Il était aisé de comprendre, même si tout a été fait pour viser les arabo-musulmans, que la loi sur la double nationalité était excessivement embarrassante aussi pour les détenteurs du double passeport israélien/français. Une binationalité dont personne ne parle jamais.
Voilà sans doute pourquoi la loi proposée par Marine Le Pen sur la suppression de la double nationalité, qui allait dans le sens des principes républicains, mis en avant par la majorité, a été rejetée d'un revers de main par celle-ci.
Idem avec les œuvres d'art pour une taxation à l'impôt sur la fortune (ISF). Des œuvres qui appartiennent en majorité à de grandes familles aristocrates ou à des marchands juifs qui ne sont en rien dans le besoin.
Nous savons qu'un des plus grand marché/trafic est celui des œuvres d'art. Les vols archéologiques se sont accrus principalement en Iraq, en Afghanistan, en Afrique et en Egypte avec des pillages sans retenue pour un trafic international de grande ampleur.
La raison ou la menace avancée pour ne pas les imposer est que ce marché s'écroulerait si les collectionneurs devaient les déclarer. Mais le niveau de vie des classes moyennes et des plus démunies s'écroulent et rien n'est fait pour l'éviter. Alors taxer de nouveau l'art eut été une mesure juste.
De plus, de nombreux pays ont été dépouillés de leur patrimoine et il est anormal de rien faire pour y remédier ainsi qu'au niveau européen. Cette tolérance est un signe d'encouragement pour un trafic illégal. Nous savons aussi que les Musées nationaux ou privés et les marchands achètent sans aucun scrupule des trésors volés.
Pourtant en imposant les oeuvres d'art cela aurait permis d'en identifier une partie, de vérifier leur origine, pour celles qui ne sont pas dissimulées et de faire entrer de l'argent dans les caisses .
La droite, pourtant, pour contrer ses adversaires s'était toujours servie de la loi Fabius pour dénoncer ce cadeau fait aux plus riches. Comme quoi ! ...
Les historiens ou les anthropologues culturels observant le cours des événements humains auraient du mal à trouver une terre autre que la Palestine où un pourcentage aussi important de colons d'arrivée récente se préparent à exercer leur droit au départ, tandis que beaucoup d'autres, aux vraies racines millénaires mais victimes d'un nettoyage ethnique, se préparent à exercer leur droit [...].