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Benoît Duquesne : Partout où BHL passe la vie trépasse :-)

Publié par Diatala sur 7 Juillet 2014, 10:00am

Catégories : #Célèbres imposteurs et Impostures

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Benoît Duquesne : Partout où BHL passe la vie trépasse    :-)      

 

Le lendemain matin d’un reportage de « Complément d’enquête », diffusé le 3 juillet 2014, à 22h30, qui était entièrement consacré à l’histrion et à l’imposteur BHL, nous apprenions le décès de Benoît Duquesne. Quelques heures avant sa mort, Benoît Duquesne avait enregistré sur la jolie place Fürstenberg son dialogue avec BHL pour illustrer la fin du reportage. Une discusion plate et faite de non-dits, de censure et de complicité pour taire la réalité et la vérité. L'essentiel ne sera jamais abordé comme nous allons le voir plus loin. Un travail de journalisme sans strictement aucun intérêt.

À cette heure la raison de son décès reste toujours inconnue et une autopsie doit être pratiquée quand d’autres évoquent une simple crise cardiaque. Est-ce l'émotion d'avoir rencontré BHL qui lui fera battre le coeur trop rapidement ? :-)

Il est vrai, aussi, que partout où BHL passe il y a ensuite des victimes.

 

Le présentateur, Benoît Duquesne, semblait au premier abord sympathique, gentil et intègre, c'est vrai. Pourtant nombreux sont ceux qui ont constaté qu'il n'était qu'un relais de plus de la pensée dominante et que derrière cette apparence débonnaire se cachait un autre homme. Un homme très peu soucieux de la vérité, servile, partial et même parfois dangereux et pour qui le journalisme ne servait qu’à manipuler l’opinion pour le compte de ceux qui accordent des visas à ces journaleux afin qu’ils soient autorisés à parler à un micro pour réciter leur propagande.

 

Le réalisateur de ce document-fiction, complaisant envers BHL, était Yvan Martinet. Et pour être plus crédible il saupoudra son travail d’un soupçon de critiques. D’ailleurs BHL trouvera le reportage « honnête ». C'est dire le sérieux !...

Cet homme, Yvan Martinet, fut l’un des trois lauréats à recevoir le « Prix de l’enquête économique » décerné par le MEDEF et l’Élysée. Ce qui situe tout de suite l’homme et pour qui il travaille. C‘est lui aussi qui volera les propos de Dieudonné lors de son spectacle à la Main d’or, à propos de Patrick Cohen, pour en faire un buzz antijuif dans les médias et sur la toile.

 

Ce soir là, sur deux autres chaînes, deux autres émissions étaient consacrées à des comiques : Une avec Chantal Ladesou et le Bêtisier du rire. Cependant, « Complément d’enquête », qui était lui diffusé sur le service public de France 2,  avec le comique BHL, restait la seule émission comique intéressante à regarder même si le contenu allait être du réchauffé nappé de sauce aigre. Le titre était : « BHL sous toutes ses coutures ». Mouais ! « BHL sous toutes ses impostures » aurait été préférable car honnête.

 

Alors pourquoi faire dans ce type d’émission un hors-série consacré à un homme qui n’a strictement aucun intérêt sauf ceux de faire rire et de faire honte à la France ? Mais surtout pourquoi faire un reportage qui manque totalement d’objectivité, d’impartialité et de courage journalistique ? Est-ce de la provocation et du mépris envers les téléspectateurs ?   

 

Toutefois, qui ignore aujourd’hui que BHL est un affabulateur et que tout ce qu’il entreprend est un fiasco ?. Qu’il soit réalisateur et producteur pour le cinéma et le théâtre, écrivain, bloggeur, reporteur ou qu’il crée un journal tout n‘est qu‘un échec cuisant.      

Des échecs qui seront cependant tournés en succès grandioses par le pitoyable monde médiatique. C’est ainsi que BHL, qui fait toujours la guerre sur des plateaux Télé, dans des palaces et des palais, sera césarisé pour chacun de ses bides par les nuls du PAF.

bhl     

Mais ce chat de papier, qui a toujours le poitrail à l'air, est-il vraiment un haut dignitaire sioniste ? En premier être dignitaire induit d'avoir de la dignité. Nous pouvons donc l'exclure.  Et s'il n'était alors qu’une simple estafette ?.

Ne nous méprenons pas sur son compte car BHL n’est ni diplomate, ni ambassadeur et encore moins une éminence grise. En outre, c'est vrai, il apporte en bon facteur les messages de ces chefs et en bon VRP il vante les qualités du sionisme dans les boutiques du PAF. Ce qui permet de dissimuler les vrais donneurs d’ordres.

Le réalisateur prendra même le soin de retirer le passage où BHL se fait virer comme un intrus à deux reprises de la tribune de Benghazi lors du discours de Nicolas Sarkozy en présence de David Cameron et de Moustafa Abdel Jalil en Libye. Depuis cette vidéo a été censurée car c'est la honte pour Bernard.   

 

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L’accord de BHL, qui devait être obtenu pour la réalisation de ce reportage - à sa gloire inexistante - et durant lequel il sera nommé le « philosophe », si, si, aurait été difficile à obtenir selon Benoît Duquesne.

Chacun sait pourtant que c’est BHL qui exige de paraître là ou il a décidé de se produire en spectacle quand il fait son one-man-show. Sans doute est-ce une fonction de son contrat.

Cette émission sur le service public est très certainement aussi pour lui une sorte de vengeance. L’homme qui souffre de nombreuses blessures narcissiques qui ont été occasionnées par une opinion de plus en plus nombreuse, et surtout lucide, semble envoyer un message du genre « Moi Moi Moi je vous emmerde tous. La preuve…je suis partout et même sur le service public. Plus vous me critiquerez et plus je serai présent  ; NA ! ». Nombreux de ses collègues font la même chose comme Jack Lang et d'autres.

C’est une technique habituelle des ......, des fats et même des dépressifs qui se nourrissent en permanence de leur image artificielle qu’ils doivent sublimer constamment pour parvenir à se supporter et éviter ainsi de voir ressurgir la vraie qu’ils refoulent aux tréfonds de l’antre de leur médiocre imposture.

 

L’obscène sera atteint dès le début de ce pseudo reportage quand une séquence sera accordé à feue sa première épouse, Isabelle Doutreluigne, qui, apprendrons-nous, était dépressive, droguée, alcoolique et qui après des cambriolages et une incarcération ne s’occupera plus de leur fille. Mais la cerise sur la kippa, évidemment, sera de bien préciser que BHL a toujours été là pour elle. Un BHL qui sera ainsi empli de compassion de compensation financière tout en lui achetant même un appartement. Quand même...

 

Quelle indécence d’évoquer cette histoire, quel manque de pudeur d’en parler, qu’elle vanité de faire savoir à la télé qu’il a toujours payé et qu’elle irrespect total d'évoquer publiquement la vie d'une femme qui ne peut plus se défendre. Car, pourquoi en parler et surtout pourquoi cette femme est-elle devenue ainsi, qui l‘a poussée dans cette souffrance ? Souffrance qu‘elle n‘a pas été capable de surmonter ni même avec la compassion pécuniaire de BHL.

Nous apprendrons également, mais cette fois-ci de la bouche d‘Arielle, que BHL se drogue :« Quand je vois son regard extraordinairement fixe comme ça... une espèce de chose avec un horizon très lointain et dur, je me disAh la… Y’a de la chimie qui est passée par là.” » [1]

Si il était utile de le confirmer auprès des naïfs, le reste de l’opinion sait que sans consommation régulière de stupéfiants et de psychotropes, dans ce milieu du paraître, de l’artifice, de l’imposture intellectuelle et professionnelle, du népotisme et dans lequel l’allégeance est aussi une condition sine qua none pour demeurer, la médiocrité des uns et des autres serait criante, hurlante. D'ailleurs elle l'est déjà sous drogue car seule leur la publicité les met en lumière et non leur talent. Pire, ces gens seraient inconnus quand d‘autres iraient de centre de désintoxication en centre de désintoxication.   

La dernière traîtrise de Benoît Duquesne, et elles furent nombreuses en matière journalistique, sera de cacher les conséquences ravageuses inhérentes aux exhortations et aux exactions de BHL. Il évitera donc de dresser un constat objectif, soit d'échec permanent puisque partout où ce type est passé règne depuis la souffrance, la pauvreté, le chaos, l’anarchie, le totalitarisme, l’extrémisme islamique religieux, le meurtre, les attentats, la guerre, les massacres d’innocents et le pillage des richesses et des ressources.

BHL se shoote sans doute aussi en voyant couler le sang des innocents. C’est pourquoi il exhorte à faire constamment ce qui est pour lui la bonne guerre. Pour les besoins il soutient également les terroristes, les antijuifs ou Al Qaïda, les ennemis jurés de la veille.    

 

Benoît Duquesne, en piètre speaker, terminera son émission en disant à son invité ceci : « Je vous félicite de votre sincérité ». Hi hi hi ! Tout est dit lors de cette conclusion du dit professionnalisme de Benoît Duquesne.

La Charte d'éthique et de déontologie du journalisme n’aura donc pas comporté pour Benoît Duquesne assez de principes respectables pour se sentir le devoir de l'appliquer. Quant à BHL il n'est pas journaliste. Pourtant elle stipule que :

« Les journalistes disposent des moyens nécessaires pour exercer rigoureusement leur métier, collecter et vérifier les informations, indépendamment de toute pression extérieure. Ils s'interdisent toute manipulation et plagiat, ne relaient pas les rumeurs, évitent le sensationnalisme, les approximations et les partis pris. Ils doivent éviter tout lien d'intérêt avec les acteurs des secteurs sur lesquels ils écrivent, et s'engagent à déclarer tout conflit d'intérêts »

 

Si BHL est un héraut du sionisme, ce que Benoît Duquesne se gardera bien de préciser, il ne sera toutefois jamais un Héros digne d’entrer au panthéon des grands hommes. Or, BHL en rêve, et il le dit...et même sans se raser.    

 

Benoît Duquesne, paix à son âme, malgré les éloges dithyrambiques posthumes de ses collègues, n’était in fine qu’un ilote au service de la désinformation, soit un félon comme la majorité de ses confrères. Ce n’est donc ni sa probité ni son impartialité et encore moins son éthique professionnelle que nous retiendrons de lui.

 

Pour conclure il faut cesser d’ériger en patriarches de l'information, et en dieux, des médiocres, des drogués, des lâches, des incompétents, des idiots, des imposteurs et des serviles. Les vraies grandes âmes et les vertueux restent loin de ce milieu et de celui des projecteurs et l'incorruptibilité les domine.

 

 

Humour d'Isabelle BALKANY
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Humour de Nicolas Sarkozy : "Je n'ai jamais trahi la confiance des Français"

[1] Arielle Dombasle et Bernard-Henri Levy
BHL
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