’avoir peur de la dépendance et d’être séparés, aurait été de faire voter la loi sur l’euthanasie en laissant une lettre au procureur de la République.
Georgette aurait laissé une autre lettre à son fils dans laquelle elle lui dit ceci : « de poursuivre le combat et de se substituer à elle pour attaquer l'État. ». Rien que ça !.
Se suicider en parfaite santé, et par anticipation d’une hypothétique dépendance qui ne serait peut-être jamais survenue, est déjà très singulier, et quand on sait que si l’un part, l’autre peut se suicider juste après, cela dérange également dans la compréhension de cet acte.  
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Les Verts montent donc au créneau pour faire voter la loi sur l’euthanasie. Pour cela ils envoient la porte-parole d’EELV, Sandrine Rousseau, qui doit faire pleurer dans les chaumières lorsqu’elle raconte le cancer de sa mère à tous les micros et à toutes les caméras qui sont bien évidemment plus électrisés que les speakers.
Un cancer tenace qui aurait duré 26 ans ; dit-elle. C’est déjà une première. Ensuite elle nous narre le suicide de sa mère qui est décédée chez elle entourée des siens et non d’étrangers qui seraient venus lui injecter la solution finale où dans une sinistre et impersonnelle chambre d‘hôpital comme elle l'aurait ardemment souhaité : "Elle, mon père et moi, nous aurions tous aimé que cela se passe à l'hôpital, paisiblement [...]" [3].
Ce qui est encore plus singulier est que cette femme qui est hors la loi, pour non-assistance à personne en danger, se pavane sur tous les plateaux comme une héroïne.
Comme quoi, c’est certain, le bien-être et la dignité ne sont pas les mêmes pour tous, ni même la loi [4].
 
Sandrine Rousseau demande donc une loi légalisant le suicide assisté. Décidemment même le suicide, qui est un choix, doit lui aussi être assisté. Pour avaler des somnifères faut-il être pris en charge et l’assistanat doit-il se généraliser dans notre vie la plus intime et que tout soit sous contrôle de l'Etat ?
Mais où vont-ils s’arrêter ? Devrons-nous être assistés pour choisir la couleur de son slip ? On peut vraiment se le demander car cette ingérence de l’Etat dans l’intime et à la place de notre conscience devient de plus en plus obscène et totalitaire.  
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Tout d’abord cette femme, qui dit se battre pour sauver la Nature, se bat également pour tuer la Vie, ce qui est un paradoxe à retenir et qui démontre le peu de sérieux des écolos. Pour cela elle fait de son histoire une généralité et insinue que tout le monde sera d‘accord avec elle sous prétexte qu‘elle évoque la mort de sa mère.
Or, ce qui est honteux, est de tenter de culpabiliser le public et d’effrayer la jeunesse en lui faisant croire que toutes les fins de vie sont douloureuses et horribles alors que c‘est très loin d‘être le cas ; et heureusement.
De ce Pathos télévisuel et médiatique elle souhaite donc en faire - LE - drame qui va éveiller la conscience de ceux qui pensent qu’un médecin donne la vie, la protège et qu’il devient un criminel quand il l’a retire de manière délibérée. Hippocrate doit se retourner dans sa tombe.
 
Mais qui veut absolument mourir dans un hôpital ? Personne. N’est-ce pas cynique et terriblement indigne comme endroit quand les circonstances le permettent et que nous pouvons avoir le choix  ?
Veulent-ils aussi créer un nouveau métier qui serait « Tueur ou Tueuse professionnel à domicile ? ». Bien sûr payé par les contribuables.
Une question se pose : Le suicide-assisté serait-il pris en charge par la SS ? Ce qui serait un comble.
 
Le suicide existe depuis la nuit des temps et quand la vie devient insupportable suite à des douleurs extrêmes, et aujourd’hui à cause de très longs traitements et acharnements thérapeutiques, certains font ce choix, et personne ne peut le condamner. Que veulent alors ces gens ? Ils veulent simplement le faire pratiquer par autrui et qu'il soit réglementé.
D‘ailleurs - assisté ou non-assisté - le procédé et la fin sont identiques, alors pourquoi vouloir légiférer. La question se pose.
Chacun sait que les prescripteurs d'ordonnance donnent sans aucune difficulté une liste de courses avec les psychotropes que vous demandez. Il suffit de dire que vous dormez mal, que vous avez des soucis ou que vous êtes un peu dépressif et le tour est joué. Vous avez votre kit de suicide remboursé par la SS.  
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Mais surtout - la peur d’avoir peur de souffrir - doit-elle engendrer une loi qui ouvre la porte à tous les abus qui existent déjà sans elle ? Des crimes seraient du coup dépénalisés si le dossier est bien monté.    
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Ce qui est également très grave, mais aussi pervers, est de mettre sur le même plan la souffrance psychique et celle physique qui doivent rester séparer.
Un enfant, des ados, des trentenaires peuvent être en parfaite santé ou malades et souffrir temporairement psychiquement et non physiquement.
Ce qui voudrait dire que si une personne se trouve dans cet état de souffrance psychique passager, et qu'elle demande à être euthanasiée, elle le serait. C’est très grave car combien de personnes sont passées par cette envie de mourir avant de recouvrer l‘envie de vivre.
Sans oublier que la Belgique demande l'euthanasie des enfants sans limite d'âge [5]. C'est vrai que les pédophiles ont tout intérêt à ce que leurs victimes puissent être suicidées légalement si elles se mettent à les dénoncer. Mais l'euthanasie sur le nouveau-né est elle aussi déjà sortie des cartons [6]. Si votre enfant n'est pas aux normes en vigueur à la naissance, sachez qu'il est déjà souvent euthanasié à votre insu, et dans ce cas il le serait légalement. Ce qui veut dire que l'erreur de diagnostic prénatal et la possibilité ensuite d'une totale rémission sont totalement exclues. Cet acharnement à vouloir tuer est STUPEFIANT. 
 
La dépénalisation de l’euthanasie ne servirait ainsi qu’à augmenter ces abus au nom d’une pseudo dignité comme ces infirmières et ces médecins le font quand ils décident de manière totalement arbitraire et criminelle de tuer une personne âgée qui est en bonne santé et qui a pour seul handicap son âge ou d'être encombrante et parfois riche.

L'actualité le confirme régulièrement et encore cette semaine avec cette infirmière qui vient d'empoisonner depuis le mois d'octobre 9 personnes octogénaires en bonne santé. Six personnes vont être tuées et trois s'en sortiront. Une véritable hécatombe

[Y] [7] [7bis].
 
On peut aussi se demander si ces gens, ceux qui veulent faire appliquer cette loi, ne sont pas eux-mêmes le problème en ayant peur de leur propre hypothétique souffrance et de leur mort à venir. Ainsi, en faisant partager aux autres leurs angoisses, cela serait un moyen de les apaiser. Ce qui serait chez eux une psychose ou une névrose qui deviendrait ensuite, à cause d'eux, collective.  
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Mais le pire est que cette loi accompagnerait celle sur les internements privés [8]. Ce qui amènerait n’importe qui à faire hospitaliser ou à faire interner en HP une personne qui entrave ses objectifs ou qui risque de lui porter atteinte ou de révéler des comportements criminels. Ensuite, évidemment, il ne serait pas difficile de prétendre que sa souffrance l’a conduite à demander de mourir dignement. La Solution Finale deviendrait légale pour se débarrasser des gêneurs.
La même perversité pourrait se retrouver chez un couple quand l’un souhaite se débarrasser de l’autre.
 
Pensez à toutes ces dérives qui feraient peut-être de vous, de vos parents ou de votre enfant un jour une victime. Ce qui est déjà arrivé. Ce qui pose les questions suivantes : Pourquoi ces dérives s'arrêteraient-elles avec une loi et pourquoi cette loi ne pousserait-elle pas certains esprits dérangés ou volontairement pervers à en abuser ? Quelle assurance existerait-il pour éviter ces crimes malgré la loi ? Strictement aucune.  
 
Toutefois ce qui est très suspect est que la loi Léonetti est déjà faite pour répondre à ces demandes puisque l‘augmentation de morphine, ou d’un autre produit, va faire mourir sans souffrance et rapidement la personne. Les fins de vie pénibles se passent déjà ainsi.
Certes, tout ceci est donc hypocrite. Néanmoins cette loi est protectrice car elle permet la criminalisation des actes abusifs et surtout de leurs auteurs puisqu'il n‘est pas difficile de supprimer quelqu‘un en augmentant la mort-fine ou en l’introduisant dans la perfusion. Si aucune autopsie n’est réclamée, c’est ni vu ni connu.
Alors pourquoi légiférer si ce n’est encore pour couvrir des actes malveillants et protéger des criminels ? Sincèrement ?
 
La seconde chose très suspecte est que 82% des sondés, et non des Français, seraient dit-on favorables à cette loi. Ce qui ne veut rien dire car en réalité il n’est question que d’un panel de 800 ou de 1000 personnes qui est interrogé sans que nous n’ayons jamais connaissance ni du milieu professionnel ou/et associatif auquel il appartient et encore moins de l'ensemble et du contexte des questions. Ce sondage n'a donc pas plus de valeur que celui qui place Nicolas Sarkozy le mieux placé pour 2017.
 

Ce n’est pas une loi sur l’euthanasie qu’il faut mettre en place, mais redécouvrir ses propres lois biologiques et psychiques

 

 
[1]couple suicidé d’octogénaires 
[2] Lutetia
[3] Sandrine Rousseau 
[4] non-assistance à personne en danger 
[5] l'euthanasie des enfants sans limite d'âge
[6] l'euthanasie des nouveau-nés 
[Y]
[7] l'euthanasie par infirmière
[7bis]  documentaire exceptionnel sur les dérives de l'euthanasie en Belgique et aux Pays-Bas
[8] Internement forcé 
 
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