Note : Nous sommes en droit de nous poser des questions sur cette tapageuse campagne mondiale de propagande transgenre au sujet d’un homme qui n’est pas opéré, qui n’est donc pour le moment qu’un simple travesti avec des prothèses mammaires. Ce qui veut dire que sa transformation est totalement réversible. Ce qui peut vouloir dire aussi que Bruce Jenner a pu être payé pour jouer ce rôle s’il conserve son service trois pièces.
Il est extrêmement rare qu’une femme veuille devenir un homme en se faisant opérer. Les hommes représentent 99,98% des demandes de changement de sexe et à être travestis. Mais pourquoi ?
Et bien méditez sur cette donnée scientifique : Les femmes ont deux chromosomes sexuels X et les hommes un chromosome sexuel X féminin, et un Y masculin. Soit XX pour les femmes et XY pour les hommes.
Nous aurait-on caché l’origine de l’humanité ?
Source : reinformation.tv
Après la publicité mondiale donnée à Bruce Jenner, la coqueluche transsexuelle du moment qui s’est fait appeler Caitlyn, des voix s’élèvent, moins répercutées par les médias, pour prévenir des dangers du changement de sexe.
Si de nombreux transsexuels témoignent dans leur chair en choisissant le suicide, certains ont choisi de parler ouvertement de leurs regrets, tel Walt Heyer. Il a donné « une petite leçon d’histoire » à Bruce Jenner sur le site américain LifeSiteNews. Pendant huit ans, suivant les conseils d’un médecin, Walt Heyer a vécu en tant que Laura Jensen, une femme. Il vit à nouveau comme l’homme qu’il est, et témoigne pour éviter que d’autres ne vivent l’enfer qu’il décrit.
Pour Walt Heyer, le changement de sexe n’a rien arrangé, cela n’a fait que « masquer et renforcer des problèmes psychologiques plus profonds ». Et c’est la raison pour laquelle il revient sur les origines du mouvement transgenre, qui pourraient dissuader un certain nombre de transsexuels d’avoir recours à une opération chirurgicale de changement de sexe.
Les premières opérations de changement de sexe ont eu lieu dans des cliniques d’universités, au début des années 1950, avant de connaître un vrai succès dans les années 1960 et 70. Mais lorsque les chercheurs ont examiné les résultats de leur œuvre, rien ne prouvait le succès de leur entreprise. Au contraire, il s’est avéré que les conséquences ont été dramatiques pour leurs patients.
Les universités ont donc arrêté ces opérations de changement de sexe, après s’être rendues à l’évidence. Ce sont des chirurgiens qui ont pris le relais, peu soucieux de la détresse, de la honte et des regrets des patients, ou parfois même de leur suicide.
Le mouvement transgenre est né dans la tête de trois hommes qui avaient un point commun : tous trois étaient des pédophiles actifs.
L’histoire commence avec le professeur Alfred Kinsey, biologiste et sexologue dont l’héritage est encore revendiqué aujourd’hui. Le professeur Kinsey affirmait que tous les actes sexuels sont légitimes, parmi lesquels la pédophilie, la zoophilie, le sadomasochisme, l’inceste, l’adultère, la prostitution et les pratiques sexuelles collectives. Il avait autorisé des expériences sur des enfants pour collecter des informations et évoquer le plaisir pris, selon lui, par des enfants de n’importe quel âge lors de l’acte sexuel… Il a même milité pour la légalisation de la pédophilie.
Le professeur Kinsey avait ajouté la transsexualité à son répertoire lorsqu’il avait rencontré un jeune homme efféminé, qui rêvait de devenir une femme.
C’est alors qu’il s’est tourné vers une de ses connaissances, l’endocrinologue Harry Benjamin. Les deux hommes ont vu dans cette histoire l’occasion de changer l’apparence des travestis en profondeur, bien au-delà de la simple robe et de quelques traits de maquillage. Ils ont été les premiers collaborateurs professionnels à travailler sur ce que le professeur Benjamin appellera plus tard le « transsexualisme ».
Ils s’adressèrent à plusieurs médecins : consultés, ceux-ci ne parvinrent pas à se mettre d’accord sur l’opportunité d’un changement de sexe pour ce jeune homme efféminé. Il en fallait plus pour arrêter le professeur Benjamin : il a commencé à administrer un traitement hormonal au jeune homme pour le « féminiser » avant de l’envoyer se faire opérer en Allemagne. Il a ensuite perdu contact avec le jeune homme, rendant impossible un quelconque suivi.
Le troisième co-fondateur du mouvement transgenre est le tristement célèbre John Money. Il s’agit du médecin qui a conseillé à un couple canadien d’élever leur fils comme une fille, après une circoncision ratée qui avait mené à la perte du pénis du petit garçon. Il avait assuré les parents que leur petit garçon, qui avait un jumeau en parfaite santé, ne se rendrait compte de rien, à condition qu’ils gardent le secret. Comme beaucoup de parents, les Reimer ont fait confiance à leur médecin.
Pendant des années, le docteur John Money n’a cessé de vanter la réussite de son expérience : il affirmait au monde entier que le petit garçon élevé comme une petite fille se portait comme un charme.
La réalité était bien différente : le petit David, devenu Brenda, a toujours refusé ce changement de sexe imposé. A 12 ans, l’enfant dépressif refusait de retourner voir le docteur Money et les parents ont fini par briser le secret. David a immédiatement choisi de redevenir le petit garçon qu’il n’avait jamais cessé d’être.
A 35 ans, les jumeaux Reimer ont finalement décidé de parler et de témoigner sur les abus sexuels que pratiquait sur eux le docteur Money. Non content de les prendre nus en photo, le professeur leur avait fait mimer l’inceste, afin de faire prendre conscience à David de son « rôle de femme »…
L’histoire s’est soldée par une tragédie : Brian, le frère jumeau de David, est mort d’une overdose en 2003. Quelques temps après, David s’est suicidé.
La vérité n’a pas suffi : le recours de la chirurgie pour les changements de sexe était déjà bien établie et personne ne se souciait que l’un des fondateurs du mouvement ait été désavoué de manière aussi dramatique. Tout cela continue aujourd’hui.
Pourtant les opérations de changement de sexe pratiquées par le Dr Money dans l’une des premières « gender clinics » qu’il a fondée à l’Université de Johns Hopkins, aux Etats-Unis, ont tôt été jugées sans intérêt. Après plusieurs années d’activité, le docteur Paul McHugh, psychiatre en chef, avait demandé à Money de lui fournir des preuves du succès de sa clinique. Il avait confié la tâche d’évaluer les résultats au docteur Jon Meyer, directeur de la clinique.
Le 10 août 1979, le docteur Meyer annonçait ses résultats : « Dire que ce type de chirurgie guérit les problèmes psychiatriques est incorrect. Nous avons désormais des preuves objectives de l’absence de différence en termes de travail, de résultat éducatif, d’ajustement matrimonial et de stabilité sociale après le changement de sexe. » Il déclarait plus tard au New York Times : « Je pense personnellement que la chirurgie n’est pas un traitement approprié pour ces troubles psychiatriques, et il est clair que les graves problèmes psychiatriques de ces patients ne disparaissent pas avec la chirurgie. »
Six mois après, la clinique fermait ses portes, suivie par d’autres cliniques similaires à travers le pays. Aucun succès n’avait été constaté.
Au même moment, de sérieuses questions ont commencé à naître dans la tête du collègue du docteur Harry Benjamin, l’endocrinologue Charles Ihlenfeld. Il avait travaillé avec Benjamin pendant six ans et administré des hormones sexuelles à 500 personnes transgenres.
Il venait publiquement d’annoncer que 80 % des gens qui souhaitaient changer leur genre ne devraient pas le faire : « Il y a trop de tristesse chez les personnes qui pratiquent cette chirurgie… Trop d’opérations se terminent par un suicide », avait-il déclaré avant d’abandonner ses activités d’endocrinologue pour se spécialiser dans la psychiatrie, meilleur moyen d’aider ses patients.
Il fallait une nouvelle stratégie pour les tenants du mouvement… Ils n’ont pas tardé à créer un comité chargé de rédiger les protocoles soins « requis » par les personnes transgenres, malgré les échecs dramatiques de leurs précédentes entreprises. En 1979, les directives « Harry Benjamin International Standards of Care » était publiées, et donnait un nouveau souffle à la « chirurgie de genre ».