L’incompétence existe bien et elle n’empêche pourtant nullement de trouver une place confortable voire, très confortable, de la conserver et de se faire respecter. L’erreur de jugement, le népotisme qui joue surtout en fonction des places importantes, le manque de qualification, de personnel etc… irriguent un système défaillant persistant.
Une personne qui n’est pas à sa place ne peut conduire une réflexion appropriée dans des domaines qui ne lui sont pas propres et, selon cette étude, s’entoure de personnes tout aussi incompétentes. Effectivement certains responsables ne peuvent accepter de voir leur incompétence percée par un subalterne. Ce qui conduit à une perte de temps, à de mauvaises décisions, à des erreurs qui étaient facilement évitables, souvent à une perte de croissance et d’argent en règle générale. Et en politique, n’en parlons pas à la vue des erreurs réitérées et des analyses longuement faussées. Mais l’incompétence n’est pas forcément un état général et définitif quoique, parfois on se demande, elle peut être uniquement sectorielle. Mais un incompétent qui souhaite avancer dans un domaine qu’il ne maîtrise pas ou peu, peut s’entourer et, heureusement, de compétences extérieures et subordonnées qui n’affecteront pas son ego et qui le conduiront à comprendre des mécanismes et des analyses jusqu’ici ignorés pour acquérir les compétences requises. Ouf !