Eugénisme : Conor Levy le premier bébé reconnu officiellement génétiquement pur, parfait.
Voilà nous y sommes ! Il ne reste plus qu'à faire admettre aux crédules et aux homos que cette technique est un progès et une chance.
Il faudra maintenant que certains cessent aussi de critiquer définitivement Hitler pour ses travaux eugénistes de recherche de Race pure. Logique. Et les expériences, les échecs, donc les cobayes, ont certainement été nombreux pour stabiliser le procédé actuel.
Cet enfant sera sans doute d'ailleurs considéré comme le nouvel Adam, voire comme le messie juif pour continuer d'alimenter la fable biblique christiano-juive. Il est aussi de toutes évidences stérile.
Il est n'est le né le 18/5/2013. Le 18 donne 9 et la somme de la date 11
Toutefois rien ne dit que cette nouvelle race sera viable après avoir été congelée, décongelée, recongelée et manipulée génétiquement. De plus quand nous savons que les gènes, qui encodent l'information, continuront de toutes les façons à le faire, l'arnaque est phénoménale. Ce qui veut dire qu'ils développeront en fonction de leur environnement, éducation et croyances d'autres maladies ou de nouvelles maladies.
Le Point.fr - Publié le 30/07/2013 à 15:58
Une nouvelle technologie de séquençage du génome pourrait nettement réduire les maladies génétiques chez les bébés nés de fécondation in vitro.
Le petit Connor Levy, né le 18 mai dernier à Philadelphie (États-Unis), est le premier bébé à avoir vu le jour grâce à une nouvelle technologie de fécondation in vitro (FIV), né après que ses parents eurent passé en revue son génome complet.
La nouvelle méthode, qui utilise une technique de séquençage de l’ADN de pointe, permet aux futurs parents de choisir l’embryon qui présente le moins de risques d’anomalies génétiques. Les tests ont déterminé que seul trois des treize embryons avaient un nombre correct de chromosomes. Un de ces trois embryons a donc été implanté dans l’utérus de Marybeth, donnant naissance au premier bébé « génétiquement parfait ».
Au vu des taux d’échec extrêmement élevés des FIV (80 % des implantations d’embryons se terminent par une fausse couche), la tentation de passer en revue le génome du futur enfant est grande, d’autant plus qu’une bonne partie des échecs sont liés à des anomalies chromosomiques. C’est pourquoi la nouvelle technique de dépistage génétique développée par l’université britannique peut potentiellement bouleverser la fécondation in vitro. En à peine 24 heures – grâce à une recherche embryonnaire accélérée -, les embryons en meilleure santé sont sélectionnés, permettant d’accroitre considérablement les chances de réussite tout en limitant les coûts.
La revue des génomes n’est pas nouvelle, mais jusqu’ici, on se contentait d’un examen visuel approximatif. Si l’équipe de l’université d’Oxford n’a recherché que les anomalies chromosomiques les plus connues (trisomie 21, syndrome de Turner…), rien ne l’empêche, dans les faits, de choisir le futur bébé en fonction de la couleur de ses yeux ou du risque de développer à l’âge adulte la maladie d’Alzheimer. Cette dérive est interdite et contrôlée en Grande-Bretagne, mais le chercheur Dagan Wells, à l’origine de cette avancée scientifique, soulève déjà les risques potentiels de la pratique : « Il y a donc une possibilité de chercher une quantité d’informations sans précédent sur l’embryon avant son transfert dans l’utérus. Nous devons prendre garde à ce que ce ne soit pas utilisé pour des raisons triviales, non-médicales. » explique-t-il dans un communiqué.
Cette nouvelle technique fait écho aux questions éthiques qui se posent de plus en plus dans la communauté scientifique sur la recherche de l’embryon. Un débat d’autant plus présent depuis l’autorisation récente, en France, de la recherche sur les cellules souches embryonnaires.
REGARDEZ notre reportage à l'hôpital Saint-Louis, qui pratique la recherche sur l'embryon