Ils sont fous ! Pour le profit on apprend l’homosexualité aux animaux
Les techniques inhumaines et dangereuses pour la santé de l’élevage industriel sont aujourd’hui de plus en plus connues et dénoncées sans relâche. C’est pourquoi un nombre croissant de consommateurs refuse dorénavant d’acheter, ou de moins en moins, les produits dérivés de cette industrie pour éviter qu’elle ne continue de prospérer dans la dégénérescence.
La quantité et les profits sont ainsi devenus les deux seules mamelles de l’élevage au détriment de l’environnement, du respect de la nature, de la qualité et de la santé. Mais ceci est valable dans tous les domaines.
Si les animaux qui sont abattus chaque année (par milliards pour être consommés) n’en sont plus depuis longtemps puisque leurs instincts leur ont été retirés, qu’ils sont modifiés génétiquement pour être plus performants, plus longs, plus gros, sans plumes, qu’ils sont bourrés d’hormones, d’antibiotiques et de pesticides qui se retrouvent dans leurs aliments, qui pouvait penser que des généticiens sans conscience aient mis au point une technique d’excitation homosexuelle qui contrarie leur nature ?
C’est ainsi que dès le plus jeune âge on apprend aux taureaux à s’exciter, non plus sur une vache ni même sur un vagin artificiel, mais sur les autres taureaux pour assouvir leur rut et pourvoir ainsi récolter leur sperme.
Quand nous observons la technique ici sur la photo 3,4 et 5, on se demande vraiment pourquoi on ne laisse pas la nature faire. De plus, cette technique artificielle nécessite des heures de travail supplémentaires et des coûts financiers importants pour les éleveurs. Quant aux vaches, elles sont également contratriées de ne pas pouvoir assouvir leur instinct naturel de reproduction ni ceux sociaux. Mais le vétérinaire remplacera le mâle absent.
Ce sperme sera ensuite congelé dans de l’azote liquide. La technique est la même que pour l’insémination artificielle humaine.
L’article précise même que ces jeunes animaux, contrariés sexuellement uniquement pour le profit, portent le sobriquet de « boute-en-train ».
Ne serait-il pas temps pour les éleveurs de prendre le taureau par les cornes pour recouvrer leur bon sens et pour cesser d'être les esclaves d'une industrie qui leur a fait perdre leur noblesse ?
Dommage dirons certains que ces taureaux ne soient pas élevés pour le combat.
« Urbaniste » un Montbéliard de 12 ans, est le nom de ce taureau qui fait la Une et qui a été privé de tous ses instincts pour devenir une machine à sperme, 200 000 doses en 10 ans, (inhumain). Un étalon d’éprouvette qui comptabilisera pas moins 80 000 descendants animaux de boucherie, moitié mâles moitié femelles. Plutôt 80 000 gamètes qui seront sélectionnés, voire modifiés, puis congelés en paillettes et décongelés pour être inséminés.
Ce qui n’empêchera pas Urbaniste de recevoir des éloges et d'être célèbre, mais seulement à titre posthume, ni de finir en morceaux saignants dans la vitrine des bouchers pour nourrir ensuite la fosse septique qui, elle-même, alimente l‘eau.