Le monde est en alerte rouge. Le risque de pandémie serait à son paroxysme. Aux abris ! Sortez tous vos masques !
Mais qu’est-ce donc que ce nouveau virus qui nous tombe sur la tête, via nos amis les porcs ? Après les dindes et les volatiles migrateurs, les gorets s’attaquent maintenant à l’Homme en copulant avec les premiers.
Il ne sert à rien de manger kasher et de respecter les lois religieuses puisque le tueur est invisible et que son domaine de navigation est l’air.
Il serait donc - LE- virus - mutant encore jamais observé ni déclaré précédemment. Une nouvelle souche atypique avec néanmoins un savant cocktail de la grippe aviaire (H5N1) avec un peu de grippe espagnole et porcine. On secoue énergétiquement le tout et une nouvelle race de nervis est née. Des tueurs encore plus actifs et virulents que les précédents débarquent ainsi sur notre planète.
La soue serait le nid d’où part le virus tous azimuts et - LA- nouvelle arme virologique. Mais... il est futé ce dernier né, car il tue au Mexique 60 personnes mais ne fait pour le moment que de légers malades aux Etats-Unis. Le peuple mexicain a sans doute un système de défense immunitaire beaucoup plus faible que les Yankees élevés aux hamburgers et au Coca. C’est possible ;-)) Sa frappe mortelle s’arrête donc à la frontière mexicaine et le porc serait rusé comme un renard pour le choix de ses victimes.
L’économie mexicaine dépend principalement de son exportation et sa politique de libre-échange est une des plus libérales au monde et la plus importante d’Amérique latine avec une croissance ininterrompue depuis près de dix ans. Mais il n’y aurait aucun contrôle précis de qualité en matière de salubrité sanitaire pour l’élevage, avec une bataille des prix engagée avec d’autres pays producteur et exportateur, comme le Canada par exemple. Un abattage massif réglerait sans doute le problème.
Alors nous pouvons nous demander d’où viennent toutes ces sources pathogènes et souvent létales ? La surproduction animale, pour la rentabilité immédiate, avec un nouveau type d’alimentation et d'antibiotiques, en serait-elle responsable ? Si avant une vache mangeait du foin et une poule du maïs, ce temps est révolu, comme pour nos animaux domestiques d’ailleurs qui ne doivent manger que des boites et des croquettes pour n'avoir que des déjections calibrées ; avec éventuellement pour certains une psychanalyse a effectuer lors de leur adolescence et, pour tous, des visites régulières chez le dentiste, l’esthéticienne et le coiffeur. La vie animale est devenue vraiment bête. La contamination de l’eau par l’activité humaine et ses rejets toxiques dans les eaux et rivières, en serait-elle responsable ? Cela viendrait-il d’actes délibérés ? En tout cas certains secteurs financiers et économiques ont tout à y gagner. Mais un tel virus hybride peut-il naître dans la nature sans manipulations ? Il est vrai que, pour le pauvre commun des mortels, que nous sommes, on peut aisément nous faire passer des vessies pour des lanternes ; voire même pire.
Si nous savons que depuis 1980 une convention a été signée par 145 pays sur l’interdiction de fabrication d'armes biologiques, dites, de destruction massive, nous savons aussi que des laboratoires secrets continuent de mettre au point de nouveaux virus, de nouvelles bactéries, pour une nouvelle forme de guerre. Les vaccins seraient prêts avant d’utiliser ces nouvelles armes ; normal.
Si j’ai toujours pensé que le Sida et d'autres virus étaient issus de laboratoires américains et les recherches effectuées à des fins, non prophylactiques, je n’avais jamais cherché la moindre information à ce sujet. Ici, un sénateur américain confirme que la naissance du VIH a été effectuée dans un laboratoire des Etats-Unis.
Si vous voulez en s’avoir davantage sur les laboratoires secrets et les guerres biologiques, cliquez ici avec un internaute bien renseigné.