J'ai fait plusieurs articles sur les nanotechnologies et les implants de puce dans le cerveau (ou le corps humain) qui désormais se pratiquent dans la très controversée clinique Minatec de biotechnologie de Grenoble.
Un des médecins expliquait qu'il était possible dorénavant de rendre un dépressif - joyeux - et que ces implants étaient une véritable avancée pour les maladies dégénératives et autres troubles du comportement. A cela j'expliquais que si ces implants pouvaient redonner la joie de vivre de toutes évidences ils pouvaient aussi rendre quelqu'un de doux - agressif -. Ce qui pose problème et questionne sur les véritables objectifs de ces greffes puisqu'à titre militaire des humains peuvent se transformer en arme.
L'expérience ci-dessous, une incroyable parmi tant d'autres, le démontre aussi. Et si la science n'a plus de limites, elle arrive surtout à ne plus avoir de conscience puisque tout ce qui sort dans le domaine public a été validé en laboratoire privé ou secret et que si ces interventions fonctionnent chez l'animal, de fait elle fonctionnent pour l'humain. Cependant il faut savoir que des expériences ont été faites sans avoir recours à des implants ou à des électrodes en isolant directement des molécules d'ADN d'un sujet qui se trouvait être à 500km de distance de celles-ci et qui subissait des tests. Le test consistait à savoir si les émotions du cobaye et l'ADN réagissaient en simultané. L'expérience fut concluante puisque instantanément, et malgré la distance, l'ADN se comportait comme si il était le sujet lui-même. Ce qui prouve la complexité et la puissance de l'ADN et les possibilités infinies qui existent en chacun de nous.
Cette expérience et sa source sont sur mon blog mais je ne sais plus où ; trop d'articles
L'incroyable expérience des rats télépathes
Une équipe américano-brésilienne est parvenue à connecter, à l’aide de micro-électrodes, les cerveaux de deux rats. Les animaux peuvent ensuite échanger des informations à distance !
« Une interface cerveau à cerveau capable de transférer en temps réel des informations». C’est en ces termes que les chercheurs de l’institut des Neurosciences Edmond et Lily Safra au Brésil, et de l’université de Duke aux États-Unis décrivent leur expérience.
« Nous avons voulu voir si cette interface cerveau à cerveau pouvait être employée à des fins de communication entre des animaux expliquent les chercheurs dans leur publication. Une communication de qualité suffisante pour permettre de mener à bien une tâche en coopération » précisent-ils. Et le résultat est des plus impressionnants !
La « transmission de pensée » marche dans 70 % des cas !
Imaginez plutôt : isolé dans une cage, un rat fait face à deux pédales. S’il appuie sur la bonne, il obtiendra une petite ration d’eau en guise de récompense. Mais aucun indice ne lui permet de savoir laquelle choisir. Pourtant l’animal va opter pour la bonne réponse dans 70 % des cas.
En effet, à des milliers de kilomètres de là, l’un de ses congénères, dans une autre cage, est confronté au même choix que lui. Sauf que dans sa cage à lui, la bonne réponse est affichée sous la forme d’une diode qui s’allume au-dessus du levier qui délivrera la récompense.
Préalablement, les chercheurs ont implanté des micro-électrodes dans le cerveau de chacun des deux rongeurs. Ces dernières enregistrent l’activité électrique dans les zones du cortex responsables de l’activité motrice et sensorielle des animaux. Elles peuvent également y envoyer de petites stimulations électriques.
Lorsque l’animal disposant des indications lumineuses se rue sur le bon levier, les électrodes captent l’activité de ses neurones et la transmettent à un ordinateur. La machine convertit alors ces informations en un signal numérique qui transite en quelques millisecondes via internet jusqu’au laboratoire qui héberge l’autre rat. Les informations sont alors converties en stimulations électriques transmises aux électrodes. Comme on peut le voir sur cette vidéo, le second rat utilise ces informations pour appuyer sur la même pédale que son acolyte quelques secondes plutôt.