
Il ne faut pas avoir honte pour sortir une telle connerie ! Je suis allée au Tibet il y a deux ans, et je suis montée à 5400 mètres. Je peux vous assurez que jamais je n’avais respiré un air aussi rare, c'est vrai, mais surtout aussi pur, et ce, aussi bien en altitude que sur les grands plateaux tibétains où que dans des villes à 4000 mètres d‘altitude ou moins. Je peux dire que les nuages sont tout aussi rares. Souvent le ciel est pratiquement toujours d’un bleu magnifique sans un seul nuage, c'est même incroyable. Dans les vallées il n‘y a aucune source de pollution industrielle, les premières grandes usines sont à des milliers de kilomètres et la hauteur de la chaîne himalayenne sert de barrière naturelle.
Il en est de même de la soi-disant pollution de Pékin. La vérité est qu'à certaines périodes de l'année il y a de violentes tempêtes de sable venant du désert Gobi, au nord/ouest, qui obscurcissent le ciel et qui se propagent sur des milliers de kilomètres jusqu'au Japon. Les reportages eux vous parlent de pollution anthropique en cachant ce phénomène naturel. De plus la Chine fait énormément d'efforts dans le domaine des énergies non polluantes et est à ce niveau de 10 ans en avance sur l'Occident.
5400 mètres face à l'Everest
Certes, parfois et en fonction de la période, il y a une masse nuageuse, comme sur cette photo, mais elle est d‘une couleur tout à fait normale. Quoi d’anormal alors ? Rien. De plus la Chine a dix ans d’avance sur l’Occident en matière d’énergie non polluante, même si les grandes villes restent encore touchées par la pollution de leurs usines. Des usines qui produisent pour nous, ne l’oublions pas.
De plus je connais des tibétains et des népalais et je peux vous assurer qu’aucun d’eux ne cautionnera une telle absurdité ou contre-vérité.
Big Pharma invente de fausses maladies pour fourguer ses merdes, la Finance créée de crises pour s’enrichir d‘avantage en nous ruinant, l’Armée invente de toutes pièces des ennemis pour faire tourner l’énorme complexe militaro-industriel et piller les nations, le complexe agro-chimique lui invente des semences artificielles et des pesticides pour s’emparer par la force de ce marché tout en polluant nos eaux et en tuant la terre et ses biotopes, et des climatologues inventent un réchauffement anthropique pour culpabiliser les consommateurs, leur faire peur, justifier de nouvelles taxes et impôts, des restrictions d’énergie et une envolée des cours en s‘ouvrant un gigantesque marché.
Pourtant les ressources énergétiques et vitales (comme l’eau) devraient être gratuites pour tous puisqu’elles n’appartiennent à personne et qu’elles nous sont offertes par la Terre. Rien ne peut donc justifier leur privatisation, leurs spéculations et encore moins qu’elles génèrent d’énormes profits qui sont ensuite redistribués seulement à quelques-uns quand nous nous voyons nos factures sans cesse augmenter.
Ce réchauffement anthropique, qui ferait suite à un petit siècle de forte activité industrielle, principalement en Occident d‘ailleurs, n’est donc qu’une arnaque monumentale. Une de plus qui a été instrumentalisée par des voyous et les dits experts du GIEC. Mais il faut bien justifier de la fonte de la banquise. Une opération artificielle qui a été initié pour atteindre les richesses minières et énergétiques qui se cachent dans ses abysses.
Al Gore avait tourné lui aussi un documentaire aussi alarmiste, catastrophique et mensonger que celui-ci, alors qu’il est un des contribuables américains qui à la note d’électricité mensuelle la plus élevée des USA ou du monde. Rigolo non ? ! Mais cela ne l’avait pas empêché de sermonner la terre entière en lui demandant de se priver quand, lui s’en foutait ! Mais heureusement depuis il faut savoir que d’anciens scientifiques de la NASA, des vétérans de l'espace et des milliers de scientifiques honnêtes, donc non stipendiés, contestent ce réchauffement climatique.
Source : Maxisciences
La réalisatrice Agnès Moreau a décidé de révéler un phénomène peu connu mais doté d'un impact considérable. Poussée par les vents, la pollution atmosphérique s'accumule aux sommets des glaciers et forme des nuages bruns à des milliers de kilomètres d'altitude. Un phénomène décrypté dans le documentaire "Un nuage sur le toit du monde" que Maxisciencesa pu découvrir en avant-première.
"Qui pourrait croire que l'air à 5.000 mètres d'altitude n'est pas le plus pur ? Que les neiges ne sont pas les blanches. Peu de gens, et pourtant..." C'est le sujet préoccupant qu'a choisi de mettre en lumière la réalisatrice Agnès Moreau dans son documentaire "Un nuage sur le toit du monde". A des milliers de kilomètres d'altitude, les glaciers des chaines himalayennes sont masqués par d'épais nuages bruns, des ABC pour Atmospheric Brown Clouds. Loin de pouvoir être confondus avec nos nuages de coton, ces étendues brumeuses sont en fait chargées de particules polluantes à des concentrations extrêmement élevées.
Ozone, particules fines et surtout carbone noir sont arrivés là poussés par les vents des vallées et continuent de voyager au gré des courants atmosphériques sur des kilomètres et des kilomètres. Des vents qui amènent ces polluants jusqu'au toit du monde, l'Everest situé à la frontière entre le Népal et la Chine. Ce phénomène a été révélé en 2008 lorsque des chercheurs ont fait part des résultats de mesures atmosphériques réalisées à plus de 5.000 mètres d'altitude, au pied de la montagne. Celles-ci indiquaient un constat simple mais tout sauf rassurant : "L'air de l'Himalaya est aussi pollué que celui des villes d'Europe".
Après la découverte d'un gigantesque nuage de pollution, une équipe de scientifiques italiens et français ont ainsi décidé de partir sur place pour en apprendre plus sur les concentrations surprenantes de polluants dans ces contrées censées être vierges et qui constituent encore des terres inconnues. C'est cette équipe qu'Agnès Moreau a suivi jusqu'au pied de l'Everest dans une pyramide de verre, la première station atmosphérique construite dans la région en 2006. Dans ce laboratoire, les chercheurs effectuent de multiples mesures sur la composition de l'air. Des données qui sont transmises et analysées par différentes équipes à travers le monde.
Des changements climatiques liés à la pollution ?
Outre cette étude, l'équipe mène également une enquête détaillée auprès de la population vivant à proximité des montagnes. Ils demandent ainsi aux habitants pour la plupart âgés, s'ils ont constaté des changements dans la fréquence des pluies, de la neige, de l'intensité de la mousson au cours des dernières années. Des questions dont les réponses sont sans équivoque. Oui, il y a eu du changement. En effet, comme l'expliquent plusieurs chercheurs dans le documentaire, le carbone noir impacte le climat local en favorisant le réchauffement et en augmentant la fonte des glaces.
La preuve en images : à 2.000 mètres d'altitude, des habitants cultivent aujourd'hui des citrons et des bananes... Tandis que les conséquences de cette pollution semblent déjà à un stade avancé, leur étendue reste très imprécise. Dans son film, Agnès Moreau évoque ainsi un autre aspect : le besoin de sensibiliser les populations et gouvernements pour enrayer le phénomène. En effet, le carbone noir est libéré en grande partie par les véhicules diesels mais aussi lors de la combustion incomplète de bois ou de charbon. Ces particules sont ainsi relâchées par les briqueteries de la région comme par les foyers des habitants.
Néanmoins, celles-ci ont une courte durée de vie : des solutions simples permettraient donc de limiter leurs émissions et auraient un impact beaucoup plus rapide et visible que la lutte contre les émissions de CO2, selon les scientifiques. Mais encore faut-il que les spécialistes parviennent à convaincre les gouvernements de l'importance du phénomène.
"Un projet un peu fou, un peu long"
Liens entre pollution et réchauffement climatique, système hydraulique et agriculture de la région, de la pyramide de verre aux laboratoires européens, des villages à 2.000 mètres d'altitude au pied de l'Everest, Agnès Moreau a suivi pas à pas les scientifiques pour alerter de ce phénomène inquiétant mais réversible.
"C'est un projet un peu fou qui a été un peu long, un peu difficile pour expliquer un phénomène complexe et mal connu. On est passé d'environnements très différents de la Californie au Népal où il a fallu affronter des conditions assez extrêmes. Mais tout s'est bien passé et cela m'a même permis d'accomplir un vieux rêve : voir l'Everest", confie la réalisatrice.
Coproduit notamment par Arte France, Le Miroir, le CNRS Images et l'IRD, le documentaire "Un nuage sur le toit du monde" sera diffusé sur la chaine Arte le jeudi 24 mai prochain à 22H20.