Diatala - Médiatala - Information - Désinformation

Le Monde, L'Actualité et l'Actualité Politique, la Désinformation et l'Information par les Médias Alternatifs - Archéologie - Science - Religions - Cultes - Mystères - Sociétés Secrètes - Euthanasie - Big Pharma - Eugénisme - OGM - OVNI - Pédocriminalité - Civilisations - Réchauffement Climatique - Censure - Guerres - Média-Mensonges - Arnaques - Corruption - ADN -


Obama l'ange noir...et les autres

Publié par Diatala sur 5 Juin 2009, 13:09pm

Catégories : #Analyse Finance - Economie- International

 Il ne pense qu'à ça. Si. Si. Tous les matins, en faisant son brushing, François Hollande se voit poser ses fesses sur le trône de 2012. Mais il ne fait rien qu'à énerver la pauvre Martine ici qui désespère de voir son parti  ne servir que de faire-valoir à une bande d'arrivistes qui se foutent de la cohérence, de l'union et qui se refusent de mettre en place un vrai programme .
 En Italie, le vieux beau, pour certains pays l’infréquentable, le corrompu, le néo-facho, le populiste, de son nom - Berlusconi, continu ici de faire la une de la presse avec ses déboires conjugaux, ses soirées orgiaques et ses relations avec les jeunes filles.
Il serait temps que le sénile cavalier, décoloré, rôti au UV avec les dents karchérisées, celui qui, dit-on, aime les jeunes pouliches, se retire de la scène politique pour aller sucrer les fraises. Car, décemment, peut-il continuer de ridiculiser les Italiens ? De discréditer la politique avec des agissements suspects et qualifiés de frauduleux ? Qu'on lui trouve une bonne maison de retraite dans laquelle il pourra faire pouet- pouet aux infirmières...et l'Italie ira mieux.
 Dans ce même temps la guerre continue ici entre le président du Modem et l’ancien anarchiste de 68, Dany le rouge. Celui qui se plaît à d’écrire, dans un livre intitulé - Le Grand Bazar - alors qu’il était éducateur dans une garderie, ses attouchements sur de jeunes enfants: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ». Et ailleurs : « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ». Mais celui qui n’est aujourd’hui ni de droite ni de gauche, qui navigue en eau trouble,  mais qui a toujours été à la solde de certains lobbys, l’histrion des Verts, l'excité des plateaux télé, prenne conscience de son ridicule, la ferme...un temps soit peu, et cesse de donner des leçons aux autres.
Alors que le dieu Obama tente, officiellement, de racheter les péchés de ses prédécesseurs en voulant redorer l’image de son pays dans le monde et, surtout auprès des musulmans, dans un discours…sans grand intérêt, il réitère les propos de l’ex locataire de la Maison Blanche sur le soutien indéfectible de l’Amérique à Israël et, - Ose - parler de la violence du Hamas sans jamais dénoncer celle mille fois plus monstrueuse et illégitime de l’Etat confessionnel.
Si certains pensent que ce discours est novateur et qu’il est empli de symboles d’ouverture et de réconciliation, il ne l’est que sur la forme et non sur le fond. Obama prendra soin de ne jamais évoquer les violations constantes et les milliers de crimes commis envers le peuple palestinien par cette même démocratie religieuse. Donc rien de nouveau.
Certes, la nouvelle administration américaine met en place une autre forme de diplomatie en supprimant de ses discours la référence entre le Bien occidental et le Mal attribué à l’Islam ; elle souhaite désormais se rallier l’opinion publique internationale( perdue après l’hécatombe commise par le fiston Bush) dans de beaux discours aux termes parfois soporifiques.
L’Amérique de Bush, détestée et haïe dans le monde, a remplacé le grand Satan blanc par le messager, l’ange noir. Elle compte dorénavant employer de nouvelles tactiques pour conquérir de nouveau les coeurs perdus.
Mais l’ange noir n’est-il l’ange déchu et chassé du Paradis, celui des puissances infernales.
L'Amérique ne se donnerait-elle pas, simplement bonne conscience, en parlant désormais de paix avant de faire les guerres dont elle a vitalement besoin pour tenter de conserver sa puissance ?

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents