C'est la dernière sortie de l'ancien maire de Londres. Mais est-il le seul à le penser ? Il semble que l'idée de vouloir punir les responsables et leurs sbires se généralise dans bien des secteurs en lisant ou en écoutant les gens parler.
Les maux et les souffrances qu'ils sèment par pure stratégie, en ce qui concerne les grands argentiers, et sans avoir la moindre conscience de leurs actes et de leurs conséquences pour ceux qui leur obéissent ou qui ne pensent qu'à leurs intérêts personnels, sont arrivés à devenir de véritables détonateurs ou des grenades dégoupillées en regardant ce qui se passe partout.
Les médias menteurs-propagandistes et leurs serviles perroquets, nommés à tort des journalistes, sont également dans le collimateur de la masse avisée.
Le véritable esprit révolutionnaire qui est entrain d'émerger partout dans le monde et la colère passive ou active démontrent que les peuples se réveillent de leur long sommeil ou qu'ils sortent de leur crédulité pour recouvrer un libre arbitre ; eux qui se sont si longtemps remis au laissez-faire et qui se nourrissaient de croyances et d'espoir. Ils sont de plus en plus nombreux à décider de ne plus vouloir subir leur vie et à ne plus vouloir qu'on leur impose des hommes, des lois liberticides et paupérisantes, de nouveaux impôts et des restrictions pour faciliter la concentration des pouvoirs dans les mains de quelques-uns, pour payer l'incurie et les erreurs de gestion des autres et l'allégeance des derniers aux premiers.
source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/
L'ancien maire de Londres, Ken Livingstone, a provoqué un gros scandale au Royaume-Uni suite à ses propos contre le système économique actuel.
Selon le quotidien britannique The Sun, Ken Linvingstone (que l'on surnomme Ken le Rouge au pays), aurait lancé des propos scandaleux lors d'un dîner. "Pendons un banquier par semaine jusqu'à ce que les autres s'améliorent", aurait-il déclaré. Des propos qui ont rapidement fait les gros titres de la presse britannique.
Ken Livingstone, qui a été Maire de Londre de 2000 à 2008 et qui est candidat à la prochaine élection municipale de 2012, se défend pourtant en affirmant qu'il ne s'agissait que d'une petite blague entre amis. Mais son passé lourd en déclarations violentes notamment contre le monde de la finance lui colle toujours à la peau.
En effet, en 2000, Ken Linvingstone avait déjà fait couler beaucoup d'encre en comparant l'économie au nazisme. "Chaque année, le système financier international tue plus de gens que la Seconde Guerre mondiale. Mais au moins Hitler était fou", avait-il lancé provoquant déjà un véritable scandale.
Plus récemment, l'ancien Maire de Londres avait remis ça en s'en prenant au ministre des Finances britannique. "Combien d'entre nous pensent qu'il faudrait pendre pendre George Osborne?", avait-il indiqué lors d'un meeting en 2011 avant de refaire le buzz quelques mois plus tard en affirmant que "le parti conservateur était truffé d'homosexuels refoulés".
Sa petite "blague" sur la pendaison de banquiers tombent donc comme un cheveu dans la soupe en cette année d'élections à Londres. Plusieurs associations de banquiers ont tenu à dénoncer les propos de l'homme politique. (CB) .