Le Sunday Times du 24 octobre 2010 titrait :
40 morts d'enfants britanniques reliés à une vaccination de routine depuis sept ans (Voir pièce jointe)
« On craint que 40 enfants ne soient morts après avoir reçu les vaccins de routine depuis sept ans. Ces vaccins pédiatriques sont également suspectés d'avoir causé des dégâts irréversibles sur le cerveau de deux enfants et d'avoir engendré 1 500 autres réactions neurologiques, dont 11 cas d’encéphalite (inflammation du cerveau) et 13 cas d’épilepsie et un coma.
« Ces données, fournies par l’agence britannique de régulation des produits de santé (MHRA) à la requête du Sunday Times grâce à la législation sur la liberté d’information (Freedom of Information Act), révèlent que depuis 2003, il y a eu plus de 2 100 réactions secondaires consécutives à la vaccination infantile, dont certaines ont fait craindre la mort. »
Le journal explique ensuite l’objectif de ces vaccins : « Quinze injections sont régulièrement pratiquées sur les jeunes enfants dans le cadre du programme gouvernemental de vaccination. Elles offrent une protection contre la polio, la diphtérie, les oreillons et la rougeole. »
Toutefois, il accuse : « Les circonstances de ces décès suspects et de ces problèmes neurologiques ont été divulguées deux mois après qu’une plainte a forcé le gouvernement à admettre que son programme de vaccination avait sévèrement endommagé le cerveau d’un bébé.
« Après avoir refusé pendant treize ans d’admettre que Robert Fletcher, actuellement âgé de 18 ans, a subi une grave atteinte au cerveau à cause du vaccin ROR, le gouvernement britannique a dû lui attribuer une pension. La mère de Robert, Jackie Fletcher, fondatrice de l’association Jabs qui regroupe les familles des enfants handicapés par les vaccins, a déclaré “Il est en général admis dans le milieu médical que seuls 10 % des décès et effets secondaires graves des vaccins sont réellement rapportés. Et le ministère de la Santé admet que ce problème est très supérieur aux données statistiques”.
« Jake Dukes, de Weymouth, dans le Dorset, qui a maintenant 18 ans, est resté cérébralement handicapé par le vaccin contre la coqueluche qu’il a reçu alors qu’il avait 2 mois. Il est resté à l’âge mental d’un tout jeune enfant, il est incontinent et cloué dans un fauteuil roulant. Il a touché la somme de 91 500 livres sterling, payée par la caisse de compensation des dommages vaccinaux du pays.
« Les parents de George Fisher sont certains que le ROR a tué leur fils de 18 mois. Il est mort en janvier 2006, 10 jours après avoir reçu ce vaccin. »
Il est important pour les familles d’apprendre que le Sunday Times, qui a traîné dans la boue le Dr Wakefield car il dénonçait les dangers du ROR, accepte enfin de publier des vérités indiscutables sur ce vaccin qui représente une menace pour les jeunes générations.
De toute évidence, les cas qu’il publie sont significatifs bien que non exaustifs, mais il ne faut jamais oublier que les autorités américaines s’accordent pour reconnaître que les chiffres officiels, si énormes soient-ils, ne représentent en vérité qu’un très faible pourcentage des complications survenues, comme l’a souligné Mrs Fletcher.
Le 2 juin 1993, la FDA avouait qu’une étude démontrait que « seulement 1 % des accidents graves étaient rapportés ». Enfin, une étude parue dans Money de décembre 1996, signalait à son tour que les complications déclarées représentent à peine entre 1 et 10 % des cas de réaction grave.
Il est certain que si l’on s’en tient au seul pourcentage de 10 % des décès et effets secondaires graves des vaccins réellement rapportés, ce qui représente un maximum, cela signifie qu’au moins 400 enfants sont morts à cause d’un vaccin et que 21 000 autres ont souffert d’un effet secondaire post-vaccinal, pour le seul Royaume-Uni, où aucun vaccin n’est obligatoire.
En réalité, la situation est certainement plus dramatique dans d’autres pays comme les États-Unis où la vaccination des enfants est obligatoire et où des milliers de cas sont, encore et depuis longtemps, en instance devant les tribunaux. D’autres ont directement été réglés à l’amiable par les laboratoires et personne n’en parle.
Nous retrouvons ici le même comportement des instances officielles qui, comme en France pour les dégâts causés par le vaccin de l’hépatite B, dédommagent en silence des victimes, tout en persistant à affirmer qu’il n’existe « aucun » problème.
Le 24 février 2009, Robert F. Kennedy Jr révélait à son tour dans le Huffington Post qu’une importante enquête menée par CBS News avait mis à jour 1 322 cas d’effets neurologiques graves engendrés par le seul ROR, dont l’autisme, qui avaient déjà été dédommagés par les tribunaux depuis 1988 pour des sommes dépassant parfois le million de dollars.
Ce vaccin, si fortement recommandé par nos services de santé que tout le monde ou presque le croie obligatoire, ne déclanche « aucun effet secondaire en France », et les crèches en font une condition sine qua non pour l’admission des enfants.
Quant verrons-nous, à l’instar du Sunday Times, Le Figaro ou Le Monde commenter ces accidents, bien moins rares qu’on veut nous le faire croire ? Peut-être lorsqu’on admettra enfin que nous vivons sous une dictature médico-scientifique !
Sylvie Simon