Madame Royal, après maintes tentatives d’esquives juridiques, a essayé vainement de ne pas honorer le salaire dû, à deux ex-assistantes parlementaires. La justice a tranché au bout de dix années de batailles juridiques. La madone a été condamnée pour licenciement abusif et condamnée à payer rétroactivement les salaires qu’elle se refusait à verser sur une période qu’elle réfutait.
Mais Ségolène Royal qui s’érige en "Robine des bois" devrait apprendre également à tourner 418 fois sa langue dans sa bouche avant de jouer les perpétuelles moralisatrices. L’Angélique de la Cour des miracles, "parigo-charentaise", n’est qu’une usurpatrice qui utilise son statut pour abuser les plus faibles, et non, les défendre. La justice sociale est une excellente chose pour les autres, mais pas pour l’ex-candidate à la présidentielle. La Cendrillon, "pseudo sociale", ne doit pas récupérer son carrosse 607 Peugeot à minuit, elle doit sortir définitivement du palais régional et retourner faire le ménage dans la grande maison socialiste, qui en a bien besoin, et ou les vilains caciques du PS ne font rien qu’à l’embêter ( !)