Alors si la CIA le dit…
Il faut bien, agiter le spectre de la terreur, pour reconditionner les esprits avant de nouvelles guerres ou de nouvelles attaques.
Il y avait longtemps que nous n’avions pas eu des nouvelles de Ben Laden. Alors la CIA le remet en scène, ici, aux frontières du Pakistan et de l’Afghanistan, précisément là où se concentrerait une des prochaines attaques US.
Il va bien, mais serait un peu largué dans le commandement de son réseau international de terroristes. La somme de 50 millions de dollars est toujours en jeu pour celui qui le capturera ; en espérant surtout que personne ne le trouve ; évidemment. Mais capturer un mort ne va pas être aisé.
Michael Hayden, directeur de la célèbre agence de mannequins islamistes et armés, la CIA, insiste bien sur le fait que tous les risques viennent désormais des zones tribales pakistanaises. Ca tombe bien, Obama veut y remettre de l’ordre avec, sans doute, quelques milliers de bombes en cadeau. Mais je parie que Benji trouvera le moyen de courir, une fois de plus, plus vite qu’un missile US et que sa grotte sera la seule à être introuvable. Car, le Benji la malice se cache, là, où personne ne l’imagine. ( photo)
Malin ! Sans doute dans la culotte de Dick, de Donald, ou bien peut-être dans celle de George; qui sait.
Il serait quand même temps de trouver un successeur à la momie, Oussama, le Saoudien, pour continuer la guerre du Mal !
Chacun à son opinion sur la responsabilité de Ben Laden. Certains considèrent qui est le seul responsable du 11/9 et ont accepté une vérité, des affirmations ou un sophisme sans aucune preuve concrète ni examen détaillé.
Vous souvenez-vous d’avoir entendu le terroriste n°1, affirmer, le lendemain du 11/9 ou un peu plus tard, qu’il réfutait entièrement les accusations portées sur sa responsabilité ; mais j’ai beau chercher sur Internet, aucune trace de cet enregistrement.
La seule preuve est une vidéo qui a été déclarée être un faux, et le gouvernement n’a jamais fourni un seul document attestant de la responsabilité de Benji. De nombreux ouvrages mettent à mal la théorie officielle en se basant, non sur l’analyse factuelle, mais sur les très nombreuses incohérences.
Si nous prenons en compte simplement l’effondrement des tours, certains experts indépendants, évidemment, sont formels. Ils assurent que les Twin Towers ne pouvaient en aucun cas s’effondrer sur elles-mêmes : « L'acier commence à fondre à 1 500°C. Des températures, de 250°C, n'auraient aucun effet sur la solidité de celui-ci. Les feux en plein air n'engendrent pas une température suffisante pour priver l'acier de son intégrité structurelle. Des bâtiments à charpente d'acier ont brûlé 22 heures dans des enfers terribles, et les charpentes d'acier sont restées debout. Les feux dans les tours ont duré environ une heure et ont été limités à quelques étages. De plus, il est impossible qu'ils expliquent la désintégration soudaine, totale et symétrique de bâtiments solidement construits, et encore moins à la vitesse de chute libre que permet seulement la démolition contrôlée. Par contre, des explosifs puissants utilisés dans les démolitions produisent des températures de 2 760°C ; car il a été retrouvé, des semaines après, de l'acier fondu dans les sous-sols du WTC ».
Le jour même, devant le Pentagone, un journaliste de CNN déclarait qu’il n’y avait aucune trace d’avion, ni de débris sur la pelouse : « D’après mon inspection rapprochée, il n’y a aucune preuve du crash d’un avion à un quelconque endroit près du Pentagone.
Tout ce qui est visible, c’est la façade du bâtiment qui est enfoncée. Et comme je l’ai dit, les seuls débris sur place sont assez petits pour être ramassés à la main. Il n’y a ni morceaux de queue importants, ni sections d’ailes, de fuselage, rien de tel dans les environs qui indiquerait que l’avion tout entier s’est encastré dans la façade du Pentagone »
Mais n’oublions pas que les attaques du 9 /11 ont servi les USA pour attaquer l’Afghanistan et l’Irak, à tester de nouvelles armes, à diminuer drastiquement les protections constitutionnelles et certaines libertés civiles, à augmenter d’une manière indécente les budgets militaires et le pouvoir de l'exécutif, à enrichir leurs intérêts en volant les richesses de pays, dits, ennemis, et enfin à préparer de nouvelles attaques, notamment celle de l'Iran.